h o d iam dËpartelehtiles.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_mrc.pdf ·...

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m-- M m e. •w n ‘A k SchIii, «n iMirntii '4« ■dê>Ville I — A fei*!». Jmn>l*p<|He« RnMMCke. JT, i.ArMTB>BULMRRe| Gôw|>.. Bt ^ el Vlirs Im l.ibniim an A O T O T O E S I ü D f C I A I R Ë S . ',1 #P9^ m- %|AiléKKBMBKTt lleeiM DÜMeftnnit I ^ rm m ni» iivsRiivittïfst * ANNONCI» JUDICiViftt», M rml* U ANNOI<«:n niVKBSrJls » id. 7- Pdf un dt^ml impérial eii dnle dn $8 nnâl i86l. rcu* ■dMAHrid pruposiiion.aii' iniiiisir» des nflUireA ^Iraiigères. H> le mn>9iiU idp.L'evaielle. st^iiaïeur, apnbiiM^dciiir près S. )l/i. lè'Sullan.^a ^lé numméen la fnèoie.quaUlé près' le Sainl*Stè||eI'CU'férapiaèeiiieiil de M.-le,due de Çramohi. .If. lp.mait|)ii4'dèMnui(li«r, ambaMadênr près S. M. l'em* neièùr Ü Ailfridie» ti été nuniruè ou la m êm e qualité nrê^ 8. Ü- !• leJSullau. • - Xv^fdMc.de-Gninieiil, ambassadeur près le Saiiil*8iëge, aêtê nentniê éa da même qiialllé près S. M. l'empereur d'AbIrioliè. pu remplacement de N. le marquis de Moustier. U* lA-Méniffur a publié un d* cret pnrlaiil qiie les b1é> tcomepls étrangers, sans distim tiuii d'espècé ni d'nrizine pourront être imparités temporairement, èn rraiiehiw de droils> pnnr la inouture,jtous tes condiliuns déterminées par la Ini du 6 jiiiliel lA w . Jje luèiné décret détermine les conditions do rendement delà moulure et celles de la réexportation. Mirés s'eMri'onr^Q «fi cassation contre l’arrét de 19Q |‘«Apllntie*{ qqàBl * la/ peuié .'édictée iy,..il'«nieo(te), le.Jugement du tribunal m première Instance. — Il est i^rjens ment question, nu conseil d'Elnl, d'un pmirl de-loi d’après lequel les passeports seraient sup. ' primés è l'intérieur de la France. .reurex/raiVetrerfactrân; E. REGNIER. H O D ia m DËPARTElEHTiLES. -«S;imo«ll .dèmiër. SI août, a en lieu ronvertiiredc la section •du c4ie'min de H t de Paris A Villers-Cotterêts que nous aviiiiis aiinonrée'. A ueiif heures 80 ininutes dii matin, un train venant de Paris est entré dans.la garé de Villers-C.ulterêts. oû.il était attendirpar tes àuturilés. le clergé, la gardé iiaiionale. et une foule. nnmbreiisiMle curieux. Aucun des adhiinisirn* leurs de ta eoiiipaguie dit Nord n’était venu pour celle cé rémonie: un êinployé aupèrieur, M. Mathias, avait été cbsiilAde rtnailguraliou p.iriielJe de |n noiivelte vole. ' N;'mihbè t'diobtèl. 'Cdré-diiyên.'a héni l.*i toeoinoiive et prononcé une atlociilnUreU vers:.pûH'ùti banquet de 50 jermtni là fMu «fflêfelie. liC lendéniàin, dimaindie, leA ré}OuissRéees publiques ont^ -canliipié.'nnqr «.^iébrer cul évènenienl-si important pour toiiti'it 1rs liicaiités desservies par la nouvelte voie ferrée. I.e; snlr^ niila tiré un feti d’arti.nce. cl le B.isi|ucl a été illuminé jtâr des feux deiBciigâlc. ' On .nrt'itS saura g ^ dé reproduire la rlialctirouse ins piration qui a valu de nombren x éloges A son auteur. Au gré do.no4 désirs, te voilA donc Duverle, !.tguu liinl désirée, liier eitcor dés>-rlr? lAiigleinps lu fus robjel de cjvttuurcux débats : Tu lions ri'stCj: ontin pour prix de nôs combats. E'i'v.iin. dans un s.)tnt zèic, une vieille voisine, nir-lio déjà irun port, d'un canal, mainte usine, Vontail nous contester et ta ligne çt nos droits. Nous enlever la palme et rhunnciir à la foiiA*, Essayaqt contre nous une lutte iiii^galc. Elle dut succumbcrM’urnc lui fut fulale. Üttsa. fiqble défaitp, elle se consola. Et nous lVt,idanl la main, vginqiieurs nous proclama. Nous devons la-vieloiro A l'Eiu de l.i Francè'; Par lui surJiQs eontrées déji briltvet s'avaiico Dnc ère.piusitRureiise, aurore dcsln.sitix jouis. Qui pour pons dtbinrmais se lèvont pour toujours. Honneur qu magistrat que la cité révère, Qui sut si. bien remplir sa t&che intélaîro! Gloire A la. t'onqiagnic, A ces hommes de cmur. Qui l’ont beaucoup aidé dans ce rude labeur! I>a cité de nos rois itemblait déshéritée. Sa gloire; hélas! le temps l’avait cummo emporlée: nie reprend enfin son antique splendeur. Sa place cl son haut ra«^ qui DrenI son bonheur. l.’écho do 1.1 forêt, les rivages de l’Aisne, ' ^ bourgs, les haineatix, tous, jusqu'aux bords do la Seine I wsnnt émus, levés pour elte ; airdenls champions Qui pour elle en Iniit lieu luttaient comme des lions. ^ ce triomphe, oh ' commc-olle est justement ücre ! b’avenir lin sourit plus pur et plus prospère, nicbesse, aisance, ami, touriste, nniatils des bois, o vons vois accourir, vous ranger sous scs loi.s, Déjà daits sou .sein coiilc une notiVRlIe vie. Qui.lui rend sa jeunesse et fait taire l'envie. A loi ligne féconde, A loi nous les devons Ces bioiifiiiis du seigneur : A Dieu nous les rendons, bigne brûlante héissl pur les niics rapides Tu vas uoi)seni})orlAr; qu'ils le servoiit de guides . Du ciel cfs.anges saints,.qu'ils veillent sur nos p.is. Ecartent tout péril ol ne permettent p.is. Que japiais ni wagon, que ni locomotive,! N'iu'late sitr la roule, ou n’aille à ta dérive. Ah! puisses-tu bientêl. dans uii sublime élan, Jusqu’A Soissons l’élendi'c, et courir.jtigqu'A bapu! De2IA'|vi«ndk‘e;ton vfd, toucher A la frouiière,. Et verÿer raboiidance en tnitt lieu siir )a terre ' ^ignéur, dans la éboulé, de ton hunible pasteur, Eiatrao-iA prière : arôme de son cœur. eansé.ne s’élève qu'A 3,000 fn Toùl élRit assuriV;^ BEAUVAIS. ->• Dimanche, A dix lieures et demie du soir. Un commencement d’iucèndîé a ru lieii dans la fabrique de NM. Têtard, boulevard.8aint-icàn^ 1,'àlerte ayaiil été sur- w*cbai«p.. donnée dans toute .la ville, les pompiers se 'itmit transportés, avec leurs pompes, sur le lien du siiiislrr, sui vis bientôt de çcux des enviions et d'une foule d'hoblipnis. I^es Aulorités civiles et milllnires, la m.igistrnlure^ là gen darmerie et la Iroiipc s’y sont rendues t^alrmont aussitôt. GrAee.aux prompU secours porle.s, le. feu a été un pende leaips maîtrisé, et .entièrement éteint A mintiii un quart: H avait pris daiis des toiles gommées et autres marchandises <l>ii se trouvaient auprès de la pompe A feu. te dommage üeolorcrancim.l doniicut A ccife di.slnbt^ la présence ol les évolutions ,Ues enfanlK du I asile. On ne peut se lasser de voir toutes ■10111.!!,*!-!. * ^ " ' ^ ! ^ ' * ^ ' ; lèlés S'jigiter ut se il!» droite, à gauche, a^ec un ensemble presque mb lo'd'uu*» «*>vec un nrtifveâu plaisir ces chanianl, avec une animaliou ^ wmplcls approprié.^ Ala circonstance; S rfT«v, **'V* ^ en«l>échur de dire : quelle peine rebgieiises pour parvenir A ni r • P?:*. disait une dame. en. faimpï nu w II- r'- 1 de luodesiiH.avcc laijuelte les *'• pré'suntcr, ne les plaignons pus. ces, ctif.inls du peiiplo font honte aux nôtres. • Ü’élniti reproches qui valent d'antre c“fnplln?ei|ls : nous n'en ferons point assisté A la di.siribüiion ont pu n ‘'**1'"*'*'“» de Iravaux A l'aiguille. l>rodençs, des |apis.<crie.s et, aussi d’autres « . i? P'".^ praliquo. Quelques personnes OUI iM^vé q«iR ce.s deriiiers n'ocniipaiuui peut-être pas flpnsfl^piisiiion une place assez cftnsldéralde; mais iiuqs /tffons rom.inipvr quu. si dans lu conrani de Paiinée on opprcnd surloiil au.x enf>ints la couture el le raccommo* uage. on no peut cependant exiger qn’cl!e.s exposent, le pmr de la djsJnliiilion, du ces lrav.iiix d'une iillhlé Inron- ti-.