agora n°56

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« Le Printemps » à CagnesAprès « Terrazur » la grande enseigne de la mode, créée en France,s’installera sur la Zac Saint-Jean. Elle donnera le coup d’envoi à la création d’un pôle de la beauté et du luxe, sur lequel d’autres grandes marques devraient à leur tour prendre place.

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locale et les photos

des manifestations sur :

www.cagnes-sur-mer.fr

ÉCONOMIE - EMPLOI

le dossier : Santé

Chimiothérapie ambulatoire de la polyclinique Saint-Jean.

Le nouveau service a misé sur l’humanisation,

le confort et la sécurité pour les patients.

PLU : la concertation

se poursuit (page 15)

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URBANISME

CITOYENNETÉ

COMMERCE DE PROXIMITÉ

N° 561er Trimestre

2011

Photomontage du futur bâtiment

L’annonce d’une grande nouvelle pour unprojet commercial, faite par le Sénateur-Maire en début d’année 2010, avait suscitéde nombreuses interrogations, même sides bruits de couloirs laissaient filtrerquelques noms, parmi lesquels figurait enbonne place celui du « Printemps ». Le suspense a finalement été levé officiel-lement au cours d’un point presse organiséle 17 décembre dernier à l’Hôtel de Ville.« C’est une date à marquer d’une pierreblanche pour Cagnes. Elle marque l’aboutis-sement de 10 ans de combats » a expliqué àcette occasion le Sénateur-Maire, entouré(1) des cosignataires de cette opération : lesaménageurs, Henri et Nicolas Chambon de

la Socri et Paolo de Cesare, président duPrintemps, accompagné de sa directricegénérale adjointe Martine Delzenne.

Quelles conséquencespour la ville ?Il y a d’une part l’emploi. Les recrutementsqui devraient s’effectuer principalement surle bassin cagnois, avec le concours de l’Es-pace Economique Municipal(2) et le PôleEmploi pourraient amener environ 400 à500 emplois nouveaux a annoncé LouisNègre. L’arrivée du Printemps permettra égale-ment à la commune d’accroître son attrac-tivité, grâce à une offre commerciale plus

large, plus en phase avec la demande de laclientèle locale mais aussi touristique au ni-veau international. Cagnes-sur-Mer se distingue de plus parune évasion commerciale particulièrementimportante(3), consécutive à une offre troprestreinte. « Le chaland va naturellementchercher ailleurs ce qu’il ne trouve pas surplace » constate le Sénateur-Maire.L’ouverture du « Printemps » prévue en2014, change donc la donne. Le Maire et lamunicipalité entendent bien mettre à pro-fit cette nouvelle synergie, créée entre lecommerce de proximité pour renforcer cedernier, notamment celui du centre ville, etce nouveau pôle commercial.

Tandis que la cité

provisoire prend son

rythme de croisière,

les commerçants de la

zone piétonne et les

petits producteurs,

restent un atout majeur

pour l’activité

du centre ville

(page 4)

Avec le service civiquela municipalité

franchit un nouveau

pas en direction

de la jeunesse

(page 6)

AGORA #56 - mars-2011_Mise en page 1 01/04/11 10:20 Page1

vous avez la parole : "Agora" vous invite à faire part de vos suggestions

Nom : Prénom : Tél. : E-mail : @ Adresse : Date d'envoi : Votre texte :

Coupon-réponse à renvoyer sous enveloppe sans affranchir à : M. Le Sénateur-Maire - Libre Réponse - Autorisation N° 59054 - 06809 Cagnes-sur-Mer

Édition : VILLE DE CAGNES-SUR-MERDirecteur de la publication : Marie-José BANDECCHIConception & Maquette : François CUNTZService Communication - Mairie de Cagnes-sur-MerTél. 04 93 22 19 65 - Fax 04 93 22 19 67E-mail : [email protected] : Yves HYOU Imprimerie : ZIMMERMANN - Villeneuve-LoubetTirage 37 000 exemplairesDiffusion gratuiteDépôt légal à parution - ISSN 1253-8469.

Louis NÈGREMaire de Cagnes-sur-Mer

Sénateur des Alpes-Maritimes

On garde

le cap

No 56

Cette année 2011 marque une nouvelle fois une étape importante pour la viecommunale. Le transfert d’activités de la cité marchande, en attendant sa re-construction, concrétise en effet la mise en œuvre d’un grand projet qui per-mettra à terme de donner un nouvel élan au commerce de proximité du centreville.

En toile de fond, se dessine la qualité de vie des Cagnoises et des Cagnois, aux-quels nous devons apporter des réponses concrètes à leur attente. Il s’agit doncpour nous de veiller à préserver et améliorer le cadre de vie de chacun. A tra-vers les grands travaux, la construction de logements pour actifs, mais aussi le« plan quartiers » qui constitue un engagement de mandat, chacun peut me-surer aujourd’hui le chemin parcouru.

Notre action se concentre aussi autour de l’emploi. La création des zones d’ac-tivités, le soutien au petit commerce avec le 2ème Plan Fisac, forment les deux pi-liers de la politique municipale conduite dans ce domaine. 2011 nouspermettra à cet égard d’amorcer une nouvelle étape en direction de notre jeu-nesse, que nous souhaitons aider au maximum.

Comme dans bien d’autres domaines et notamment celui de la sécurité, nousexploitons toutes les pistes que nous offre la loi. Nous avons pour cela choisi departiciper au service national civique, en proposant les premiers postes àCagnes-sur-Mer. Notre mobilisation pour l’emploi et celui des jeunes est doncbien réelle. Elle est aussi permanente.

L’Espace économique municipal que nous avons créé, travaille pour cela enétroite collaboration avec Pôle emploi. Il est aussi chargé d’assurer un lien pri-vilégié entre les demandeurs et les entreprises et nous constatons là aussi desrésultats encourageants.

Paradoxales à première vue, mais pourtant indispensables à l’activité écono-mique, les animations apportent elles aussi leur contribution à cette synergieque nous avons souhaité mettre en place pour la ville. Là encore, on garde lecap. Cet aspect de la vie cagnoise définit pour une large part « l’art de vivre »de notre ville.

Je compte donc une nouvelle fois sur les nombreux bénévoles des associationspour nous aider dans ce domaine et j’invite tous les cagnois à participer nom-breux aux animations qui ne manqueront pas cette année encore de nous fairepasser ensemble, d’agréables moments à Cagnes-sur-Mer, à l’image du premiergrand rendez-vous de l’année organisé le 5 février, à l’occasion de la « Journéeà l’hippodrome ».

Vos questions, vos suggestions.

Retrouvez l’actualité de votre villeen ligne 24h/24


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AGOR

A N° 5

6 - 1er

trim

estre

2011

Sommaire N°56Développement économique Page 3Le Printemps s’installe à Cagnes

Commerce de proximité page 4Bienvenue à La Villette et chez les commerçants de la zone piétonne

Vie publique page 5Le dynamisme cagnois à l’ordre du jour

Jeunesse et citoyenneté page 6Nouveaux locaux pour Planète Jeunes - Service Civique

Sécurité publique - Justice page 7Les acteurs de la sécurité se mobilisent

Le Maire au Sénat page 9Cagnes ville « électromobile »

Economie - Emploi - Finances page 10La ville de Cagnes au cœur de l’actualité

Déplacements page 11Les véhicules électriques gagnent du terrain

Intergénérations page 11Rendez-vous avec le Conseil des Sages

Commerce page 11Centre-ville et Cros-de-Cagnes : le dynamisme s’affiche

Kaleidoscope page 12Les évènements marquants en images

Logements pour actifs page 13Nouveau projet en cours au Béal

Stationnement page 14Extension de la zone jaune

Tribune libre page 14La parole aux groupes d’opposition

Urbanisme page 15PLU : la concertation se poursuit

Travaux de proximité page 15Haut-de-Cagnes et Cros-de-Cagnes

Sport page 16L’Union Sportive de Cagnes a 100 ans

Télévision page 1624 Mai : le tout numérique arrive à Cagnes

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DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIqUE

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Réagissant aux inquiétudes manifestées dans la presse quelques jours après lasignature par certains commerçants du centre ville, Louis Nègre rappelle quele développement de la Zac Saint-Jean, avec l’arrivée d’une grande enseignephare après celle du Casino Terrazur, s’inscrit dans « une vision globale » de l’ac-tivité économique de la ville.Et Louis Nègre s’explique. « Agir au détriment du centre ville pour créer une nou-velle zone de chalandise n’aurait aucun sens. En réalisant en premier le programme de déconstruction et reconstruction de lacité marchande, j’avais à ce propos annoncé clairement que cette opération de-vrait être achevée avant l’ouverture de l’espace commercial Saint-Jean (ndlr : àl’époque, le nom du Printemps n’était pas encore connu). Et ce sera bien le cas, afinjustement de développer encore l’activité forte du pôle alimentaire du centre villequi s’est renforcé de manière significative au cours de ces dernières années. Rappelons-nous tout simplement la situation du commerce cagnois en 1994 etcomparons-la à celle que nous connaissons aujourd’hui.

Le rapport Merlin rendu à l’époque, prévoyait la fermeture en plein centre de 44commerces à l’horizon 2000.Démonstration est faite que nous ne sommes pas restés inactifs pendant toutesces années et que nous avons agi vigoureusement pour non seulement maintenirmais développer un tissu commercial gravement menacé à l’époque. Tout commel’ont fait le casino Terrazur et à présent le Printemps, la grande majorité des com-merçants nous a fait confiance et a développé son activité au centre ville. Et l’action publique ne s’arrêtera pas là. En plus de la création du nouveau quartierdu Béal, qui devrait être achevée d’ici trois ans, nous avons lancé un autre grandprojet destiné à poursuivre le développement de l’activité au centre ville. Les premiers contacts ont déjà été pris pour cela avec les commerçants, en vue dela création d’un nouveau quartier de la ville sur le périmètre de la Villette. C’est donc une réflexion permanente, avec une vision sur le long terme que nousmenons en continu. C’est un exercice difficile, mais auquel les Cagnois sont désor-mais habitués ».