^iiiDlc, mars d une «onvenanée, ou ravoiiera. queliiiicfois équivoque en parellli- circoiusianco. Nous ne leur ferons unnc pas un reproelie de ne nous .ivoir pas montré ces onjcisj mais, sachant h- soin nue mel.lenl les religieuses de huiH-Josepii a ensttisuer les choses prailqne.s aux riifaiils floiil rlle.s eritreprenueiil l'éiincalion, nous Jugerons niiu colles qui fonl de si .belles lapis.series savent aussi faire servir leur aignille.A des travaux pins pratiques: comme nous avons juge de leur science dans la grammaire et la Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces de [loésic. . T. I8ÔI. A.J|rqi.s heures de l'après-midi. la socieié d apiculture, convffmjée eu assemblée génér.de. s est réunie dans un am]itiii(ié.Alre des Arts cl .Méliei's.sous la présidence de M. le viiaunlcde l.icsville, assesseiir. Dans l î 1*. nons voyons un noiu de iiuire ville. ' j Girault, place de l'Hôlel-de-VilIc, a oblenu une tiiédaille de 5* clits.sfl, pour sj pratique iuiclligenle el ses miels •expo.sé.s. l.a chambre de discipline des avoiié.s de l'arroudîsse- suit, pour l’année ■jqaicrairo I881-I8G2 il" Frémy. présideiil ; — Godiu. syndic ; — Pelbois. rap- pnrlcur; La.sscrrc, serrélairedrésorier. ' — I.e dépôt du 5' régiment de hussards, dont les esca drons actifs soni slalioiiiiés A Paris, a reçu l'ordre de se rendre de Joigny A Seiilis, oùll arrivera le 11 septembre preiive d’ûn grand dévoàmenb Oii n'a eu à déplorer atici .accident, ... ..J-B pompe du rhemin de fer, rsmdiiitc par le survrillaur Collel. eatarpivée l'une des premières sur le lieii du siiimlro. .ou elle a rendu, comme dé cuulume, les services le.s niüs actifs.- / CH.INTI.IJ.Y. —. |.e feu a pris, daü« insoirt^edu 30ài>ûl, dans réciiriedii sieur Gouverneur. itnii%pn?nrMir de voitures pubtimies. a con.<iumé iruis cnUverlurrK de cheval, des clfels d'habiliem«nt, et-ndommagé le biis de ht. Il a suni de .quelques sefiux d'eau pour l'éleliidre. Ce comnieuceuienl d'inceUdie est dû A l'imprudence du gfir^n d'érnrie qui avait laissé brûler un bout de chaudèlle dans sa lanterne qu’il avait suspendue A un clou flxë A une planche du mini- laiit dudit. La perte, garantie par l’as.surance. cal de 70 f,-. COMPIÊGNE. — l.a loi GrammnnI vient de recevoir son application A Compi^ne.'M. le juge de paix, dans son au dience du S7.aoùt, a condamné A iS fi-nncs d'amende et. aux dépens, le sieur Augusip Evroy. ciillîvnleur A Janx, pour avoir maltfaité ol brulali.sé son .Ane sur la piude do Fflêlebdo-Vilte. .. . .. , j CREIL. rr Dn écrit : Le À seplembré, A une heure de l'aprè-H tuidi, nu jeune enfant jouait avec des ^llnmetles dans la cour de la femme Munchemn et auprès d'un las de paille. • Gell® P**!!!® ses! cmbrii.séc cl a cmnmuniqué le feu à un petit bâtiment couvert en chaume qui a él.'? cumplclemenl rmisumé; t.a perte est sans importance, gr.àce au zèle et à l’activité habituels de nos pompiers cl de 1.1 population ouvrière de notre ville, toujours prêle A se porter i» pre mière lA où il y a du danger; mais le sinistre atirail pu prendre de très-larges proportions, s'il n'avail pas été con centré dans son foyer. A FONTAINE-LES CDIIPS-NUDS. ~ Les deux troncs de 1 égjise de Fontaine viennent d'être volé.s en partie : 15 fr. environ en ont été .sniistr.iils. Lé vol a dû ôire commis en plein jqur, aucune clfraclion n'ayant eu lien. Le voleur, aussi-aiidacieiix qu'adroit, puisque l'église n'c.s| millctnenl Isolée cl est située daiis la partie du village la plus fré quentée, s'est servi de glu pour extraire, pièce nar piiîce laigrnl des troncs. L'auteur est inconnu: seulemenl. ce qui ferai! supposer ne c’est un chevalier d’iiidiisirie. c’rsl qu'à UarcsI uii vol :e même nature a été commis le même jour nu la veille dans les mômeK circeiistauces et avec les mémos moyens.’ LIANCOURT. — l.e modèle de la slaliio du duc de LarochefBuoautd-Lianconii est dû à M. Maindron,s.i bonne exécution fait honneur à l'école des arts el-niéiiers de la Tille d’Angers, et principulemrnl A M. Uiessi-, chef de h fonderie, quia dirigé les travaux du moubige .ivec tine grande habileté. L’inauguration de celle belle et rnloss.ile statue, sur la place publique de laancotjrl-snus Clcrmont aura lieu prochainement, au plus tard te dimanche 6 octo bre 1861. Les Iravaux et les préparatifs pour celle soicnnilc qui doit combler le» vœux des habitants de Liancourt. grâce aux autoritihi locales el A la commission nu:nmée à cet clfei, se poursuivent activement. NANTEü|I.-Lli-IIAl)001JIN. — t.a ligue du rhemin de fer de Paris A Soissons a été onvcrle tu 31 août justiu'A Vil- lérs-'Golterôts, grùr«'A Pactivité que .MR. les Ingénieurs ont déployée surtout dén-x le» derniers moi». 1-c premier train parti dé Villei-s-CoUvrêts. A G h. 58 ra du malin, était orné de guirlandes de lleursci accuinpiigné de I éxcellenle musique de celle ville ’ ' Il a été Je sujet d’une complète ovation el partout l’em- pre«scment.et te contentement éiaîent grands. Ou espère qu'au printemps prochain, la ligne sera on- ^ rle pisqu’ASoissmisoit elle se soqdera A la ligne de Reims; Qimt les travaux doivent être lcrminé.s pour celle époque. PONTPOl.NTi — Dm» la nuit du 27 au 28 aoùl. un vo! de 50 bottes de sainfoin a été e-ommis dans les'champs, sur Iç lerriloirè de Maiirii, au préjudice du sieur Ilavy (Jean- Chartes). propriétaire. Dn pense que le voleur s'cst servi d'une voilure pour enlever ce fourrage, attendu que la a iècé dé terre borde la roule départementale de Cires-lcs- lello.à Gilocourl, de laquelle elle n'est .sép.irée qire par un fossé. I.a voiture étant restée sur celle roule, o;i a uppo.-tù le» boites prè.s du fossé, et de là on les a jciées dans la voi* turc. Il a été impossible de savoir de qtiel rôlé le volimr s'est dirigé. La perte est év.alnée A 15 fi'iiu.'s. -> La gen darmerie s’est livrée A de» recherches aciivcs d.nis la com mune cl le» environs pour découvrir l'auteur ou iesaulciir.s du vol. car ils étaient évidemment plusieurs; m ils toute.» les démarches sont.resiécs Jusqu'A ce jour iurruciueuse.s. Dans la nuit du 27 nu 28 août, un vol de 30 kil. d'o- gnons, nmi détachés du sol, a été commi.s. dans le» champs, au préjudice du sieur Mercier (l.éupol<l), iiianoiivner A Mnru, annexe de Fontpoint. I^a pièce de terre qui a été dévasiéo est située sur le bord de la roule déparleinenlale de Cire»-les-)lello A Gilocourl. La gendarmerie sodivre A de» recherdics coiilluurlles et actives pour découvrir les malfaiteurs: m.iisJiisqu'A ce jour elle n’a encore ..pu recueillir aucun indice certain A leilr sujet. S.\INT*LElî-D'ESSERENT. — Le 3t août, deux ppliles nllcs, l'iiDe de 9 aiu, l'autre de 10.1rs nommées Joséphine Juux eê Henriette Qatcliicr. étant A laver A la rivière, aper- enrent le sieur Pirrard (Etienne), carrier A Boissyv uni se baignait seul. Cet homme traversa l'Oise A ta nage; puis quand il voulut revenir du côté où étaient ses vélcmenls. les forces lui manquèrent ut il disparut sou» l'eau; repcu- danl II revint A la surface, mais pour s’enfoncer une se conde fois. Les deux enfants se mirent à crier au seriuirs; un carrier de &iint-l>>u, nommé Cantiilôn, aecourul. I.e» iietilc» miès lui montrèrent l'endroit on venaQ de se m»yer Pirrard; il y plongea aussitôt, et ne put rien trouver. Ou continue les recherches. SENLIR. — Le 20 dn mois dernier, le» prix oui éié dis tribué» aux enfant» qui suivent l'éeotc communale de» niles tenue par les rclkieuses de Saiiit-Joseph. Avant mêiue l'heure fixée, une mute considérable remplissait la grande salle que le rollége Saint-Vincent met pour colle circon- inuiraut pour y lenir garnison. — Hier vendredi, sur les onze heures du soir, un m.'d- htiurpux évèiiemout esl arrivé sur l'aiHuemiu route do Lrepy. près les Iravaux du riieruiu de fer. Un cabrlolel fOnlenaui deux perstmne.-i surlail du Senlis; il faisait nuit sombre: le cheval s'est emporté «I «si hmibé dan» les Ira- 'aux, RHlraîiiaiil avec lui le cabrlolel el les personnes qui claïont dedans. M. Boisseau, eullivaleiir A Feigneux. a été tué, sur îrt coup; M. Üauxis, luéJeciu à Belz. a eu deux rôles rciifoucees ,11 a été constaté que l'on ne pouvait passer piitrc le» !)Ule.iux serv.iiil A barrer la rcmle. Ou ne peul imputer ce malheureux accldeiil qu'à l’imprudence des voyageurs. — A rnudieiirc de la juslicc de paix de .samedi dernier, un-garçon charcutier de noire ville a été comtamiié A 2 fr. d qrnendo pour avoir malirailé im porc l»ui»se celte t«con nVoptcr aux personne» habituées A frapper le» animaiix, èl leur apprendre qu'il existe une loi qui punit sévèrement Wiis qui se rendent coupables de celle brulalllé incoiicc- vab!c. — I.a Cour impériale d'Amion», ch.imbrc de» appels de milice corrcriionnelle. dans sou audience du 29 aoht, a domie acte A Jean-Bipliste Dugoulet. terrassier, demeu rant A Seiilis, de son désistement de rappel par lui inler- jeléd'uu jugement dn tribunal eorrecliunnel de Senlis du 21 juillet I8GI, qui l'.i condamné A quatre mois de prison, pour rébeHion et outrage public A lu pudeur. VLNEmi.-SAINT-FIÎIMIN. - Ou nous éciil r Monsietir le nirer.ieur du Journal do Senlix. 'C'rsl sous le charme du discours prononcé par .M. M«u- nier, man-e de notre commune, que J'.ti rinuineur de vons reuiire cotnpie de la dislribiiliiiu soleniiclli* des prix faite dimanche, aux élèves de l'école mitlucllo fondée à Vineuil par .U. et M“' RerhI. Il serait superilu ilc vous répéter ce qui .se dit partout el loujoiir.» A propti» de semblables cérémonie». t^diles, pièce» de circonslauce. dites el joué.s avec in telligence par nos jeunes élèves, au milieu d'un conconis aussi nombreux que sympalbique. d.ins une salle loujuurs irobélroile. arnmgéo avec goùi par .\|. ei .tj- Théroine, no» iiisliiuleur» depuis laiiiôl vingt uns, directeur» impro visé» de nos représenlalion» enfantines. ü t réunion était présidée par .M. le'maire, assisté du cuyô de Saint Firmiii. de M. l'abbé Blet, de Cliaulilly> el de» .membres du cous-ùl uiunicip.il, auxqiiels s'élail j'oint noiré rompatriole M. Augu.sie Polln. fmd.ileur de livret» de caisse d'épargnè en f.iveur des eièvc» de no» «cote». Avant la dislribulimi dos prix, M. .Meunier; dans un attgage parfail. a su captiver piMidant une demi-heure laltenliondi-sontmpalicnl .ludiloire; eouseils aux enfants el aux narcnis, rbqïe» A .M. le miré, léiiHiignage do salis- raclinii A .M. cl M“* Théroltte, roinereienionis à M. ihilin faveur de la eoinmittio. tout cela a « le dit dans nu style parf.dt, avec iiiiu iHinhouiie char- miuile ^ il nnu» semblait assister A la lecture d'une l'age do.Rerquin. ‘ ® . Pbins soulnitmis que les p.irole« de notre admiuislraleur ne soienl oubliées par personne; elles eoiitiemieut de» en- couragenii'iils que les élève» surtout ne saur.ucut Iropsc ratipcrer. Nous aurions voulu pouvoir vnu» adresser cc discours, qui ne |K»urrait que perdrç ù.imlie .m.ily»r. M. Potin est.venu eniitiito ranpcier le» m(ilif»«tle but de sa création en laveur de» éleve» d’une érxilu dans là- quelle »e sont écoulée» se» première» ,années. Aprè» avoir ju^ôposé. 8011 cnnrouili et de» foiids pbur-la jéorg.inisnlion d'une écote du solrni'i le» ouvriers pouviijnt venir'complétcr leur éducation pr^fesslotinclle. M.'Pollu ât rendti compte do la rêprésentaliuii organisée l’aiinée deri ' niorc par ses soin» sûr le Ihédire de Seiilis, soii» le'eat'rû- nage du N.. le Itaroii klounier,-sou» préfet de l’arrondiaRe- meiiL pour lii fondaiioii, à Vineuil, d’un bureau de Bien faisance. « Mai» avaitt de vous poser de» chiffre», permetles-moi, a dit. M.. Potin, .de faire acte «le^recinina>».»aocé envers M. le l*réfel, qui n daigné me soutenir de sa.puissante du- tortie, envers M. le Soiis-Pi éfel, dont le concHir» est tou- jonre assuré lorsqu'M s’agit de venir en aide aux infortunes, et envet» M. le .Maire, dont le zèle ne s’est pas. nii instant démenti ; je ne saurai» oublier non pius lé Journal dn Senlis. qui a voulu gratiiilrment ouvrir se» colonne» pour dbnnér A la représentation la publicité indi»pensal)le.à sou succès. » Et cil altendanl que le çuuseil municipal se prononce nliiciellement. olTi oii» publiquement un témoignage de pro- ‘ fonde graiilitde à mnda.iDe Madélome Brohau, à mes amis Bressam, lteMTall«it..^«iter«r et Miolan, dont hs mm» sont désormais iiisépàrabtw-de rioira eréalion;^-< - tMcmts. Loc.ition, y compris IO(j fr. adre.».sé» par S. Exc. )’am- 922^50* bassadeiir d'Angleterre Bilicl» pris au b u re a u ....................... Place» payée» au cunirôle . . . . M. lu Soiis-Préfel............................ -. Brinrhiirc» BcituvuMcl : Vetidue» A la représentation . . . A divers . . . M. de l,oiigu«il, membre du conseil de Priid'honiines de Paris '. ' . ..• . M. Dornange, 3, buiil. Montmartre; 33'00\ 30 50i 10 OOk 13 00/ 96 00 17 00 lOOO 8^50 Quéli! faite au mariage de M"* Dupré : M. et M“* VacqucrcI . . .V. A u b e r l ............................. M. Voiliirct . . . . . M. et M*" S.igaux, A Saint-Gunnain. M. f.ambiii, A Vineuil-. ' . Divers ................................... lAiS artUtes qui ont prêié le coitcour» de lèiir immense talent au succès de la répréêentution, ont adressé A M. Potin : M*TMadeleiné Brohnn . MM.UeiiiivAtlel . . . . BVe^m . . •Kellerer , . . Miolan . . . . . S0'00\ a 00 3 00 10 00 5 00 17 00^ 20 00 20 00; «•fe Le» dépeniics sc soul élevée» à liilérêl» de celle somme . . . . . . . ludüuinilé versée par un .s'iour Perrol, de Paris, A litre de transactinn ................................... iO 60 Bl. Polln verse persnnnellemont .............................. 200*00 r pour former fc-prcmicr fonds «l’une société de secour/m-i- lucls ou d'uu bureau du bieiiLiisance.. Après avoir rendu hommage A la bicnveiltmicc du MSf. Clicvaliur. secrétaire de la c-ommis<imi supéridftre de» se- ' cour.» mutuel» au luinistèru de rinlérieur/'fick. membre de lu commission mtmicipalc, président-fondàteur de bi société du secours du Temple, rt Béguin, membre du bi»- reau de lucnl'.iisance du 2* arroudissemeui de Paris depuis 2Ü aii.s, qui ont olfert le cmicour» de leurs liimicres pour aider noire uréallou, .M. Poiiu s'e.»| exprimé ainsi « Nuire luil, .Mes.sienrs, est de créer niio cbn.»c bonne, utile, faisons tous ims elforls pour y parvenir. Moralisons. • Créer des établissement» de bienfaisance, c’est aussi faire actu «to patriotisme <:i dé dt;vouement au gouverne-- ment de l'Empereur, dont la pensée incessante est d'amé liorer le sort des classes pauvres. • Et d'ailteiir.-;, l'établissement d'un bureau.de bienfai sance ou la création d'une sociélé de secours mnliicls ne- non» donnent-ils pas le di;oil d'espérer des secours du gou vernement ou de l'autorité supérieure de notre dépaile- mcnt; l'Etal, vous le savez, ccn».icre annuL-llemcnl de.» sommes considérables eu faveur de» établissement» dc- c«'tte nature dont' la bomm adminislralion «U le» besoins Itri sont démontrés, el alors l’avantage qu'y trouve le poutre li»i crée de.» obligation.» envers t'administralion qui bri vient en aide. • l.'abseuce «le t«i.ute organisation régulière n’empêche pas, sans doule, de secourir la classe indigente, mais on^ agit dans ce cas loujuiu-s isolément, et l'cirel moral n'e.»! pas A beaucoup près ce qu'on peut espérer d'une création régiiliitre dont loimutrôleesIsoumisAraulorilésupéricure, cl les secours alors ne suul pas souleraiml dirigé.» par le cmUr, mais enctrrc par te désir, l'obligation même d'admi nistrer ntilcment et H’gulièrcmcnt. Eu agissant ainsi sou» la surveillance d'un c«nnilé directeur, on évitera d’encou- r.«ger la p«^îsse, en élnjgn.mt des sollicileur» plns souveiit^ cntraniés par l'halnlnde de demander qiio par des besoins, réel»; cnr’it i»e faut pas l’oublier. l’amuiVne crée le pauvre, ri d«w seeoimt mal «Hileudii» «HeignenI l'acüvité ehrz cerr tains individus et peuvent f.«ire pcr«h*o l'habitude dn travail. • J1 qnc rinfiuence du gouvernement qui nou*. viendra en aide sc Ltsse conlinuellemciU sentir; que les secniii-s siVtenl distribués d.mssnn intérêt, el alors, comme j'avais rhonnenr de vous le «lire, r'esi faire acte de palrio- lUme que d'aider A la créniion d'une œuvre définitive, et j’cs|)ère en t;ndmini»trali«i,T municipale pour seconder mes clfort». • L'opiwl dis. laiiréal, t.iil par M. le Maire, les li.rels, dont, le relrail ne peut tire opéré qu’i la niaisrilé ÿ i liluliiée ont «'té décernes : Le I", do 30 fr., A Emile Dizien (rapprt). 1,0 2*. do20fr., à.Albcrt Maillet. Le 3*. de 15 fr., A Virlor lleiiry (rap|«el). Le 4*, de ID fr., A A|fivd-Théo«inro pinçon (rappel). Le 5% «le D) IV., A Louis-Viclor jvtplmmm nèsconiigiiy,. Le 6% de 25 fr., A Btanchn CHroline-Jtisépliine Bornicte. Le 7% do 15 fr., A Jfullc-Aimable R aii^ut. La céréfnonie a été close par un ctNiqilinipal adrriiù.par les élève» A M et M“* PoHir, tir par le jeune M«lll«-fp5’ i,a reconnaixsancc de» bienfUil» y>»t vivement eXwMiZ, et l(» élèves, p:ir l'octane de letir jeûne rs/narad^^’pfû- ,.