« Le Printemps au cœur du luxe »

C’est la nouvelle stratégie mise enplace par le président du groupe(4)

Paolo de Cesare. Et c’est bien « un pro-jet novateur, unique en Europe » que lesdirigeant du Printemps entendent réa-liser à Cagnes-sur-Mer. Pourquoi avoir choisi notre ville pourune telle opération ? Paolo de Cesareapporte trois raisons à son choix.

« Il s’agit d’un projet qui répond à un ob-jectif de haute qualité que nous parta-geons avec Socri et la ville ».Et le Sénateur-Maire confirme : « Il estvrai que nous avons placé une nouvellefois la barre très haut et je tiens à ce pro-pos à remercier la famille Chambon quia su répondre à nos exigences et honorertous ses engagements, comme avait su

le faire Georges Tranchant, lors de laconstruction du Casino ».La deuxième raison dece choix s’explique par laposition géographiquedu site. « Cet endroit estexceptionnel pour le cha-land dans le département,ainsi que pour les touristesnationaux et étrangers. Et jen’oublie pas non plus quenous sommes tout prochede l’Italie(3) ». Enfin, Paolo deCesare justifie son choix par« le respect et la confiance »qui se sont instaurés entreson groupe, la commune etla Socri, en citant nommé-ment le Sénateur-Maire et lafamille Chambon. Cette confiance a doncconduit le Printemps à réali-ser à Cagnes-sur-Mer, sa pre-mière implantation en Francedepuis 30 ans !Après la cité marchande, siteemblématique du pôle ali-mentaire du cœur de ville, c’estdonc un nouveau grand projet

qui prend forme. Les futures réalisa-tions qui s’y rattachent, répondentd’abord à une forte demande des Ca-gnois, mais elles vont aussi dynamiserl’image de la commune. Selon l’annonce faite par la SOCRI, laconstruction de l’enseigne phare del’Espace Saint-Jean, qui donnera lecoup d’envoi à la création du pôle deluxe cagnois, pourrait débuter dès2012 avec une ouverture prévue en2014.

1/ Dans l’assistance, on notait la présence denombreux élus, des représentants des ChambresConsulaires, qui en étroite collaboration avecl’aménageur, la commune et les commerçantségalement représentés, ainsi que les comités dequartiers, ont participé activement à l’élaborationdu projet. 2/ Ce service municipal travaille en étroite rela-tion avec les employeurs locaux et Pôle Emploi,pour répondre aux demandes sur Cagnes-sur-Mer. 3/ Une étude réalisée en 2010, démontre que ledéficit très important en terme d’offres conduit àune évasion commerciale atteignant 52,7 % etelle concerne principalement l’équipement de lamaison avec 63,2 % et de la personne avec 71,4% !4/ Le Printemps a été racheté en 2006 par legroupe italien Borletti.

« Une vision globale »

Les principaux acteurs du projet réunis autour du Sénateur-Maire et Paolo de Cesare P.D.G. du Printemps

Une signature historique


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COMMERCE DE PROXIMITÉ

Depuis quelques jours, les commer-çants de la cité marchande ont intégréla cité provisoire installée sur le par-king de la Villette. Comme prévu, le déménagement des16 étaliers a commencé début février,dès la mise à disposition de la nou-velle structure offrant une superficiede 740 m2. Trois semaines plus tard, le 22 février,la cité provisoire a ouvert ses portes.Les commerçants ont rapidement pris

leurs marques et la clientèle devraitelle aussi suivre ce changement desite sans trop de problèmes. Située contre le parking de la Villette,à deux pas de l’ancien bâtiment, elleoffre en effet toutes les commoditéspour charger son véhicule et poursui-vre ensuite ses achats au centre ville,le tout dans un rayon de quelquescentaines de mètres.

De la place de Gaulleà la VilletteAfin de maintenir le lien commercialentre les différentes enseignes du sec-teur et notamment celles de la zonepiétonne, plus directement concernés(notre encadré), les producteurs lo-caux installés jusqu’alors rue du mar-ché, alterneront leur activité entre laVillette, le week-end et la place deGaulle en semaine.

Cette mesure prise, bien entendu,avec les commerçants est susceptibled’évoluer en fonction de la demande.Rien n’est donc figé ; l’objectif des dif-

férents intervenants – municipalité etcommerçants – étant de répondre aumieux à l’attente de la clientèle.

Cité provisoire : le déménagement est terminé Bienvenue à la Villette

Le Secret de Flora - Fleuriste6 rue Modigliani - 04 93 73 95 64

Secrets D'Yamande - Pâtisserie fine8 rue Anatole France - 06 22 97 63 14

MB MotosDeux roues et accessoires10 avenue Cyrille Besset - 04 93 73 37 52

By Sushi - Restaurant27 Place Ste Luce - 04 93 29 75 09

Elsa Lentini NguyenThérapeuthe holistiqueElsa Lentini Nguyen - 4 Bd Maréchal Juin06 59 50 03 61

Brasserie Le Sud - Françoise et Gérard54 Bd du Maréchal Juin - 04 93 22 99 31

L'imprévu - Restaurant Café Lounge28 Bd du Maréchal Juin - 04 89 03 93 22

Game Cash - Jeux vidéos, dvd, blu-raysCyril - 64 Bd du Maréchal Juin - 09 66 84 41 92

La Cabane de l'écaillerRestaurant thématiqueSami Ben Slama, Gregory de Wilt24 avenue des oliviers - 04 93 31 68 60

Catherine, La réserve - RestaurantCatherine Armandi -91, promenade de la plage - 04 93 31 00 17

Bistrot de la Marine - Restaurant 1*Jacques Maximin- 96, boulevard de la plage04 93 26 43 46

Asian Lotus - Spécialités asiatiques24 avenue des Oliviers - 04 92 12 87 52

Univers des petits - Micro crècheMicrocrèche accueillant une dizaine de petits 75 avenue Cyrille Besset - 04 89 03 62 61

Bienvenue dans la zone piétonnePendant les travaux, la vie continue dans la zone piétonne,entre la rue Giacosa et la rue du marché et les commerçants dupôle alimentaire sont fidèles au rendez-vous pour accueillir laclientèle. Un large choix de produits de qualité et de servicessont toujours d’actualité. Bienvenue chez Gaston Fleurs ; la pâtisserie Le Rex ; Jean-Louisle Pêcheur ; l’épicerie italienne La Main Gourmande ; la Brasse-rie des Halles ; Carole Fruits ; la Boucherie Chevaline ; le PetitBar ; la Mercerie la Boîte à coudre ; Saveurs et Passions ; la dro-guerie Revelli ; la Boucherie Robert ; Mini Fleurs ; le Mini mar-ché ; Amplitude bio ; la Chocolaterie l’Oiseau d’Or, mais aussi lelaboratoire de biologie, les Chaussures Dane, LCL, le CréditMutuel et la Banque Postale.

Pendant la phase de travaux, la municipalité lance un appel aux cagnois poursoutenir comme avant, par leurs achats, tous les commerçants directementconcernés : ceux de la cité provisoire ainsi que ceux de la zone piétonne, entrela rue du marché et la rue Giacosa.

Pour l’heure, place au nouveau pôle d’activité provisoire, installé à la Villette.Place également à la phase de déconstruction. A terme, c’est à dire d’ici dix-huit mois selon les prévisions, la nouvelle cité aura été reconstruite après uninvestissement conséquent de la part de la commune, qui se chiffre globale-ment à 4,6 millions d’euros(1).L’Etat, à travers le Fisac (400 000 €), la Région (28 000 €) et le Département(290 000 €) participeront également à ce financement. L’argent public ainsi in-vesti permettra de donner un nouveau départ au « vaisseau amiral » du cen-tre ville et entraîner dans son sillage l’ensemble du commerce de proximité aucentre ville.

1/ Dans le détail, cette opération se chiffre à 400 000 € pour la déconstruction, 3,8 M€ pour la re-construction et 400 000 € pour la structure provisoire, équipée de caméras de vidéoprotection. A ce montant, s’ajoutent 25 000 euros pour l’aménagement de la Rotonde.

Ils ont choisi d’investir à CagnesRetrouvez également en ligne sur le site internet de la ville : www.cagnes-sur-mer

la liste complète des nouveaux commerçants installés à Cagnes-sur-Mer.

Souhaitons la bienvenue à :

Si vous êtes nouvellement installé à Cagnes-sur-Mer et souhaitez paraître sous cette rubrique (et sur le site de la ville www.cagnes-sur-mer.fr), nous vous invitons à transmettre vos coordonnées

avec votre raison sociale à l’adresse suivante : [email protected]

Commerçants, élus, Président de la Chambre des Métierset représentant de la CCI présents lors de l’inauguration

Les producteurs locaux


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Les 10 et 17 janvier derniers, les Ca-gnois, puis les responsables et anima-teurs économiques de la ville étaientinvités à participer aux traditionnellescérémonies de vœux du Maire et duConseil Municipal. Depuis l’an dernier, elles ont pourcadre la grande salle de réception ducasino de jeux Terrazur, qui affichaitune nouvelle fois complet. Aux pre-miers rangs du public, de nombreusespersonnalités avaient pris place. On notait aussi la présence des réci-piendaires du trophée de la ville. Pourcette septième édition, les habitantsdu quartier de la Gare et un artisan ontété distingués.

« NCA, une chance pour Cagnes »Le 10 janvier, devant une salle combleLouis Nègre a salué le dynamisme dela commune. Après la vidéoprojectionretraçant les temps fort de l’annéeécoulée, le Sénateur-Maire a repris lesgrands thèmes de la vie publique pourrappeler la politique municipale et sesaxes prioritaires : Sécurité. On préfère ressembler le pluspossible à Monaco. Emploi et déve-loppement économique. La qualitéaussi comme axe prioritaire. Des signatures prestigieuses ont choisiCagnes. Après deux nouveaux hôtels :Aeva et Vanille… Jacques Maximin aouvert un établissement au Cros. Deuxprojets – un hôtel au Béal et un im-meuble bd Juin – porteront la signa-ture du célèbre architecte Jean-MichelWillmotte.

« Le Printemps » s’installe à Cagnes avecà la clef 500 emplois au minimum etTechnopolis compte déjà 13 entre-prises et 350 emplois. Environnement :Cagnes doit être une ville « Grenel-lienne ». Les deux premiers véhiculesélectriques de la ville, illustrent cettevolonté et grâce à NCA, nous pouvonsenfin programmer la construction dela station d’épuration… Au cours de son intervention, le Séna-teur-Maire a aussi rappelé les nom-breux travaux réalisés dans la ville,notamment dans le cadre du planquartier. Des investissements consé-quents, rendus possible là aussi grâceà l’aide financière de Nice Côte d’Azur« une chance pour Cagnes . »

« On revient de loin »Le 17 janvier, c’est un discours pluséconomique que tenait le Sénateur-Maire, face aux chefs d’entreprises.Avec à ses côtés, Roger Martin, adjointaux finances, il a rendu hommage aux« capitaines d’industries et aux commer-çants » après avoir évoqué le contexteéconomique international. « Notrepays a su limiter les dégâts face à la crisela plus importante depuis 1929 . » Dans un contexte international enpleine mutation où l’on observe que «le centre de gravité du monde se déplacevers l’Asie » Louis Nègre a insisté aussisur l’évolution positive de la situationéconomique. « La courbe se redresse et nous devonsavoir une vision d’avenir optimiste »ajoutera-t-il. La transition était trouvéepour aborder la situation locale.

« L’endettement de la commune a été ré-duit de plus d’un tiers en 15 ans ». Dansle même temps, l’action de la munici-palité conjuguée au dynamisme deson tissu économique et à la confiancedes investisseurs ont permis à la villede redresser une situation difficile etmême d’inverser la tendance. S’adressant directement aux chefsd’entreprises le Sénateur-Maire leurrappellera en évoquant l’absence, àl’époque, de zones d’activités sur lacommune : « On revient de loin, il y a 15ans, vous n’existiez pas ». Il remercieraensuite chaleureusement les princi-paux acteurs de ce renouveau ca-gnois : le docteur Pierre Allemanopour le pôle santé Saint-Jean, legroupe Socri et la famille Chambon,promoteurs du futur espace commer-cial ; Georges Tranchant pour le casinoTerrazur ; Paolo de Cesare, patron duPrintemps; la société d’investissement

de Technopolis; la famille Costamagna,dont la Zac compte actuellement 49entreprises pour 330 emplois. « Le dy-namisme économique, c’est aussi noscommerçants » avec lesquels la com-mune a su engager un véritable parte-nariat, profitable à l’intérêt général…

0% d’augmentation du tauxdes taxes communales en 2011Insistant également sur l’élan de gé-nérosité manifesté par les entreprisescagnoises à l’occasion du Téléthon,Louis Nègre a annoncé qu’en 2011, ildemandera au Conseil Municipal d’ap-prouver l’augmentation 0% pour letaux des taxes communales, enconcluant que la municipalité antici-pait sur le Cagnes de demain avec lamise en place des « périmètres d’at-tente » à la Villette, bd Jean-Jaurès (Re-nault), à l’hippodrome et avenue desAlpes, en limite de commune.

VIE PUBLIqUE

Le dynamisme cagnois à l’ordre du jourL’engagement citoyen des habitants du quartier de la Gareet la performance économique d’un artisan-pâtissier du Val Fleuri ont été récompensés.

Cette année le trophée de la ville a été at-tribué, c’est une originalité, à l’ensembledes habitants d’un quartier, celui de laGare, en raison de leur engagement ci-toyen qui a permis de redonner un sensaux mots convivialité, solidarité et qualitéde vie.La requalification urbaine réalisée voicideux ans, sur ce secteur important de laville – trois ans de travaux et 4,7 millionsd’euros d’argent public – ont permis detirer un trait sur l’ancien quartier qui offraitune image peu attirante, malgré laconstruction lancée par la municipalitéNègre dès 1996 du Centre Communald’Action Sociale et d’un microstade pourles jeunes. Aujourd’hui, tout a changé. Avec le concours de la collectivité et desassociations, les habitants se sont réap-

proprié leur lieu de vie et offrent désor-mais un bel exemple d’intégration et demixité sociale, toutes générations confon-dues. Pour récompenser leur action, le Sénateur-Maire, entouré de Gilbert Antomarchi, ad-joint délégué à la jeunesse et à la politiquede la ville(1) et Viviane Russo, conseillèremunicipale déléguée au quartier, a remisle trophée de la ville aux principaux res-ponsables de ce grand succès : MichèleMasini, présidente du comité de quartier,Alex Khalil, président des commerçants ;Hamida Harrang, directrice générale del’équipe de prévention spécialisée de l’as-sociation ADS, financée par le Conseil gé-néral ; Etienne Grimanelli, président del’association ISI ; Claudine Laborier, res-ponsable de l’antenne locale de l’associa-tion Reflets, auxquels il faut associerStéphane Raviol, connu notamment pourses talents d’animateur d’activités artis-tiques et la CAF qui apporte son soutien fi-nancier aux opérations mises en placedans le quartier.

1/ La politique de la ville est conduite désormaisconjointement avec Nice Côte d’Azur

Le bon goût à l’honneurLes macarons cagnois

Face à un parterre de chefs d’entreprises, Bruno Laffargue artisan pâtissier,à la tête de l’entreprise Mic Mac, spécialisée dans la fabrique de macaronsa reçu sa distinction, entouré de toute sa famille, pour son parcours exem-plaire, depuis son installation à l’été 2009, quartier du Val-Fleuri.Au départ, il ne comptait qu’un seul employé. Depuis, la société a grandi.Elle compte actuellement 10 salariés et la fabrique qui travaille désormaisà l’export a devant elle de belles perspectives de développement. « C’est lerésultat d’un travail d’équipe » explique ce jeune patron. « C’est aussi le fruitde votre travail et de la passion que vous lui portez » répond le Sénateur-Maire. En effet, Bruno Laffargue travaille sept jours sur sept, à raison d’unedouzaine d’heures par jour ! « J’ai souhaité aussi vous remettre ces trophées pour les valeurs humaines dontvous faites preuve » a tenu à préciser aussi Louis Nègre. Malgré sa charge detravail, Bruno Laffargue trouve en effet toujours le temps pour accueilliret intégrer à son entreprise des jeunes du CAT de Vence, initier de jeunescollégiens dans le cadre de stages et organiser dans son atelier (le week-end !) des cours pour les particuliers souhaitant apprendre la recette deses macarons…

Un quartier sous les projecteurs

Bienvenue à la Gare


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JEUNESSE ET CITOYENNETÉ

Créer de nouvelles opportunités enterme d’emplois pour les jeunes etpromouvoir les valeurs citoyennes,constituent les deux piliers du servicecivique. Ce nouveau dispositif créé parla loi du 10 mars 2010, permet en effetd’offrir aux jeunes volontaires de 16 à25 ans, la possibilité de s’engager et de« consacrer son temps à des actionsutiles pour son pays ».« Cela me va très bien » commente leSénateur-Maire. C’est pourquoi, moinsd’un an après sa promulgation, lacommune a décidé d’intégrer le ser-vice civique à sa panoplie de mesuresprises en faveur de la jeunesse.

« Le pied à l’étrier » « Comme nous le faisons déjà avecles jobs d’été , nous souhaitons mettre lepied à l’étrier à nos jeunes, afin de les pré-parer à la vie professionnelle » préciseLouis Nègre, qui a décidé de recruterquatre jeunes dans un premier temps. Il s’agit en l’occurrence de quatrejeunes filles : Maeva, Cindy, Avenise et

Sieware qui sont chargées d’effectuerdes missions visant à lutter contre l’iso-lement des personnes. C’est une priorité de l’action munici-pale qui s’inscrit également dans lecadre de l’année nationale décrétéepar le Gouvernement. Deux axes ont pour cela été retenus :la lutte contre l’illettrisme, avec d’unepart, l’intervention dans les écoles etmise en place d’une biblitohèque « no-made » à la Gare et d’autre part, pré-sence auprès des personnes âgéesisolées. « Ces jeunes ne seront pas lâchés dans lanature », explique encore le Sénateur-Maire. Ils bénéficieront d’un accompa-gnement par le biais d’un tutoratassuré par la ville(1) et ce, pendanttoute la durée de leur engagement vo-lontaire, programmé jusqu’à la fin del’année. En effet, le service civique n’estpas un emploi à durée indéterminée.Précisons à ce propos qu’il s’inscritdans le Code du service national etnon pas dans le Code du travail.

C’est une mission rémunérée par l’Etat(440 € d’indemnités pour 24 heurespar semaine, auxquels s’ajoutent 100€ versés par la commune) qui appor-tera sans aucun doute une valeur ajou-tée sur un CV. En effet, la motivation et le respectdes valeurs civiques qu’il véhicule,

constituent des arguments de poidspour un futur employeur.

1/ Le contrat a été signé le 14 février dernier àl’Hôtel de Ville. Maeva et Cindy sont placées sousla tutelle du CCAS et Avenise et Sieware seront ac-compagnées par la médiathèque municipale ; cesdeux services leur assurant également une for-mation à l’informatique.

C’était en quelque sorte Noël avant l’heure pour les adolescents de 10à 14 ans inscrits à la structure municipale « Planète Jeunes ». Le 9 dé-cembre dernier, ils ont pu en effet inaugurer leurs nouveaux locaux ins-tallés désormais rue Hélène Boucher(1). En présence du député Lionnel Luca, Louis Nègre, accompagné de Gil-bert Antomarchi, adjoint délégué à la jeunesse et de nombreux élus, acoupé le ruban tricolore au rythme d’une chanson écrite et interprétéespécialement par les enfants pour marquer cet événement.Sur deux niveaux entièrement rénovés, la villa permet désormais auxjeunes de bénéficier d’une structure chaleureuse et fonctionnelle pourpratiquer des activités de loisirs, se détendre, ou plus sérieusement faireses devoirs.Pour cela, l’équipe d’animateurs, Sabine, Julien, Cédric, Caroline et Mu-rielle, responsable de la structure, veillent au grain. Rien ne leuréchappe et les parents sont assurés d’un encadrement de grande qua-lité pour leurs enfants.Planète Jeunes compte actuellement 141 adhérents – 79 garçons et 62filles. Pour Louis Nègre, « cette structure offre à notre jeunesse les moyensde s’exprimer dans un espace de vie qui leur est totalement dédié. Ils ap-prennent à découvrir les règles de vie en société. C’est un pas importantpour l’éducation à la citoyenneté ».