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Page 1: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

• ‘ m-- M m e .

• w n ‘A

k SchIii, «n iMirntii '4«■dê>Ville I — A fei*!».

Jmn>l*p<|He« RnMMCke. JT, i.ArMTB>BULMRRe| Gôw|>.. Bt ^ el Vlirs Im l . ib n iim an

A O T O T O E S I ü D f C I A I R Ë S .

',1

# P 9 ^ m - % |A ilé K K B M B K T t

lleeiM DÜMeftnnit I ^

r m m n i » i i v s R i i v i t t ï f s t *ANNONCI» JUDICiViftt», M rml* UANNOI<«:n niVKBSrJls » id.

7- Pdf un d t^ m l im périal eii dn le d n $8 nnâl i 8 6 l . rcu* ■dMAHrid pruposiiion.aii' in iiiisir» des nflUireA ^Iraiigères.

H> le mn>9 iiU idp.L'evaielle. st^iiaïeur, apnbiiM^dciiir près S. ) l / i . lè 'Sullan.^a ^ lé nu m m éen la fnèoie.quaUlé près' le Sainl*Stè||eI'CU'férapiaèeiiieiil de M .-le,due d e Ç ram ohi.. I f . lp.m ait|)ii4'dèM nui(li«r, am baM adênr p rès S . M. l'em*

neièùr Ü Ailfridie» ti é té nuniruè ou la m êm e qualité nrê^ 8. Ü- !• leJSullau. • -

Xv^fdM c.de-G ninieiil, am bassadeur près le Saiiil*8iëge, aê tê nentniê éa da m êm e q iia lllé près S . M. l'em pereur d'AbIrioliè. pu rem placem ent d e N. le m arqu is de Moustier.

U* lA -M éniffur a publié un d* cre t pn rlaiil q iie les b1é> tcomepls étrangers, sans d istim tiuii d 'espècé ni d 'n rizine pourront ê tre imparités tem pora irem en t, èn rraiieh iw de droils> pnnr la in o u tu re ,jto u s tes condiliuns déterm inées par la Ini du 6 jiiilie l lA w .

Jje luèiné déc ret déterm ine les conditions do rendem ent delà m oulure et celles d e la réexporta tion .

Mirés s'eMri'onr^Q «fi cassation co n tre l’a r ré t de 19Q |‘«Apllntie*{ qqàBl * la / peuié .'édictée

iy,..il'«nieo(te), le.Jugem ent du tribunal m prem ière Instance.

— Il est i^ rje n s m ent question , nu conseil d 'E ln l, d 'un pmirl de-loi d ’après lequel les passeports seraien t sup.

' primés è l 'in té rie u r d e la F rance..re u re x /ra iV e tre rfa c trâ n ; E. REGNIER.

H O D i a m D Ë PA R T E lE H TiL E S.-«S;imo«ll .dèm iër. S I ao û t, a en lieu ro n v e r ti ir e d c la

section • du c4ie'min de Ht de P aris A Villers-Cotterêts que nous aviiiiis aiinonrée'.

A ueiif heures 80 ininutes dii m atin , un tra in venant de Paris est en tré dans.la g a ré d e Villers-C.ulterêts. oû.il é ta it a tten d irp a r tes àu tu rilés. le clergé, la g a rd é iiaiionale. et une foule. nnmbreiisiM le cu rieux . Aucun des adhiinisirn* leurs de ta eoiiipaguie dit N ord n ’é ta it venu pour celle cé­rémonie: u n êinployé au p èrieu r , M. M athias, avait été cbsiilAde rtna ilgura liou p.iriielJe d e |n noiivelte vole. '

N ;'m ihbè t'diobtèl. 'Cdré-diiyên.'a héni l.*i toeoinoiive et prononcé une atlociilnUreU v e rs :.p û H 'ù ti banquet de 50

jerm tni là fMu «fflêfelie.liC lendéniàin, dim aindie, leA ré}OuissRéees publiques ont^

-canliipié.'nnqr «.^iébrer cul évènenienl-si im portan t pour toiiti'it 1rs liicaiités desservies p a r la nouvelte voie ferrée. I.e; snlr^ niila tiré un feti d ’arti.nce. c l le B.isi|ucl a été illum iné jtâr des feux deiBciigâlc.' On .nrt'itS saura g ^ dé re p ro d u ire la rlialctirouse in s­piration qui a valu d e nom bren x éloges A son au te u r.Au gré do.no4 désirs, te voilA donc Duverle,!.tguu liinl désirée, liie r e itcor dés>-rlr? lAiigleinps lu fus ro b je l de cjvttuurcux débats :Tu lions ri'stCj: ontin pour p rix de nôs com bats.E'i'v.iin. dans un s.)tnt zèic, une vieille voisine, nir-lio déjà iru n p o rt, d 'u n ca n a l, m ain te usine,Vontail nous contester et ta ligne çt nos dro its .Nous enlever la palm e et rh u n n c iir à la foiiA*,Essayaqt contre nous une lu tte iiii^galc.Elle d u t succum bcrM ’urnc lu i fut fulale.Üttsa. fiqble défaitp, elle se consola.Et nous lVt,idanl la m ain , vginqiieurs nous proclam a.Nous devons la-vieloiro A l'E iu d e l.i F ran cè ';P ar lu i surJiQ s eontrées d é j i b r iltv e t s'avaiico Dnc ère.piusitR ureiise, a u ro re dcsln.sitix jo u is .Qui pour pons dtbinrmais se lèvont pour toujours.H onneur qu m agistrat que la c ité révère ,Qui sut si. bien rem plir sa t&che in té la îro !Gloire A la. t'onqiagnic, A ces hom m es d e cm ur.Qui l’ont beaucoup aidé d an s ce rude lab eu r!I>a cité de nos ro is itemblait déshéritée .Sa gloire; hélas! le tem ps l’avait cummo em porlée: n ie reprend enfin son an tiq u e sp lendeur.Sa place cl son hau t ra « ^ q u i DrenI son bonheur. l.’écho do 1.1 forêt, les rivages de l’Aisne, '^ bourgs, les haineatix, tous, ju sq u 'au x bo rds do la Seine