Service civique : la commune s’engage auprès des jeunes

Planète jeunesPlus grands, plus beaux : de nouveaux locaux pour les ados

Tous les participants « OK » le jour de l’inauguration.

De jeunes citoyennes motivées


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SÉCURITÉ PUBLIqUE

Le directeur départementaldécerne un satisfécit à la commune

Début décembre, les responsables(1) des services de police étaient réunis à l’Hôtelde Ville autour du Sénateur-Maire, à l’occasion de la 1ère rencontre officielle avec lenouveau directeur départemental de la sécurité publique, le contrôleur généralPatrick Chaudet.Ayant choisi de s’installer dans notre ville et donc Cagnois d’adoption, le patrondes policiers des Alpes-Maritimes a salué la « coproduction » exemplaire entre lespolices nationale et municipale, qui a conduit aux résultats que l’on connaît enmatière de délinquance à Cagnes-sur-Mer.

« Une gouvernance de la sécurité » « Je ne ressens aucun sentiment d’insécurité dans cette belle ville, où notamment, lestationnement est exemplaire ». Ce constat effectué par le DDSP a bien entendu réjoui le Sénateur-Maire qui a ex-primé à son tour sa « satisfaction des résultats obtenus sur le terrain ». Depuis la loide 2007, qui place désormais le Maire au cœur du dispositif sécuritaire de la com-mune, « nous avons pu mettre en place une gouvernance de la sécurité » qui passe no-tamment par des réunions régulières des responsables et un contact permanententre policiers nationaux et municipaux, a expliqué Louis Nègre. Sur la même longueur d’ondes que le Directeur Départemental, le Sénateur-Mairea aussi souligné la complémentarité des deux services. « On se retrouve sur le terrain,pour les actions de prévention » confirme le patron des policiers. Pour la police mu-nicipale, chacun s’accorde aussi sur la nécessité d’assurer une formation perma-nente. C’est bien le cas à Cagnes-sur-Mer.En plus des stages organisés dans un centre de la fonction publique, les munici-paux suivent des formations en interne. Citons l’exemple de la vidéoprotection,qui implique des connaissances spécifiques en matière de Droit.

La délinquance en baissePour 2010, la délinquance de proximité, c’est à dire les cambriolages, les dégra-dations …, celle qui touche le plus directement les individus, a enregistré une nou-velle baisse à Cagnes-sur-Mer de 18,74 %, selon les statistiques présentées par lecommissaire Gilles Goudard. Autre point remarquable souligné dans cette pré-sentation : le taux d’élucidation. Il atteint 18 %, alors que la moyenne nationale sesitue à 11,5% précise Patrick Chaudet.Mais pas question de baisser la garde pour autant. Au niveau des élus, mais ausside la police, on entend maintenir une vigilance soutenue. De nouvelles pistes vontdans ce sens. Patrick Chaudet a ainsi donné toutes instructions aux commissariats pour mettrel’accent sur la police technique et scientifique. Cagnes-sur-Mer a déjà anticipé. De-puis le début de l’été dernier, quatre fonctionnaires, spécialement formés au relevéd’empreintes et d’éléments biologiques, ont en effet été affectés à cette mission depolice judiciaire. Au-delà des résultats attendus en terme d’élucidations, le DDSP entend « agir aussisur la prise en compte des victimes », en expliquant que « le contact est très impor-tant pour répondre au traumatisme subi». Des enquêtes de voisinage poussées s’inscrivent également dans ce dispositif sé-curitaire, à travers lesquelles les policiers entendent aussi mettre à profit une autreinitiative « citoyenne » prise par la commune : les « voisins vigilants ».

1/ La réunion s’est tenue en présence de Michel Gagnaire, adjoint à la sécurité, du commissaire Gilles Gou-dard, de Serge Bézombes, coordonnateur prévention-sécurité de la commune et Claude JeanCalixte, chefde service de la police municipale.

Louis Nègre explique : « Nous avons retenu le but édu-catif de ces condamnations qui représentent à nos yeux,une alternative intéressante face à l’incarcération ».La commune qui multiplie les initiatives en matière deprévention a donc choisi de participer à ce dispositifpénal, à travers lequel les services municipaux – tech-niques, administratifs et animation - peuvent, selonles termes de la convention, accueillir et donc remet-tre dans le droit chemin, jusqu’à trois mineurs et troismajeurs.Le contact entre les services de la Justice et la mairie,s’effectue par le biais des Conseillers d’Insertion duService Pénitentiaire d’Insertion et de Probation(S.P.I.P.). Chacun des jeunes soumis à probation est reçu indi-viduellement par Michel Gagnaire, adjoint à la sécu-rité, qui leur rappelle les conditions d’exécution deleur peine et les risques encourus. Tout manquement

aux règles est immédiatement signalé au Conseiller.Au cours de l’entretien, l’adjoint prend en compte, sinécessaire, les éventuelles contraintes liées à l’activitédu jeune concerné et des aménagements d’horairespeuvent alors être retenus d’un commun accord.Les règles sont posées dès le départ, le cadre est clair« et les résultats que nous obtenons sont encoura-geants » constate le Sénateur-Maire. En effet, depuis la mise en place du dispositif, la villeaccueille en moyenne une quinzaine de jeunes par an,soit près de 200 à ce jour. Seuls 20 % d’entre eux onteu besoin d’un « recadrage » pendant l’exécution deleur peine. Les 80 % restant, c’est à dire l’immense majorité, neprésente pas de problème particulier et s’intègre par-faitement aux équipes municipales, pour effectuer untravail d’intérêt général au service de la commune. Assurément un bon pas en direction de la réinsertion.

JUSTICETravaux d’Intérêt Général Une peine à vocation éducative

En 1997, la commune a signé une convention avec le Juge d’application des peines, en vue d’accueillir des jeunes condamnés à des T.I.G. (Travaux d’Intérêt Général). Pourquoi une telle démarche ?

Le DDSP accueilli par le Sénateur-Maire, entouré des responsables de la sécurité à Cagnes-sur-Mer

Expliquent les principaux acteurs de la sécurité publique : Police, commune,mais aussi citoyens.Cagnes-sur-Mer donne l’exemple. Elle a été l’une des premières collectivités à mettre en place un arrêté municipalvisant à protéger les mineurs de moins de 13 ans.Elle est aussi la première à avoir soutenu la création des « Voisins Vigilants » enzone police, grâce à l’action conduite avec le concours des comités de quartier.

La prévention « c’est l’affaire de tous »

En liaison directe

avec la Police Nationale

et la Police Municipale


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Ouvert en avril 2010, dans l’extension du pôle santéconstruite dans le prolongement du bâtiment prin-cipal, le nouveau service de chimiothérapie a permisde tirer un trait sur l’ancien local de la Constance. Plus vaste – on est passé de 100 à 300 m2 – ce nouvelespace d’accueil a été entièrement repensé sur labase de trois critères. Le docteur Pierre Allemano, directeur du pôle santé,les a rappelés en recevant le Sénateur-Maire débutdécembre, pour une visite des installations. « Nousavons voulu humaniser le service, optimiser le confortde nos patients et accroître encore le contrôle des trai-tements ». Lors de la première séance du traitement, l’équipemédicale assure ainsi la prise en charge individuali-sée dans un espace privé permettant de préserverl’intimité. Chaque détail a été étudié avec soin pour la re-cherche du bien-être des patients. La stimulation descinq sens est ainsi mise en avant. Un ameublement de couleur, une décoration soi-gnée, des diffuseurs d’huiles essentielles, une mu-sique d’ambiance, la lumière naturelle, offrent pourcela un décor adapté. Le patron du Pôle Santé souligne également « le sou-tien apporté par le professeur Maurice Schneider, Prési-dent départemental de la Ligue contre le Cancer(1) ànotre espace « Paroles et Cancer(2) ». Autre point important: « la sécurité des patients ».Pour le docteur Allemano « le rapprochement des ser-

vices de soins et de la logistique, permet aux équipes soi-gnantes de préparer les traitements sur place et deconsacrer plus de temps aux patients ».Cette proximité favorise aussi l’échange d’informa-tions entre les professionnels de santé. Cela entraîneune meilleure réactivité inter-services pour les pra-tiques thérapeutiques, dans l’objectif d’améliorationcontinue de la qualité et de la sécurité pour la priseen charge des patients.

« Un pôle santé de grande qualité »A l’issue de sa visite, le Sénateur-Maire s’est dit « tou-ché par la dimension humaine apportée aux soins, à la-quelle contribue largement le personnel soignant donton remarque la grande expérience. Nous avons lachance d’avoir à Cagnes-sur-Mer un pôle santé degrande qualité ». Cette affirmation, Louis Nègre l’appuie sur les résul-tats concernant la qualité des soins, dont la presse sefait régulièrement l’écho. Le dernier en date concerneles maternités de France. Selon le site grand public« Doctissimo » qui enregistre environ huit millions devisiteurs par mois, la maternité se classe première dudépartement, seconde en PACA et 14e au niveau na-tional !La qualité, Louis Nègre en atteste également commetémoin direct. « Ce sont les jeunes mamans qui me ledisent lorsque je leur rends visite à l’occasion du jour de

l’an ou pour la fête des mères ». Avec la nouvelle unité de chimiothérapie ambula-toire, le pôle santé Saint-Jean fait aujourd’hui partiedu peloton de tête des meilleurs établissements desoins du département(2). Ecoutons à ce propos un ancien patient qui s’ex-prime : « Ah, si j’avais pu connaître ça avant ! ».1/ Le professeur Maurice Schneider, professeur de cancérologie, chefde service et sous-directeur du Centre Antoine Lacassagne a été reçupar le Sénateur-Maire en fin d’année dernière, à l’occasion de la prisede fonction du nouveau délégué territorial, Jean-Claude Cochat.

2/ Espace « Parole et cancer – tél : 04 97 10 03 41. E-mail : [email protected].

2/ Un classement des meilleurs établissements de soins pour le trai-tement du cancer, publié dans Nice-Matin du 9 décembre 2010,place Saint-Jean en 2ème position pour le cancer du sein et du pou-mon. Précisons que le service de chimiothérapie présenté dans cettepage ne constitue que l’une des trois composantes pour le traite-ment cancer. La lutte contre cette maladie comprend également laradiothérapie et la chirurgie, comme le précise l’article de presse.

Chimiothérapie ambulatoire de la polyclinique Saint-Jean. Le nouveau service a misé sur l’humanisation,

le confort et la sécurité pour les patients.

L’ouverture du « relais assistant maternel » apporte un nou-vel exemple de la collaboration étroite existant entre lacommune et la Caisse d’Allocations Familiales. Installé ave-nue de Verdun, le R.A.M. constitue un nouveau maillonpour les structures d’accueil des tout-petits mises en placepar la commune.En quinze ans, le nombre de places d’accueil en crèche estpassé de 205 à 259, grâce à la construction de trois nou-velles structures. Le RAM, ouvert dans le cadre d’un contrat enfance, signéentre la ville et la CAF, apporte une nouvelle réponse à lademande qui reste cependant forte.On sait que cette question est prioritaire pour la munici-

palité. Au cours de sa visite inaugurale, effectuée le 7 marsen présence de Danièle Desens, présidente de la Caissed’Allocations Familiales et de nombreux élus, Louis Nègrea réaffirmé sa volonté d’apporter une réponse à toutes lesdemandes en attente. L’ouverture d’une nouvelle crècheprogrammée pour 2012 sur le site de Technopolis, s’inscritdans cette démarche. En attendant, les quelque 140 assistantes maternelles ca-gnoises, ainsi que les 400 enfants directement concernéset leurs parents bénéficient d’un lieu d’accueil et de conseilfort utile, à travers lequel, explique Laurence Trastour ad-jointe à la petite enfance, « nous apportons un soutien à laparentalité, bien utile pour exercer le métier de parents ».

le dossier : Santé

« Les Bambins »Le relais assistant maternel au service de la famille

La salle de soins

Le Dr Pierre Allemano auprès d’un patient

R.A.M. Les Bambins61, avenue de Verdun - 04 93 29 13 38


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ACTION MÉDICALE ET SOCIALE

Le quartier ne manque pasd’atouts en terme de qualité devie. Il se distingue aussi par sesstructures publiques, qui per-mettent à ses habitants de béné-ficier de nombreux services deproximité. La dernière ouverture en dateconcerne le Centre d’Action Mé-dicale et Sociale et celui de la Pro-tection Maternelle et Infantile. Finnovembre, le président duConseil général, Eric Ciotti et leSénateur-Maire ont effectué unevisite des locaux.Là aussi le décor est soigné. Cou-leurs chatoyantes, y compris pourle mobilier, le tout harmonisédans les tons orangé, taupe et au-bergine, choisis avec la collabo-ration des agents du service. Sur quelque 400 m2 environ, lesagents départementaux ont rem-placé ceux de l’ANPE, après unerénovation complète du site parle Conseil général (447 000 €).

Ces travaux engagés en février2010, ont permis de regroupersur un même site le CAMS et laPMI ; cette dernière étant instal-lée sur une extension de 145 m2.Malgré cette nouvelle réalisation,le centre de PMI situé au « Ma-

rengo » à proximité de la gareroutière, restera opérationnel. Ilcontinuera d’accueillir les adoles-cents, tandis que le nouveau bâ-timent du Val-Fleuri sera plusparticulièrement destiné à la pe-tite enfance.

Le Bureau Information Jeunesse(1) vient d’ajouterune corde à son arc, avec la mise en place d’un pointrelais de la caisse d’allocations familiales. Une convention a pour cela été signée le 17 févrierdernier, entre le Sénateur-Maire et Yves Fasanaro, Di-recteur Général de la Caf des Alpes-Maritimes.En présence de l’ensemble des partenaires de laville(2)et de l’organisme public, son représentant atenu à souligner le « partenariat solide et durable »établi entre les deux partis.Un partenariat qui concerne au premier chef les fa-milles et les enfants, soit 7 000 ménages cagnois, cequi représente 18 000 personnes. « La solidarité et l’humanité, c’est un objectif que nouspartageons avec la Caf » commentera notammentLouis Nègre. Sur le terrain, l’action se mesure au quotidien, avecle « contrat enfance jeunesse » pour la petite enfance,signé en 2007, auquel la Caf participe à hauteur de1 M€ par an ; l’éducation avec l’accueil du mercrediet pendant les vacances à Andon pour 4 000 petits

Cagnois (100 000 € par an) ; la Politique de la Ville,avec la présence de deux correspondants perma-nents(3) intervenant notamment dans les quartiersdu Val Fleuri et de la Gare ; le service jeunesse (Opé-ration Sacs ados …) auxquels Yves Fasanaro ajoutera« la dimension innovante de la commune », qui a crééla première micro-crèche du département ainsi quela première structure intergénérationnelle à la Fra-ternelle.« Cagnes-sur-Mer est une ville où il fait décidément bonvivre » conclura le Directeur général de la Caf, qui aannoncé poursuivre ses discussions avec la ville pourmettre en place de nouveaux services.

1/ Bureau Information Jeunesse, 1 rue Louis Négrotél 04 92 02 57 38.

2/ On notait la présence de Gilbert Antomarchi, adjoint à la jeu-nesse et politique de la ville ; Edith Lupi, adjointe à l’éducation ; Lau-rence Trastour, adjointe à la petite enfance ; Romain Allemant,conseiller municipal délégué à la jeunesse ; Olivier Fischbach, di-recteur du centre régional information jeunesse…

3/ Mmes Michèle Finotto et Stella Ruiz-Fernandès

LE MAIRE AU SÉNAT

CAGNES VILLE PROPRE

Cagnes ville« électromobile »

Louis Nègre s’est vu remettre le « Trophéedes villes électromobiles » à l’occasion duSalon des Maires qui s’est tenu au mois denovembre à Paris. Cette première édition

organisée à l’initiative de l’Avere-France(1), récom-pense l’engagement de la commune pour une mobi-lité durable, visant notamment à développer l’usagedes véhicules décarbonés et donc lutter contre la pol-lution urbaine. Cette nouvelle distinction cagnoise récompense donctout à la fois l’action du Maire et de la municipalité etcelle du Sénateur.Depuis plus d’un an maintenant, le mouvement s’ac-célère à Cagnes-sur-Mer et les initiatives se multiplientpour renforcer la politique de déplacements « pro-pres ». Ainsi note-t-on l’acquisition de nouveaux « Seg-way » pour la police municipale et l’annonce d’unrenforcement du parc de vélos électriques pour lesservices municipaux. Rappelons également l’instau-ration du stationnement gratuit pour les véhiculesélectriques.Par ailleurs, dans le cadre des mesures engagées parNice Côte d’Azur, Cagnes-sur-Mer bénéficiera d’unepremière nationale, avec l’installation d’une stationd’auto-partage, équipée de véhicules électriques.En cours d’installation sur la place de Gaulle, sa miseen service est prévue pour le printemps. C’est le ré-sultat de l’action menée au plan local, avec la com-munauté de Nice Côte d’Azur, dont le Maire est 1erVice-Président. La commune s’est vue doter aussi dedeux voitures électriques pour les services munici-paux (courrier et espaces verts). Dans la continuité et en toute logique, la mise enplace d’infrastructures de charge, est appelée à se dé-velopper à l’échelon national. C’est la mission que lePremier Ministre a confié au Sénateur Louis Nègreavec la rédaction du Livre Vert, qui vient d’être remisau gouvernement. Et Cagnes-sur-Mer est à nouveau en pointe sur cesujet, avec l’installation de la première borne de re-charge installée devant la mairie.

1/ Association professionnelle pour le développement du transportet de la mobilité électrique

Tenir son chien en laisseC’est aussi une question de bon sens !Chaque année, la collectivité consacre un budget dépassant les100 000 € pour le passage des deux motos crottes, chargées denettoyer les déjections sur les trottoirs de la commune. C’est unmontant relativement conséquent qui résulte directement dela malveillance de quelques propriétaires de chiens.Fort heureusement à Cagnes-sur-Mer, les maîtres sont de plusen plus nombreux à assumer leurs responsabilités et à respec-ter la réglementation :• Tenir son chien en laisse et ramasser les déjections. Cela permet aussi de protéger les usagers et notamment les plusvulnérables – enfants, personnes âgées – susceptibles d’être vic-times d’une réaction imprévue de l’animal.C’est aussi pour cela que la police municipale est particulière-ment vigilante et ceux à qui le bon sens échappe, l’apprennentà leurs dépends, en s’acquittant d’une amende(1).En 2010, la PM a ainsi dressé 111 PV à 11 €(1), 47 chiens divagantsont été conduits au refuge de Mougins.Pour éviter ce genre de désagrément, il suffit de respecter les rè-gles en vigueur. C’est aussi une question de bon sens !

1/ En application du règlement sanitaire départemental, rappelonsque les propriétaires de chiens sont passibles d’une amende d’unmontant allant de 38€ à 450€ en cas de récidive, pour les déjectionsnon ramassées sur la voirie. Rappelons également que les trottoirssont réservés aux piétons et que circuler en deux roues (vélo, cyclo-moteur ou scooter, est passible d’une amende de 90€, majorée à 135€si elle n’est pas payée dans les trois jours.

Nouveaux locaux pour le CAMS et le centre de PMI au Val Fleuri

CAF et commune« Un partenariat solide et durable »


ÉCONOMIE - EMPLOI - FINANCES

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Accompagné de son Vice-Président,Bruno Pourcine et de Vincent Raimondi,membre du Conseil d’administration,Yvon Grosso (à gauche sur notre cliché),le nouveau président de l’Union Patro-nale des Entreprises du département arencontré le Sénateur-Maire le 10 févrierdernier. Cette première visite à Cagnes-sur-Mera porté principalement sur la présenta-tion des grandes lignes de l’action quele patron des patrons du départemententend mener au cours de ses trois an-nées de mandat.