I w snn t ém us, levés pour elte ; airdenls cham pions Qui pour elle en Iniit lieu lu tta ien t com m e des lions.^ ce triom phe, oh ' commc-olle est ju s tem en t ücre ! b’avenir lin sou rit plus p u r e t p lus prospère, nicbesse, aisance, am i, to u ris te , nniatils des bois, o vons vois accourir, vous ra n g er sous scs loi.s,Déjà daits sou .sein coiilc une notiVRlIe vie.Qui.lui rend sa jeunesse et fa it ta ire l'envie.A loi ligne féconde, A loi nous les devons Ces bioiifiiiis du seigneur : A Dieu nous les rendons, bigne b rû lan te h é iss l pu r le s niics rap ides Tu vas uoi)seni})orlAr; qu 'ils le servoiit de guides .Du ciel cfs.anges sa in ts ,.q u 'ils veillent s u r nos p.is.Ecartent tou t péril ol ne perm etten t p.is.Que jap ia is ni w agon, que ni locomotive,!N'iu'late s itr la rou le, ou n’aille à ta dérive.Ah! puisses-tu b ien têl. dans uii sublim e é la n ,Jusqu’A Soissons l’élendi'c , et courir.jtigqu'A bapu! De2IA'|vi«ndk‘e;ton vfd , to u ch er A la fro u iiè re ,.Et verÿer raboiidance en tnitt lieu s iir )a te rre '^ ig n é u r, dans la éboulé, d e ton hunible pasteu r ,Eiatrao-iA p rière : arôm e de son cœ ur.

eansé.ne s ’élève qu'A 3,000 fn Toùl élRit assuriV;^

BEAUVAIS. ->• Dimanche, A dix lieures e t dem ie du so ir. Un com m encem ent d ’iucèndîé a ru lieii dans la fabrique de NM. T ê ta rd , boulevard.8aint-icàn^ 1,'àlerte ayaiil é té su r- w*cbai«p.. donnée d an s to u te .la ville, les pom piers se 'itmit transportés, avec leu rs pom pes, s u r le lien du s iiiis lrr , su i­vis b ientôt de çcux des env iions et d 'u n e foule d 'hoblipnis. I^es A u lo rités civiles et m illln ires, la m .igistrnlure^ là gen­darm erie e t la Iroiipc s’y son t rendues t^ a lrm o n t aussitôt. GrAee.aux prom pU secours porle.s, le. feu a été un p e n d e leaips m aîtrisé, e t .en tièrem ent éte in t A mintiii un q u a r t: H avait p ris daiis des toiles gom m ées et au tre s m archandises <l>ii se trouvaient auprès de la pompe A feu. t e dommage

ü e o lo rc ra n c im .l doniicu t A ccife di.slnbt^ la présence ol les évolutions,Ues enfanlK du I asile. On ne peut se lasser d e voir toutes ■10111.!!,*!-!. * ^ " ' ^ ! ^ ' * ^ ' ; l èlés S'jigiter ut se il!» droite, à gauche, a^ec un ensemble presque mb

lo'd'uu*» «*>vec un nrtifveâu p laisir ces chanian l, avec une anim aliou

^ wm plcls approprié.^ A la circonstance; S rfT«v, **'V* ^ en«l>échur de dire : quelle peine

rebgieiises p o u r parven ir A n i r • P?:*. disait une dam e. en.

faimpï nu w II- r'- 1 de luodesiiH.avcc laijuelte les*'• pré'suntcr, ne les plaignons

pus. ces, ctif.inls du peiiplo font honte aux nôtres. • Ü’élniti reproches qui valent

d 'a n tre c“ fnplln?ei|ls : nous n 'en ferons point

assisté A la di.siribüiion ont pu n ‘'**1'"*'*'“» de Iravaux A l'aiguille.

l>rodençs, des |apis.<crie.s et, aussi d ’au tres « . i? P'".^ praliquo. Quelques personnesOUI iM ^vé q«iR ce.s deriiiers n'ocniipaiuui peu t-ê tre pas f lp n sfl^ p iis iiio n une place assez cftnsldéralde; m ais iiuqs

/tffons rom .in ipv r quu. si dans lu conrani de Paiinée on opprcnd surlo iil au.x enf>ints la cou tu re e l le raccommo* uage. on no peut cependant exiger qn ’cl!e.s exposent, le p m r de la djsJnliiilion, du ces lrav.iiix d 'une iillh lé Inron- ti-.^iiiDlc, mars d une «onvenanée, ou ravoiiera. queliiiicfois équivoque en parellli- circoiusianco. Nous ne leu r ferons unnc pas un reproelie d e ne nous .ivoir pas m ontré ces onjcisj m ais, sachant h- soin nue mel.lenl les religieuses de huiH-Josepii a ensttisuer les choses prailqne.s aux riifaiils floiil rlle.s eritreprenueiil l'éiincalion, nous Jugerons niiu colles qui fonl de si .belles lapis.series savent aussi faire servir leur aignille.A des travaux p ins pra tiques: comme nous avons juge de leu r science dans la gram m aire et la Ç 'ographie. p a r la m anière intelligente dont elles ont récité

'dialogues et pièces de [loésic.

. T . I8ÔI. A.J|rqi.s heures de l'après-m idi. lasocieié d ap icu lture , convffmjée eu assemblée génér.de. s est réunie dans un am]itiii(ié.Alre des Arts cl .Méliei's.sous la présidence de M. le viiaunlcde l.icsville, assesseiir. Dans l î 1*. nons voyons un noiu de iiuire ville.

' j Girault, place de l'Hôlel-de-VilIc, a oblenu une tiiédaille de 5* clits.sfl, pour s j p ra tique iuiclligenle el ses miels

•expo.sé.s.

l.a cham bre de discipline des avoiié.s de l'arroudîsse- su it, p o u r l’année

■jqaicrairo I881-I8G2i l " Frém y. présideiil ; — Godiu. syndic ; — Pelbois. rap-

p n r lc u r ; La.sscrrc, serré la ired ré so rier. '

— I.e dépôt du 5 ' régiment de hussards, dont les esca­drons actifs soni slalioiiiiés A Paris, a reçu l'o rd re de se rendre de Joigny A Seiilis, o ù ll arrivera le 11 septem bre

preiive d ’ûn g ra n d dévoàm enb Oii n 'a eu à déplorer atici .accident,... ..J-B pom pe du rhem in de fe r, rsm diiitc p a r le su rv rillau r Collel. eatarp ivée l'une des prem ières s u r le lieii du siiimlro. .ou elle a re n d u , comme d é cuulum e, les services le.s niüs actifs.- /

CH.INTI.IJ.Y. —. |.e feu a p ris , daü« insoirt^edu 30ài>ûl, dans réc iiried ii sieu r G ouverneur. itnii%pn?nrMir de voitures pubtimies. a con.<iumé iru is cnUverlurrK de cheval, des clfels d 'habiliem «nt, e t-n d o m m a g é le b i is d e h t. Il a suni de .quelques sefiux d 'eau p o u r l'éleliidre. Ce comnieuceuienl d'inceUdie est dû A l'im prudence du g f i r^ n d 'é rn rie qui avait laissé b rû le r un bout d e chaudèlle dans sa lanterne qu’il avait suspendue A un clou flxë A une planche du mini- laiit d u d it. La perte , garan tie p a r l’as.surance. cal de 70 f,-.

■ COMPIÊGNE. — l.a loi Gram mnnI vient de recevoir son application A C om pi^ne .'M . le ju g e d e paix, dans son au ­dience du S 7 .ao ù t, a condam né A iS fi-nncs d 'am ende et. aux dépens, le s ieu r Augusip Evroy. ciillîvnleur A Janx , pour avoir m altfaité ol brulali.sé son .Ane s u r la piude do Fflêlebdo-V ilte. . . . . . , j

CREIL. r r Dn éc rit :• Le À seplem bré, A une heu re de l'aprè-H tuidi, nu jeune

enfant jouait avec des ^llnm etles dans la cour de la femme Munchemn e t auprès d 'u n las de paille.

• Gell® P**!!!® ses ! cmbrii.séc cl a cm nm uniqué le feu à un petit bâtim ent couvert en chaum e qui a él.'? cum plclem enl rm isum é; t.a perte est sans im portance, gr.àce au zèle et à l’activité habituels de nos pom piers cl de 1.1 population ouvrière de no tre ville, tou jours p rê le A se p o rter i» p re ­m ière lA où il y a du d anger; m ais le sin is tre atira il pu p rendre de très-larges proportions, s 'il n 'avail pas été con­centré dans son foyer. A

FONTAINE-LES CDIIPS-NUDS. ~ Les deux troncs de 1 égjise de Fontaine viennent d 'ê tre volé.s en partie : 15 fr. environ en ont été .sniistr.iils. Lé vol a dû ôire commis en plein jq u r , aucune clfraclion n'ayant eu lien. Le voleur, aussi-aiidacieiix q u 'ad ro it, puisque l'église n'c.s| m illctnenl Isolée cl est située daiis la partie du village la plus f r é ­quentée, s'est servi d e glu p o u r e x tra ire , pièce n a r piiîce la ig rn l des troncs.

L 'au teu r est inconnu: seulem enl. ce qui ferai! supposer ne c’est un chevalier d ’iiid iisirie . c’rs l q u 'à UarcsI uii vol :e même n atu re a été com m is le m êm e jo u r nu la veille

dans les mômeK c irceiistauces et avec les mémos moyens.’

LIANCOURT. — l.e m odèle de la slaliio du duc de LarochefBuoautd-Lianconii est d û à M. M aindron,s.i bonne exécution fait honneur à l'école des a r ts el-niéiiers de la Tille d ’A ngers, e t principulem rnl A M. Uiessi-, chef de h fonderie, q u i a d irigé les travaux du moubige .ivec tine grande habileté . L’inaugura tion de ce lle belle et rnloss.ile s tatue, s u r la place publique de laancotjrl-snus Clcrmont au ra lieu prochainem ent, au plus ta rd te dim anche 6 octo­b re 1861. Les Iravaux et les prépara tifs p o u r celle soicnnilc qui doit com bler le» vœux d es hab itan ts de L iancourt. grâce aux autoritihi locales e l A la com m ission nu:nmée à cet clfei, se poursu ivent activem ent.

NANTEü|I.-Lli-IIAl)001JIN. — t.a ligue du rhem in de fer de P aris A Soissons a été onvcrle tu 31 août justiu'A Vil- lérs-'Golterôts, grùr«'A Pactivité que .MR. les Ingénieurs ont déployée su rto u t dén-x le» d e rn ie rs moi».

1-c prem ie r tra in p arti d é Villei-s-CoUvrêts. A G h . 58 ra du m alin , é ta it o rné d e guirlandes de lleu rsc i accuinpiigné de I éxcellenle m usique de ce lle ville ’ ' Il a été Je su jet d ’une com plète ovation el partou t l’em- pre«scm ent.et te contentem ent éiaîent grands.

Ou espère q u 'au p rin tem ps prochain, la ligne sera on - ^ r l e pisqu’A Soissm isoit elle se soqdera A la ligne de Reims; Qimt les travaux doivent ê tre lcrminé.s p o u r celle époque.

PONTPOl.NTi — Dm» la nuit du 27 au 28 aoùl. un vo! de 50 bottes de sainfoin a é té e-ommis dans les'cham ps, su r Iç le rr ilo irè de Maiirii, au préjudice du s ie u r Ilavy (Jean- Chartes). p rop rié ta ire . Dn pense que le voleur s 'cs t servi d 'une voilure p o u r en lever ce fourrage, a ttendu que la

aiècé dé te rre borde la rou le départem entale de Cires-lcs- lello.à Gilocourl, de laquelle elle n 'est .sép.irée qire p a r un fossé. I.a voiture é tan t restée s u r celle rou le, o;i a uppo.-tù

le» boites prè.s du fossé, e t de là on les a jciées dans la voi* tu rc . Il a é té impossible de savoir de qtiel rô lé le volimr s 'est d irigé. La perte est év.alnée A 15 fi'iiu.'s. -> La gen­d arm erie s’est livrée A de» recherches aciivcs d.nis la com ­m une cl le» environs p o u r découvrir l'au teu r ou iesaulciir.s d u vol. c a r ils étaient évidemm ent plusieurs; m ils toute.» les dém arches sont.resiécs Jusqu'A ce jo u r iurruciueuse.s.

Dans la nuit du 27 nu 28 août, un vol de 30 k il. d 'o- gnons, nmi détachés du sol, a été commi.s. dans le» cham ps, au préjudice du s ieu r M ercier (l.éupol<l), iiianoiivner A Mnru, annexe de Fontpoint. I^a pièce de terre qui a été dévasiéo es t située su r le b o rd de la ro u le déparleinenlale de Cire»-les-)lello A G ilocourl.

La gendarm erie sodivre A de» rech erd ics coiilluurlles et actives p o u r découvrir les m alfa iteurs: m.iisJiisqu'A ce jo u r elle n’a encore ..pu recueillir aucun indice certain A leilr su jet.

■ S.\INT*LElî-D'ESSERENT. — Le 3 t aoû t, deux ppliles nllcs, l'iiDe de 9 a iu , l 'a u tre de 1 0 .1 rs nommées Joséphine Juux eê H enriette Q atc liic r. étan t A laver A la riv ière, aper- enrent le s ieu r P ir ra rd (Etienne), c a r r ie r A Boissyv uni se baignait seul. Cet hom m e traversa l'Oise A ta nage; puis quand il voulut re v en ir du cô té où éta ien t ses vélcmenls. les forces lui m anquèrent ut il d isparu t sou» l 'ea u ; repcu- d anl II revint A la surface , m ais p o u r s’enfoncer une se­conde fois. Les deux en fan ts se m iren t à c r ie r au seriu irs; un c a rrie r d e &iint-l>>u, nom m é C antiilôn, aecouru l. I.e» iietilc» m iès lu i m on trèren t l 'endro it on venaQ de se m»yer P ir ra rd ; il y plongea aussitô t, et ne pu t rien trouver. Ou continue les recherches.

SENLIR. — Le 20 dn mois d ern ie r, le» prix oui éié d is­tribué» aux enfant» qu i su ivent l'éeotc com m unale de» niles tenue p a r les rc lk ie u ses de Saiiit-Joseph. Avant mêiue l'heu re fixée, une m ute considérable rem plissait la grande salle que le rollége Saint-Vincent met pour colle circon-

inuiraut pour y len ir garnison.

— H ier vendredi, s u r les onze heures du so ir, un m.'d- htiurpux évèiiemout esl arrivé s u r l'aiHuemiu rou te do Lrepy. près les Iravaux du riieruiu de fer. Un cabrlolel fO nlenaui deux perstmne.-i surlail du Senlis; il faisait nuit som bre: le cheval s'est em porté «I «si hmibé dan» les Ira- 'a u x , RHlraîiiaiil avec lui le cabrlolel el les personnes qui claïont dedans. M. Boisseau, eullivaleiir A Feigneux. a été tué, s u r îrt coup; M. Üauxis, luéJeciu à Belz. a eu deux rô les rciifoucees

,11 a é té constaté que l'on ne pouvait passer piitrc le» !)Ule.iux serv.iiil A b a r re r la rcmle. Ou ne peul im pu te r ce m alheureux accldeiil q u 'à l’im prudence des voyageurs.

— A rnud ieiirc de la juslicc de paix de .samedi d ern ie r, un-garçon ch a rcu tie r de noire ville a été com tam iié A 2 fr. d qrnendo po u r avoir m alira ilé im porc l»ui»se ce lte t«con nVoptcr aux personne» habituées A frapper le» anim aiix, èl leur app ren d re qu 'il existe une loi qu i punit sévèrem ent Wiis qui se renden t coupables de ce lle b ru la lllé incoiicc- vab!c.

— I.a Cour im périale d'Amion», ch.im brc de» appels de milice corrcriionnelle . d an s sou audience du 29 aoh t, a domie ac te A Jean -B ip liste Dugoulet. te rrassier, dem eu­ran t A Seiilis, de son désistem ent de rappel p a r lui in ler- j e lé d 'u u jugem ent dn tribunal eorrecliunnel de Senlis du 21 juillet I8GI, qui l'.i condam né A q u a tre mois de prison, pour rébeHion e t ou trage public A lu pudeur.

VLNEmi.-SAINT-FIÎIMIN. - Ou nous éciil r Monsietir le n irer.ieur du Journal do Senlix.

'C 'rsl sous le charm e du discours prononcé p a r .M. M«u- nier, man-e de notre com m une, que J'.ti r inu ineur d e vons reuiire cotnpie de la dislribiiliiiu soleniiclli* des prix faite dimanche, aux élèves de l'école m itlucllo fondée à Vineuil par .U. et M“ ' RerhI.

Il serait superilu ilc vous répéter ce qui .se dit p a rto u t el loujoiir.» A propti» de sem blables cérémonie».

t^diles, pièce» de circonslauce. d ites el jo u é .s avec in ­telligence p a r nos jeunes élèves, au milieu d 'un conconis aussi nom breux que sym palbique. d.ins une salle loujuurs iro b é lro ile . a rnm géo avec goùi p a r .\|. ei . t j - Théroine, no» iiisliiuleur» depuis laiiiôl vingt uns, directeur» im pro­visé» de nos représenlalion» enfantines.

ü t réunion était présidée par .M. le 'm aire , assisté du cuyô de Saint F irm iii. de M. l'abbé Blet, de Cliaulilly> el de» .m em bres du cous-ùl uiunicip.il, auxqiiels s 'é la il j'oint n o iré rom patrio le M. Augu.sie Polln. fm d .ileu r de livret» de caisse d 'épargnè en f.iveur des eièvc» de no» «cote».

Avant la dislribu lim i dos prix , M. .Meunier; d an s un attgage parfail. a su captiver piMidant une dem i-heure

la l te n lio n d i-so n tm p a lic n l .lud ilo ire ; eouseils aux enfants el aux n arcn is , rbqïe» A .M. le miré, léiiHiignage do salis- raclinii A .M. cl M“* Théroltte, roinereienionis à M. ihilin

faveur de la eoinmittio. to u t cela a « le d it dans nu style parf.d t, avec iiiiu iHinhouiie char- miuile il nnu» sem blait assister A la lecture d 'u n e l'age do .R erquin . ‘ ®. Pbins sou ln itm is que les p.irole« de notre adm iuislraleur

ne soienl oubliées p a r personne; elles eoiitiemieut de» en- couragenii'iils q u e les élève» su rto u t ne saur.ucut Iro p sc ratipcrer.