« Travailler ensemble »Trois thématiques ressortent de ce pro-gramme : l’attractivité du territoire, lafiscalité maîtrisée, l’excellence des res-sources humaines. Trois objectifs surlesquels le Sénateur-Maire a expriméson parfait accord. « Nous sommes sen-sibilisés à l’entreprise créatrice de richesseset nous avons une volonté commune detravailler ensemble ».Et pour illustrer son propos, Louis Nègre

soulignera l’action qu’il a initiée dans ledomaine des transports avec l’Alle-magne au titre de son mandat de prési-dent de la Fédération des IndustriesFerroviaires (F.I.F.) et plus localementavec la signature à l’Hôtel de Ville – toutun symbole – du contrat d’implantationdu « Printemps » à Cagnes.« Nous sommes sur le même registre » ex-plique encore Louis Nègre. « Patrons etresponsables politiques doivent anticiperet avoir une vision à long terme pour ré-pondre à la question de fond : qu’allons-nous donner comme outil économique ànos enfants ? ».Sur la même longueur d’ondes, YvonGrosso prône lui-aussi le rapproche-ment « avec les Parlementaires, avec les-quels nous partageons l’attachement ànotre territoire » d’où cette première ren-contre à Cagnes-sur-Mer. A l’heure de la mondialisation, la dé-fense des valeurs de l’entreprise « aucœur de la société civile » est bien un défimajeur pour notre pays et notre dépar-tement en particulier. Et pour mieux en mesurer la portée, re-tenons que l’UPE 06 forte de 550 man-dataires pour 70 organismes,représente 10 500 entreprises dans le06, soit environ 100 000 salariés, répar-tis sur l’ensemble du tissu économiquedépartemental.De quoi alimenter une large réflexion, àlaquelle Le Président de l’UPE 06 et leSénateur-Maire ont convenu d’associerleurs actions.

Nouvel engagement partenarial entre la commune

et la direction des finances publiques

En 2006, la communeavait déjà formalisé le rap-prochement de ses ser-vices avec ceux du centrede Saint-Laurent-du-Var. Ce partenariat a étéconfirmé et renforcé, avecla signature d’une nou-velle convention le 24 jan-vier dernier. « C’est un engagement réa-liste et réalisable » explique

Bernard Peiclier (au premier plan sur notre cliché) , directeur départementaldes finances publiques des Alpes-Maritimes. « Nous allons pouvoir optimiser l’ex-pertise comptable que nous apportent les services fiscaux et définir conjointementles actions à engager et les domaines à prioriser » relève Louis Nègre.Parmi les mesures comptables appelées à se développer, on retiendra notam-ment les améliorations attendues en matière de dématérialisation (moins depapier !) et de moyens adaptés pour le paiement – l’usage de la carte bancaireest ainsi appelé à s’étendre pour les recettes communales et la communepourra quant à elle utiliser une carte de paiement pour les petites dépenses, as-souplissant ainsi le formalisme administratif pour les fournisseurs. La simplification, tant pour les usagers que pour l’administration est donc bienà l’ordre du jour, tout en garantissant « la plus grande transparence dans la ges-tion des comptes ». Un point sur lequel le Sénateur-Maire a particulièrement in-sisté lors de cette signature.

On se souvient de l’émoi justifié descommerçants cagnois, lorsqu’à l’au-tomne dernier, ils découvraient lemontant de la somme à régler autitre de la cotisation foncière des en-treprises, censée remplacer la taxeprofessionnelle.Face aux hausses importantesconstatées, ils étaient même descen-dus (pacifiquement) dans la rue le 29novembre, à l’initiative du présidentde la Fédération des commerçants,Bob Dhé, pour manifester leur mé-contentement. Ils avaient alors été reçus en mairie etpromesse leur avait été faite àl’époque de se retrouver plus tardpour dresser le bilan des action en-gagées.Promesse tenue le 7 février dernier.Une réunion était organisée à l’Hôtelde Ville, en présence de Philippe Re-nard, directeur du pôle fiscal de la di-rection départementale des financespubliques. Entre temps, la situation a évolué et

tout semble être rentré dans l’ordre.L’intervention du Sénateur-Maire(1)

auprès des services fiscaux conju-guée à celle des commerçants a per-mis d’apporter une solution aux 380réclamations engagées à Cagnes.Selon le bilan dressé par le responsa-ble des services fiscaux, 84 % d’entreelles se sont soldées par une baissede la CFE. Le dossier demeure néanmoins com-plexe, même si le bilan s’avère au-jourd’hui « positif » selon l’avisgénéral des participants. Pour éviter le déficit d’information,sans doute à l’origine de nombreusessituations litigieuses, Bob Dhé inviteles commerçants, adhérents ou nonadhérents, à participer au prochain« rendez-vous du commerce » pro-grammé à la mairie annexe du Cros-de-Cagnes, le jeudi 17 mars de 12h30à 15h.

1/ Le député Lionnel Luca est également inter-venu sur ce dossier auprès du ministère des Fi-nances

Cotisations foncières

des commerçants :

le retour à la normale

UPE 06Le président des patrons du départementa rencontré le Sénateur-Maire

Aide à l’emploi

La commune se mobilise

Le développement économique à Cagnes-sur-Mer estaxé tout à la fois sur les entreprises et le commerce deproximité. La commune a pour cela engagé une poli-tique volontariste au niveau des zones d’activités re-présentées par trois grands sites : Costamagna,Technopolis et Saint-Jean ; ce dernier incluant bien en-tendu le pôle santé éponyme, qui a connu au cours deces dernières années et connaît encore aujourd’hui undéveloppement important. Au cœur de cette synergie créée entre la commune etle monde de l’entreprise, l’emploi constitue un enjeumajeur.La commune s’est engagée aussi dans la bataille pourl’emploi, en mettant en place des mesures concrètesd’accompagnement pour les commerçants, notam-ment à travers le plan Fisac. Autre disposition prise par la ville avec le même ob-jectif : sa participation régulière à l’opération « Jobsd’été », à laquelle elle apporte une contribution directeen proposant de nombreux postes pour les saison-niers ; un dispositif qui s’adresse plus particulièrementaux jeunes à la recherche d’une première expérienceprofessionnelle. Et pour compléter ce panorama de la collectivité auservice de l’emploi, notons aussi la création de l’espaceéconomique municipal, un service dédié aux com-merces, entreprises ainsi qu’à tous les Cagnois à la re-cherche d’une activité.

Espace économique municipal1, rue Louis Négro - tél 04 92 02 57 37 - courriel : [email protected]

Plaquette d’information à disposition du public


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COMMERCE

L’association des commerçants du cen-tre ville, Cagnes Grand Centre, a unenouvelle fois mis les petits cadeauxdans les grands à l’occasion des fêtesde fin d’année. Sous la houlette de leur président AlainGermain, les enseignes du centre ville(1)

ont en effet organisé un grand jeuconcours, récompensé par des bonsd’achat d’une valeur de 50 € et un pre-mier Prix exceptionnel : une voiture

d’une valeur de 9 000 € !La bonne pioche est revenue à une Niçoise, fidèle cliente des commerçants du centre villecagnois, qui a retiré son ticket gagnant à la boutique Vanina, située galerie Renoir. La remise des clefs s’est déroulée le 31 janvier à la succursale Renault au Cros-de-Cagnes(2). Grâce à ce très beau cadeau l’heureuse lauréate devrait conserver ses bonnes habitudes ca-gnoises pour participer à nouveau aux jeux organisés par les commerçants cagnois. A ce propos, Cagnes Grand Centre pense déjà à la Fête des Mères le 29 mai prochain. Aprèsle séjour aux Etat-Unis, offert en 2010, une croisière de rêve se profile cette année. Encore unrendez-vous à ne pas manquer.

1/ L’association Cagnes Grand Centre compte une centaine d’adhérents. Il est à noter que le jeu concours était ouvertà l’ensemble des enseignes du centre ville, affiliées ou non à l’association. 2/ Alain Germain a remis les clefs en présence de Josy Bandecchi, 1er adjoint au Maire ; Roger Martin, adjoint au com-merce ; Marie-Madeleine Corbière, adjointe du Cros ; Jean-Paul Cordero, conseiller municipal délégué au commerce ;Bob Dhé, président de la Fédération des commerçants et Sylvia Perrin, vice-présidente de Cagnes Grand Centre.

Les commerçants du Crosen ligne

L’association Cros-de-CagnesCommerce, regroupant les en-seignes du village des pê-cheurs, multiplie les initiativespour promouvoir l’activitécommerciale. Dans le sillage duplan Fisac engagé par la com-mune, l’association a édité uneplaquette promotionnelle re-groupant toutes ses enseignes.Infos pratiques sur le Cros-de-Cagnes, liste des commerçants par secteur d’activité, tout a été penséet conçu pour faciliter la lecture et ça marche.Bernard Olivès, ancien président de l’association est resté un membretrès actif, comme il l’avait promis. Il vient en effet de créer un site in-ternet, où la plaquette figure bien entendu en bonne place. De nom-breuses rubriques destinées aux adhérents d’une part, mais aussi etsurtout au grand public, permettent d’établir un lien direct avec lescommerçants, dialoguer avec les membres du bureau, suivre en imagela vie de l’association, s’informer sur le Fisac, etc …C’est donc un nouvel outil complet dont dispose désormais l’associa-tion. Son nouveau président par intérim, Bob Dhé, entend bien le fairevivre et le développer avec toutes les personnes attachées à la vie duCros-de-Cagnes … et elles sont nombreuses !

www.crosdecagnescommerce.frcontact : [email protected]

DÉPLACEMENTS

Jouer c’est gagner

avec les commerçants du centre ville

100 % électrique !Avec deux premiers véhicules électriquesmis en service en début d’année, la com-mune renforce son parc de véhicules « pro-pres ». « Cette logique » répond aux orientations dela municipalité, qui sous l’impulsion du Sé-nateur-Maire, rapporteur du Grenelle del’environnement, multiplie les initiatives enjouant souvent le rôle de précurseur. « J’ai été le premier Maire du département àavoir un vélo électrique. On en a une flotte dedix aujourd’hui pour le personnel commu-nal ». La commune a été également la première àse doter de gyropodes, utilisés principale-ment par la police municipale (huit à cejour). Un nouveau pas « durable » vient donc d’êtrefranchi par la ville, avec ses deux véhicules –une fourgonnette pour les espaces verts , et

une voiture pour les huissiers, le tout pourun montant de 40 000 €(1) subventionné parl’ADEME. Et la suite ?Après avoir voté la gratuité du stationne-ment pour tous les véhicules électriques, lacommune entend bien ajouter d’autres me-sures pour favoriser le développement desvéhicules électriques chez les particuliers ;un moyen efficace de lutter contre les deuxprincipales sources de nuisances en milieuurbain : le bruit et la pollution.La première station d’autopartage installéeplace de Gaulle offrira ainsi aux particuliersla possibilité d’utiliser un véhicule électriqueen location, ou bien de recharger gratuite-ment son propre véhicule…une premièreau niveau national grâce à la communautéurbaine. Un moyen branché pour roulerpropre ! 1/ Le Sénateur Louis Nègre a utilisé sa réserve parlemen-taire pour financer cette acquisition. A noter que l’achatdes véhicules s’est accompagné d’une formation à l’éco-conduite pour les agents municipaux.