Nous aurions voulu pouvoir vnu» ad resser cc discours, qui ne |K»urrait que p erd rç ù .im lie .m.ily»r.

M. Potin est.venu eniitiito ra n p c ie r le» m (ilif» « tle b u t de sa création en laveur de» éleve» d ’une érxilu d an s là- quelle »e sont écoulée» se» première» ,années.

Aprè» avoir ju^ôposé. 8011 cnnrouili et de» foiids pbur-la jéorg.inisnlion d 'u n e écote du solrni'i le» ouvriers pouviijnt venir'com plétcr leu r éducation pr^fesslotinclle. M .'Pollu â t rendti com pte do la rêprésentaliuii organisée l’aiinée d e r i 'niorc p a r ses soin» s û r le Ihédire de Seiilis, soii» le 'eat'rû - nage du N.. le Itaroii klounier,-sou» préfet de l’arrondiaRe- meiiL p o u r lii fondaiioii, à Vineuil, d ’un b u reau de Bien­faisance.

« Mai» avaitt de vous poser de» chiffre», perm etles-m oi, a dit. M.. Potin, .de faire acte «le^recinina>».»aocé envers M. le l*réfel, qui n daigné me sou ten ir de sa .puissante du- to rtie , envers M. le Soiis-Pi éfel, dont le concHir» es t tou- jon re assuré lorsqu'M s’agit de venir en aide aux infortunes, e t envet» M. le .Maire, dont le zèle ne s ’est pas. nii in stan t dém enti ; je ne saurai» oublier non p ius lé Journal dn Senlis. qui a voulu g ra tiiilrm en t ouvrir se» colonne» p o u r d b n n ér A la représenta tion la publicité indi»pensal)le.à sou succès.

» Et cil a ltendan l que le çuuseil m unicipal se prononce nliiciellem ent. olTi oii» publiquem ent un tém oignage d e pro- ‘ fonde g ra iilitde à mnda.iDe Madélome Brohau, à m es am is Bressam , lteM T all«it..^«iter«r e t Miolan, dont h s m m » sont désorm ais iiisépàrabtw -de rioira eréalion;^-< -

tM cm ts .Loc.ition, y com pris IO(j fr. adre.».sé» p a r S . Exc. )’am -

922^50*bassadeiir d'A ngleterreBilicl» pris au b u r e a u .......................Place» payée» au cu n irô le . . . .M. lu Soiis-Préfel............................ -.Brinrhiirc» BcituvuMcl :Vetidue» A la représentation . . . A divers . . .M. de l,oiigu«il, m em bre du conseil

de Priid 'honiines de Paris ' . ' . ..• . M. Dornange, 3 , buiil. M ontm artre;

3 3 '0 0 \ 30 5 0 i

10 OOk13 0 0 /

96 0 0 17 00 lOOO

8 ^ 5 0

Quéli! faite au m ariage de M"* Dupré :M. et M“* VacqucrcI . ..V. A u b e rl.............................M. Voiliirct . . . . .M. et M*" S.igaux, A Saint-G unnain.M. f.ambiii, A V ineuil-. ' .D iv e r s ...................................lAiS artU tes qui ont p rê ié le coitcour» de lèiir

im mense talen t au succès de la répréêentution, ont adressé A M. Potin :

M*TMadeleiné Brohnn .MM.UeiiiivAtlel . . . .

B V e ^ m . .•K ellerer , . .Miolan . . . . .

S 0 '0 0 \ a 00 3 00

10 00 5 00

17 00^

20 00 2 0 00;

« • f eLe» dépeniics sc soul élevée» à

liilérêl» de celle somme . . . . . . .ludüuinilé versée p a r un .s'iour P erro l, de

P aris, A litre de tran sa c tin n ................................... iO 60Bl. Polln verse persnnnellem ont..............................200*00

r • • • •p our form er fc-prcmicr fonds «l’une société de sec o u r/m -i- lucls ou d 'uu bureau du bieiiLiisance..

Après avoir rendu hom m age A la bicnveiltmicc du MSf. Clicvaliur. secréta ire de la c-ommis<imi supéridftre de» se- ' cour.» mutuel» au luinistèru d e rin lé r ie u r/ 'f ic k . m em bre de lu commission mtmicipalc, président-fondàteur de bi société du secours du Tem ple, r t Béguin, m em bre du bi»- reau de lucnl'.iisance du 2* arroudissem eui d e Paris depuis 2Ü aii.s, qui ont olfert le cmicour» de leurs liim icres pour a ide r no ire uréallou, .M. Poiiu s'e.»| exprim é ainsi

« N uire luil, .Mes.sienrs, est de c rée r niio cbn.»c bonne, utile, faisons tous ims elforls p o u r y parvenir. Moralisons.

• C réer des établissem ent» de bienfaisance, c’est aussi faire actu «to patrio tism e <:i dé dt;vouement au g ouverne-- m ent de l'E m pereur, dont la pensée incessante est d 'am é­lio rer le sort des classes pauvres.

• E t d'ailteiir.-;, l'établissem ent d 'u n bu reau .d e bienfai­sance ou la création d 'une sociélé de secours m nliicls ne- non» donnent-ils pas le di;oil d 'esp érer des secours du gou­vernem ent ou de l'au to rité supérieure de notre dépa ile - m cnt; l 'E tal, vous le savez, ccn».icre annuL-llemcnl de.» som mes considérables eu faveur de» établissem ent» dc- c«'tte natu re dont' la bomm adm inislralion «U le» besoins Itri sont dém ontrés, el alors l’avantage qu 'y trouve le p o u tre li»i crée de.» obligation.» envers t 'adm inistralion qui bri vient en aide.

• l.'abseuce «le t«i.ute organisation régulière n’empêche pas, sans doule, de secourir la classe indigente, m ais on^ agit d an s ce cas loujuiu-s isolém ent, et l'cirel m oral n'e.»! pas A beaucoup près ce qu 'on peut espérer d 'une création régiiliitre dont lo im utrô leesIsoum isA rau lo rilé supéricu re , c l les secours alors ne suul pas souleraiml dirigé.» par le cmUr, m ais enctrrc par te désir, l'obligation m êm e d 'adm i­n is tre r ntilcm ent et H’gulièrcm cnt. Eu agissant ainsi sou» la surveillance d 'u n c«nnilé d irec teu r, on évitera d ’encou- r.«ger la p«^îsse, en élnjgn.mt des sollicileur» p lns souveiit^ cn tran iés p a r l'haln lnde de dem ander qiio p a r des besoins, réel»; c n r’it i»e faut pas l’oublier. l’amuiVne crée le pauvre, r i d«w seeoimt m al «Hileudii» «HeignenI l'acüvité eh rz cerr tains individus et peuvent f.«ire pcr«h*o l'hab itude dn travail.

• J1 qnc rinfiuence d u gouvernem ent qui nou*. viendra en aide sc Ltsse conlinuellemciU se n tir ; que les secniii-s siVtenl d istribués d .m ssnn in térê t, el alors, comme j 'ava is rh o n n e n r de vous le «lire, r 'esi faire ac te de palrio- lUme que d 'a id e r A la créniion d 'une œ uvre définitive, et j ’cs|)ère en t;ndmini»trali«i,T m unicipale pour seconder m es clfort». •

L'opiwl dis. la iiréa l, t.iil p a r M. le Maire, les l i .re ls , dont, le re lra il ne peut t i r e opéré qu ’i la n ia isrilé ÿ i lilu liiée o n t «'té décernes :

Le I " , do 30 fr ., A Em ile Dizien (rapprt).1,0 2*. d o 2 0 f r . , à.A lbcrt Maillet.Le 3*. de 15 fr ., A V irlor lleiiry (rap|«el).Le 4*, de ID fr ., A A|fivd-Théo«inro pinçon (rappel).L e 5% «le D) IV., A Louis-Viclor jvtplmmm nèsconiigiiy,.Le 6% de 25 fr ., A Btanchn CHroline-Jtisépliine B ornicte. Le 7% do 15 fr ., A Jfullc-Aimable R a ii^ u t.La céréfnonie a été close p a r un ctNiqilinipal a d rr iiù .p a r

les élève» A M et M“* PoHir, tir p a r le jeune M«lll«-fp5’ i,a reconnaixsancc de» bienfUil» y>»t vivement eX w M iZ,

et l(» élèves, p:ir l'octane de letir jeûne rs /n arad ^^ ’pfû- ,.

Page 2: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

fl ’-l»

incllcii) ()c redoubler do .'/.èSc cl tVassi>tiiilà » lu clasic cl auiioraccii.

« S d m dope pcrittiodâit. Monsieur cl M adani^t^diboi^ lin b M p l r ^ V c que nous rurons tous nos elninsim n rrèp im dfè j

» N ous o n ( im n rn s t'engogen io in en ce j o u r , avccHB fv h n t r é s o ^ ù t io i^ ^ j e s l e r to u jo u rs (Idèles. »

Vil de vos abonnés.. ‘ .