INTERGÉNÉRATIONS

Dans l’Antiquité, les Sages étaient uneassemblée vénérable de « barbesblanches » que tout citoyen pouvaitconsulter pour les affaires de la ville etentendre donc une voie de sagesse. Sans barbe blanche obligatoire (lestemps ont changé !) mais en conser-vant le même esprit, Le Sénateur-Maire a souhaité donner le pendantau Conseil des Jeunes, en créant leConseil des Sages.Le C.D.S. a donc une réalité qui se ma-nifeste par des actions ponctuelles etcelles impulsées par sa vocation debénévole. Les Sages sont des ambassadeurs ducivisme vigilant. Ils participent au Téléthon, à la galette

des Rois, à la Fête des grands-mères …Ils organisent aussi un tournoi de pé-tanque avec les élus et le Conseil desJeunes. Mémoire vivante de la ville, le CDSpartage ses connaissances et met sonexpérience et ses compétences auservice de l’intérêt général, en faisantpart de ses suggestions à la munici-palité pour améliorer la qualité de viede ses habitants.

Jacques Bladanet

En savoir plus : Permanence du CDS ,

les vendredis de 9h à 11hTél : 04 92 02 57 39

e-mail : [email protected]

Le Conseil des Sages et vous …


KALÉIDOSCOPE

Les évènements marquantsen images

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Retrouvez les reportages

des manifestations cagnoises sur :


Dévoilement plaque biodiversité - 18 févrierCarnaval - 19 février

Remise Médailes du travail - 24 février

Galette des Rois - 22 janvier

Journée des Cagnois à l’Hippodrome - 5 février

Championnat de France rame traditionnelle - 6 mars Printemps des poètes - 9 mars

Mon premier livre - 12 mars

Vernissage Bijou contemporain - 26 février

Théatre centre culturel - 26 février

Accueil délégation Passau - 5 mars

Fête des grands mères - 9 mars

Printemps des poètes - 9 mars

Vernissage Bijou contemporain - 26 février


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LOGEMENTS POUR ACTIFS

Les premiers coups de pioches ont été donnés mi-novembre en présence du Sénateur-Maire et des re-présentants du comité de quartier. Les engins de chantier sont à pied d’œuvre pour laconstruction de l’ensemble résidentiel « Villa Virgi-nia ». Un nom qui donne la mesure des ambitionsde la commune relayées par le constructeur, legroupe Erilia, en matière de qualité et de confortpour ces 39 logements destinés aux actifs.

Un nouveau lieu de vieA la demande de la municipalité, le bailleur social adonc une nouvelle fois placé la barre très haut, commeon peut déjà le constater avec la première phase de ceprogramme déjà réalisée : « le Virginia 1 » et ses 23 lo-gements. Ceci expliquant peut-être cela, chacun peut constateret les riverains en premier lieu, que depuis l’installa-tion des premiers locataires, voici un an, strictementaucun problème de voisinage n’a été enregistré. Rienne distingue ce parc de logements des autres im-meubles. C’est bien le but recherché par la munici-palité qui veille tout autant à la mixité sociale, qu’à latranquillité publique.C’est donc le même schéma d’aménagement qui aété retenu pour la « Villa Virginia ».L’architecte, M. Gosselin, le confirme en expliquantque tous les appartements seront climatisés et ré-pondront « à des normes de construction de très hautequalité ». Afin de ne pas toucher le stationnement en surface,chaque appartement disposera de deux places deparking souterrain.« Nous plaidons aussi pour la mixité sociale et l’intergé-nération » expliquera une nouvelle fois le Sénateur-Maire, à l’occasion du lancement des travaux.Aux côtés des habitations, ce nouveau quartier de 3,5ha, dispose en effet d’une maison de retraite, d’unerésidence de tourisme, et bientôt, un hôtel 3 étoiles,conçu par l’architecte Jean-Michel Willmotte, verra lejour.Pour animer ce nouveau lieu de vie en plein centreville, la « Villa Virginia » disposera de surfaces com-

merciales en rez-de-chaussée – six enseignes prévues- et les piétons pourront bénéficier de trottoirs pluslarges, de bancs, sans oublier la place qui verra le jourau carrefour du Béal.On est donc bien loin de la friche, des ruines et descampements sauvages sans eau, sans assainissementqui, au fil du temps, avaient transformé ce quartierhistorique en véritable « no man’s land ».Le changement, la métamorphose, est bien visible.Tout comme les riverains, les futurs locataires appré-cieront. Prenons rendez-vous pour la remise des clefsprévue au printemps 2012.

« Villa Virginia » : Le chantier est lancé39 logements pour actifs, sont en construction au quartier du Béal

PATRIMOINE COMMUNAL

Au cours de l’année 2010, deuxgrandes familles bien connues àCagnes-sur-Mer, ont décidé defaire don d’une partie de leursbiens à la commune. Rendonshommage à leur générosité.

« Pour une maison de retraite »Décédée au début de l’année2010, Gilberte Sensal a légué àla ville un terrain de plus de23 000 m2, situé avenue Mer-

moz dans le quartier des Col-lettes. Cette donation faite partestament, a été acceptée par leConseil municipal du 24 juin2010. Elle s’accompagne d’unecondition quant à la destinationdu bien. Selon la volonté de la défunte,issue d’une grande famille ca-gnoise, seule une maison de re-traite pourra être construite surce terrain. Gilberte Sensal a souhaité éga-lement faire bénéficier les Ca-gnois d’un autre bien inscritdans le même acte notarié. Il s’agit d’une propriété situéedans le Haut-de-Cagnes, là oùelle aura résidé une partie de savie. Située contre l’école du VieuxBourg, la maison composée dedeux appartements de type F2et d’un appartement de type F3a été léguée elle aussi sousconditions.

La peinture et Cagnes : deuxpassions pour Louisette Metri

S o n e n f a n ce p a s s é e p a r m il e s artistes et les peintres duHaut-de-Cagnes lui donnera in-cons ciemment le sens de l’esthé-tique. Mais la vie courante d’aprèsguerre et ses difficultés, puis savie professionnelle ne lui laisse-ront pas le loisir de s’exprimer àtravers l’art.Après deux drames familiaux quil’affecteront profondément, Louisette Métri puiseradans la peinture la force du retour à la vie.Elle exposera notamment ses œuvres à la maison des ar-tistes. Cette passion ne la quittera plus, ainsi que cellequ’elle voue à sa ville. C’est pourquoi elle a décidé d’offrirune partie de ses souvenirs à la commune, en lui faisantdon d’une propriété avec mobilier et tableaux, agré-mentée d’un jardin, située dans le bourg médiéval. Une délibération du Conseil municipal datée du 3 sep-tembre 2010, faisant état de cette donation a été ap-prouvée à l’unanimité et l’acte notarié a été signé le 19novembre. Pour l’heure, la destination de cette demeuren’a pas été arrêtée, mais il est certain déjà que cette do-nation constitue un beau cadeau pour Cagnes et les Ca-gnois.

De généreuses donatrices

1995 : une image qui fort heureusement appartient au passé

Périmètre du terrain légué à la commune


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TRIBUNE LIBRE DES GROUPES DE L’OPPOSITIONET UNE PrIVATISATION DE PLUS !

Décidément, l’équipe Nègre aura toutvendu de Cagnes-sur-Mer !Après avoir transféré quasiment tousles biens et compétences de la com-mune de Cagnes-sur-Mer à la commu-nauté urbaine de Nice,Après avoir transféré au privé l’eau po-table, les eaux usées, les transports, lesparkings, une partie de l’entretien desjardins, etc …Elle donne le centre culturel au privé !Cela devient dramatique !Tout cela bien sûr avec des augmenta-tions tarifaires à venir. C’est toute laconsidération de cette majorité muni-cipale pour la culture. Le centre cultu-

rel est une institution cagnoise de qua-lité correctement animée. Certes àl’étroit, tant ses services sont impor-tants.Une municipalité attentive, préoccu-pée par les besoins de ses concitoyensaurait dû envisager un nouveau lieude culture plus grand, avec notam-ment un théâtre, plutôt que de se dé-barasser du centre culturel.Quelle indignité pour une ville de prèsde 50 000 habitants de considérer laculture à ce niveau !

Les élus de la Gauche Unie : MichelSantinelli et Martine Nativi (Front deGauche)

STATIONNEMENT

C’est le résultat des conclusions del’observatoire du stationnement for-mulées lors de sa dernière réunion quis’est tenue à l’Hôtel de Ville mi-décem-bre. Le fait le plus marquant concernela Villette. « Depuis plusieurs années laville envisageait de faire passer une par-tie du secteur gratuit en jaune, afin delutter contre les voitures ventouses et li-bérer des places pour l’activité commer-ciale et les riverains ».Elle a été récemment saisie d’une de-mande formelle des commerçants, quidepuis février 2010, lors d’une réunionde l’observatoire, avaient manifestéeux aussi, par la voix de l’association« Cagnes Grand Centre » leur volonté depasser en jaune sur une partie des 340places gratuites de la Villette, et cepour les mêmes raisons.Un sondage effectué auprès des adhé-rents de l’association a confirmé cetteattente. L’observatoire a donc proposé cettemesure au Maire, qui n’installera lesnouveaux horodateurs, que lorsque lazone jaune actuelle sera remplie.

1€ la demi-journéeLa tarification particulièrement attrac-tive répond à l’attente de nombreuxusagers. 1€ la demi-journée et 2€ lajournée, difficile de trouver moins cheren effet sur toute la zone littorale. André Rosso, adjoint au Maire ex-plique que l’expérience menée surd’autres secteurs, comme celui de laGare ou de Kennedy, a déjà démontréson efficacité. Il précise aussi que lepaiement s’effectuera uniquement à lademi-journée. En d’autres termes, pasquestion de déposer sa voiture lematin, voire la veille au soir, pour la ré-cupérer en fin de journée.L’objectif de la zone jaune est des’adapter aux besoins des usagers ducentre ville : commerces, cabinets li-béraux, clients et riverains. André Rosso souligne aussi que le tra-çage au sol correspondant, permettrade mettre de l’ordre à l’anarchie quel’on constate actuellement et quiconduit le plus souvent les autorités àfaire appel à la fourrière.

De même, les 36 places du bord demer, situées entre la Cagne et Ken-nedy, devraient elles-aussi passer aujaune, afin que les commerces du sec-teur puissent disposer de places pourla clientèle. Les arrêts-minute gratuits, qui sontpassés rapidement de 40 à 205, au dé-triment des places payantes qui ontété supprimées, devraient égalementvoir leur nombre s’accroître, avec denouveaux emplacements installés auVal Fleuri à hauteur des commerces,

parallèlement à la création de 18places sur le quartier. Sur Kennedy, lescommerçants souhaitent aussi un ren-forcement des arrêts-minute. Quartier de la Gare, les parentsd’élèves expriment la même demande.Mais « Les parents doivent aussi jouer lejeu » commente André Rosso. Pourcela un appel au civisme de chacun estlancé pour limiter le nombre de voi-tures à proximité immédiate desécoles aux heures de sorties. L’appel au civisme vaut aussi pour les

arrêts-minute. Même en multipliantleur nombre, le respect du quartd’heure maximum constitue la seulealternative au problème posé par lestationnement dans les zones ur-baines. Pour cela, l’association Cros-de-Cagnes Commerce a réalisé un tractqu’elle dépose sur les pare-brise desvéhicules qui ne respectent pas ces ar-rêts. Et selon Bob Dhé, président de laFédération des commerçants « celadonne des résultats ».

La zone jaune s’étendra à la Villette

et sur différents secteurs de la ville

Le texte du Front National prévu dans cet espace n’est pas parvenu à la rédaction.

Zone jaune rue Hélène Boucher Extension de la zone jaune en projet Promenade de la Plage

Zone jaune Parc de la Villette Arrêt-minute Chemin du Val Fleuri


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URBANISME

PLU : la concertation

se poursuitLa dernière phase de concertation des Cagnois concernant le PlanLocal d’Urbanisme est prévue pour le 2ème trimestre 2011. Il s’agitde l’enquête publique, à l’issue de laquelle les observations rete-nues par le commissaire-enquêteur, seront susceptibles d’être in-tégrées au document d’urbanisme qui, rappelons-le, est appelé àdéfinir les règles de construction et d’aménagement urbain pour laprochaine décennie.« Compte tenu des enjeux importants pour la commune, nous avonsdonc souhaité conduire la concertation de la manière la plus ouverteet la plus transparente possible » souligne à ce propos le Sénateur-Maire.Pour cela, plusieurs réunions publiques ont été organisées depuisla mise en place de la première étape du PLU : le diagnostic, réalisépar un bureau d’études en avril 2007.Une première rencontre avec les Cagnois était ensuite organiséedans la foulée, le 28 juin, pour présenter le P.A.D.D. (Projet d’Amé-nagement et de Développement Durable.Deux nouveaux rendez-vous avec les Cagnois étaient ensuite pro-grammés les 22 février et 2 avril 2010 pour la présentation du pro-jet de zonage et de règlement de P.L.U.Ce document a été exposé pendant deux mois, du 2 février au 24avril 2010, et un registre spécifique a été ouvert pour recueillir lesavis. Plus de 1100 personnes ont consulté le dossier et plus de 230ont été reçues par les services à cette occasion. Le 23 octobre, les Cagnois sont à nouveau consultés lors d’une ul-time étape avant transmission à Nice Côte d’Azur. Le Conseil Com-munautaire de NCA arrête ensuite le PLU. Nous sommes le 23décembre 2010.Le document est à présent mis en ligne sur le site internet de laville : www.cagnes-sur-mer.fr, afin de prendre connaissance dudossier. Mais attention, les éventuelles observations ne pourrontêtre formulées que dans le cadre de l’enquête publique, dont lesdates précises seront publiées ultérieurement. A l’issue de cette enquête, le projet de PLU devrait alors être défi-nitivement approuvé par Nice Côte d’Azur, avant la fin de l’année2011.

Pour consultation du plan local d’urbanisme : www.cagnes-sur-mer.fr

ou sur place : Service Urbanisme49 av. de Nice - Tel : 04 93 22 19 29

du lundi au vendredi 8h30 à 12h30 - 13h30 à16h30

Cros-de-Cagnes

Rue des Orangers : depuis le 14 mars, les services de NiceCôte d’Azur ont lancé les travaux de rénovation et de ren-forcement des réseaux d’eaux.Des canalisations de 400 mm sur une longueur de 230 m (eaux usées) et 190 m(eau potable) vont pour cela être posées. L’opération programmée en cinqphases sur une durée de quatre mois, a débuté par la partie sud de la voie, pourremonter jusqu’à l’avenue de Nice. Coût de l’opération : 470 000 €

Haut-de-Cagnes

Rue du clapier : Aprèsla place Grimaldi et lamontée des Sarrazins,la Communauté Ur-baine a engagé mi-janvier, un importantchantier de rénovationdes canalisationsd’eau potable etd’eaux usées, ainsi quela mise en place defourreaux pour l’éclai-rage. A l’issue de l’opération,la rue bénéficiera éga-lement d’un nouveaurevêtement en galetset briques en partiecentrale. Coût del’opération : 180 000 €.

André-Jean ROSSOAdjoint délégué

aux travaux

PLAN QUARTIERS : Travaux de proximité


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SPORT

L’Union Sportive de Cagnes a 100 ans !

à L’AFFIChE

TÉLÉVISION

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel a arrêté un ca-lendrier progressif, mené région par région, pour lepassage à la télévision tout numérique.Pour notre département, le CSA a fixé la date du 24mai, c’est-à-dire demain !Pour préparer cette transition, France Télé Numérique- organisme public - se tient à la disposition des usa-gers pour répondre à toutes leurs questions sur lesconditions de réception.Une large information (encadré ci-dessous) ainsi qu’uncentre d’appels ont pour cela été mis en place : 0970 818 818 (numéro non surtaxé, prix d’un appellocal, du lundi au samedi de 8h à 21h), ainsi qu’un siteinternet : www.tousaunumerique.fr

Mais de quoi s’agit-il ?La diffusion hertzienne analogique des 6 chaînes his-toriques (TF1, France 2, France 3, Canal +, France 5/Arteet M6) sera remplacée par une diffusion hertzienne nu-mérique, qui permettra de recevoir jusqu’à 19 chaînesgratuites.Pour cela, tous les postes de télévision qui reçoiventuniquement les 6 chaînes par une antenne râteau ouintérieure, devront être adaptés à partir du 24 mai pourcontinuer à recevoir les programmes de télévision.Il n’est pas nécessaire de changer son téléviseur. Il suffitque ce dernier soit équipé d’une prise péritel sur sonposte pour pouvoir brancher un adaptateur TNT. C’est le cas pour tous les postes achetés après mars 2008.

Il est donc important quechaque téléspectateurpuisse réaliser dès à présentson mini diagnostic avec lestélé conseillers de FranceTélé Numérique pour avoirune information publiqueet non commerciale adap-tée à sa situation.Précisons enfin qu’avant des’équiper, les résidents enimmeuble ou lotissementdotés d’une antenne râteaucollective, devront vérifierauprès du syndic ou du ges-tionnaire d’immeuble, quel’antenne collective estcompatible avec la récep-tion des signaux numé-riques.Les abonnés à « numéricable » (individuel ou immeu-ble collectif ) n’auront pour leur part aucune interven-tion à effectuer sur leur poste, pour le passage au toutnumérique le 24 mai. A noter que le site www.numeri-cable.fr ou bien l’assistance téléphonique 3990(1) estmis à leur disposition pour fournir toutes informa-tions(2) concernant l’accès aux 19 chaînes de la TNT.

1/ Coût d’un appel local depuis un poste fixe. 2/ Renseignements éga-lement en boutique (10 bd Wilson, Antibes et aussi à Cannes et à Nice).

24 mai : arrivée du tout numérique

Réunion publique avec Philippe Simon - Délégué régional PACA France Télé NumériqueVendredi 22 avril 2011 à 19 heures Salle Espace Centre - Avenue de Verdun.

Un bus info de France télé numérique se tiendra à disposition des usagersle vendredi 6 mai de 9h à 16hsur la place de Gaulle

et le mercredi 11 mai de 10h à 17h, place Saint-Pierre au Cros-de-Cagnes.

L’événement ne pouvait passersous silence et Jean-Pierre Mercier,président général de l’U.S.Cagnesa su mobiliser ses équipes pour cé-lébrer comme il se doit le 100ème

anniversaire de l’Union Sportive deCagnes.Pour cela, un rassemblement sousla bannière bleu et rouge des 26sections que compte l’US Cagnes,

était organisé au port du Cros,dans une ambiance festive. Foot, basket, Volley, Handball, Es-calade, Judo … ils étaient tous là,jeunes et moins jeunes. A l’heure des discours autour ducar podium Nice-Matin, associé àcette célébration, JP Mercier asalué le travail de tous les béné-voles qui animent avec dévoue-

ment et compétence la vie desclubs. Un hommage auquel s’est associéle Sénateur-Maire, ainsi que le dé-puté de la circonscription, LionnelLuca et Jean-François Denis, direc-teur départemental de la cohésionsociale. Une page est tournée. L’histoirecontinue …


agora n°56

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