VERNEUlli — Quaroiilc*doux gerbes d'avoine, formabi un seul tas «l OvaInOes 30 francs, ont Olé dérobées da.ns'b^ champs au p n 'jûd irc dn siout Roulauger (t.ouis-Fra'nçOls>, Jules), o i i l l i^ lm ir^ .V.ireucHib vol a élé commis ^ l'aida^d 'une voilure et dans une p i^ o de le rre bordani Ip'clieniili.k-------------- 1— .......^ i l y avait'eii»

son avoine nlU pour

obarvler'eellô a ^ in e i U fol lrè< «iirprls‘rfe ne pins en Iroii* ver que d m k làù; le p lus rapproché du chemin av.'dl dis* paru . L’au le u r du vol csl inconnu.

— Dans i a n u l l d n q s a u SC août, des m araudeurs ont m a s \n ü li dans les d ia inps. douze lilrea de hariéols non délacliî^ du sol, csMiaes 0 francs, commis au pi'éjudicc du Kienrftenoisl'(Fr8nçôls), Cntlivalciir A Veniciiil. - •

cemenl dq.m nis.d 'oolqbro il d isait qu'il venall do ran>iissqc A 35'sWillefl-aucK.él annonçait rinlenllon d 'en f rn s irë r

nés créuucierp, l l Aiir-’* . . . »....birqiio quplqueânio

f ir ilin n n te i M irai iquelqn’in f 'd c ia |lqui

oxpiicalion. c l a .tvouA A M. luJugod'inslM iclloii nu'îl nVall couiiuU d *s déhiiirnem ^lH liuporlnnls, mais 11 n ajouté

.............................. ■ « r 11A N -

q t iL f p tu i« o y éà)Æ p a ^ 'c n lixur lu chlifre çxaGi,»CM gardé d ’en Tiidiquer la desliiiaiinn. Il nvall pris

nr.lrtaiiUi>us^L J lvai‘nnruuns-Daf-lui..aiuiUS..diWmniilféill lé côi\i^ haÜlUicl de ses pensées. Dès le commeiP

> l.a rr.i]icn va re ti r e r scs troupes, et loprincipu do non*

par les m pib lrcsjla llün? pour rin d ép eimaiice du sonvctHin- I ponlifei^ ^

lu cour de Rome persiste obstiném ent dans scs refus.

nés créuuciera, lril|ira,]| m ême inanifcsié l'csuolr d e ne su ­b ir que quebtueâ mois d'o prison s’il é la it tiMduit devapi |çs

Ir ilinnnm ri IM tM ll'aussi^au s iour Lefôvi-e qu 'il nvai^chaire iqueMn’d fî 'd c ia liqu idation aiidablo; qu’après le tonibours sem ai|t d o ses créajiciem 11 lu i.feslerait une soninie sufB- «Apte pour,cou liiiae riun ia lT iiràs.Ë nfln , il' répond A celle 'ubscrva'lioh de M. le ju g e d'instruction qu 'un livre de dru ll. trouvé A son dom icile, a < té longlenips ouvert et étud^d au rh a p itrc d e li l hnhqiici<Aule>uudulLMise : • Oduud on' e it dans une niadvaise poslliôii, il eèl toujours bon do'M ren'seV gnsr. ■ Coutette avait des livri'S régulièrem ent tenus; Ü les avail produits dans un procès civil devant .M. lo jn m 'd e paix de Creij; il a fait a r rê te r des a m p le s su r l'im d'eux, mais il les a soustra ilkè lU fir^ fR ^ii^e iM ÿdlirb i^é^ nvoir afllrmâ qu 'il les ùvail laissés enex lui. Une^ nnlQ.g/M

il sera fftii un apprt an peuple mmqini''< • i.ejdéliisçiie 'su fpr.i ipms 1rs yeux d'i|

Si V iclor-Ëinm»nuol'«sl appelé i i /

1 Resserre les ancicTls livrçé el ceux * scs iliicniions.

c 6 ^ a p ’A s s i s s s p u t ' o i s s .Présidoncm de'M .: D.WOST, coiiAoillerA la.Gour impériale

. , dM iniens. •'* Audience du Lundi s ScpIciiiWc.

'A ffA lro f l i ^ A s ^ r l e ( l< a tire n t--E l* i) .. . . -Ffiiix..Dans le courant du mois ilc j.viivier 1831, l'arciiaé sc fil

.igréor, p a r le sieur Xavier Lasallc, dircoleiir d'uiïe compas A nied 'Â ssurances inuiuelles contre les'cliaiicesdu tirage au ■ HoiUii rom m e agent 'd o i'enll’eprlse dans ruri'ini.iissumeiil

-ide Cievmniil. })'.après les instructions dont Diiinporlê êlail • p<ù‘hm r, l'assuré né devait rien payer qu'après la révisioti,. cljm uiëintm l daiis iecns otl il sc trouverait tibéi'é du service

inHtlairui CiCpi>dd.iut; iiU'inépris de <:i‘s mslnh'tioiis, raccqSé -après uVôirT.iit contracter une assurance p ar un siétir Tar- lav,<maçon A Noiniel, vxige.i'de lui la sunscripliuii de deux ciÉdS'.debOO fr; S u r le. refus de Tarlay. Delapnrte iillégiia

■que les yalciirs réclam ées par tu compugiiie A litre du sim- ' ' 4dq -garantie ne seraient noitil mia.>s on circul.vlion, e l vu

•S&el aucune date d 'éciieance'n 'était indiquée su r les billo.ls .prèparAk p ar Delaportc. R assuré-pur ces panées. T.irlay consentit A .ippppser su sigunturo. Mais une fois nanti des deux litres, llclaporte lcs;r.onvurtit ep bltlcts A ordre, eu y ipséi-ant avant les mél.sjepa/eAu', nu iv c i : au viitJjl'oiiiqjuiii

et les fil escompter, lu â f avril, p a r le .sieur Des- umAi', banquier à .Mo'uy. Q ielque temp.* apr«s, lu .sieur ‘|T|^rtiq’. dont l'o ti1s avait étécoiiiprls dau^ le coutiiigeul, se liioqya forl é'ü.mô .iVOifC porlcu r desnillcis cil p;ilemiVnl-<lc iuiir ni lutauL

l.e {"'juilt^l.-Deinporlu prcsciilail û l'escnmplR. chi>2 un au tre banquier, je sieur Waiiel. de N ):iiiles. deux Ir.iites, l 'ùue ;de 5'io fr ., l 'au tre de tidi) fr ., tirées par lui. su r un s ièurL ecoqite. in arc ln n d de fer â IlerllieconrI, qu 'il p ré­tendit niensuugçfemcnl ê tre .son déb iteu r à r.ilson d'un contrat d'assuiMuccs. hç siniir W.tllel .ayant récliimé l‘.ic- ceplatiou di> tjtre . Deiaporto prom it de le rappurtur : il re ­vint le 5 ju|ije.t avec.lcs.deux traites, su r lost]uellc.s il tiviiil fabriqué une m ention d'accepialiuu.par son prétendu débi- 1001*61 h sTgualiife l.ecomte. Il réussit ainsi A faire oscomp- te r les doux drailes p ar l.i danie Wullet en l'ulMeuce-dc sua m ari. •. . >

i.e l 'i jii'tlict, il adressa au sieur Waliel, on !c priant d? l'escomiiler, un au tre billet de 4 iü fr. 30, cause valeur en lu a rc h an d ii^ , censésoiiserii A sou profit par uusieiir Car- ^oniu'l, Inaitro d 'héiel à beuiivuis, dont il avait encore fa­briqué la signature; m ais le sieu r W.itlet, qui n’.'iv.-iii p is taraôA coùstater ia fausseté des sigunturos -apposées su r les ^râilr.s j,ccu’iile. porta plainte A Injustice, e l Relaporlu i il| luiinéilialemcul a rrê té . Ces fail.s ne sont point tes seuls réprochéu A l'àcciisé. t'iu rorm alion dérnoalr.: rncorc que, pendant son séjour de r.-irrondissemenl de CIcnniMil, il n n é ^ i é , .aux sieurs Suliplet cl Dcsuosse, banquier, deux au tres traites, la prem ière, do 175 fr, tirée p a r lui su r nu sieogTDeboves. ctilreprm ieiir de mar.>)nnerie A Calesoy, su r laquelle 11 ayait fabiiqué nue incniiôii d 'acceplntion par ce (k ru ie rs iiiv ie d ü la fan sse sigiialur» D ebotes: la deuxième, q q ,ij .fr., valeur en a^ u ra u c e , tifée p a r lui s u r un sieur « ^ u m g n e ,'b o 'u rh e r A Clermont. an dus de laquelle il .ivait i^ lë à le n l fabriqué la signature Degu'mgnepnur faire croire à aite acception.

L'accusé avoue sa ènIpRbililé su r tous les chefs relevés A aa^diarge/ I l a été eondam néi en I8ti0. A trois mois d'em- priAoRneweut. p o u r escroqueries; Il est renvoyé en outre jagyniljA jafidietioH correctionnelle à raison de faits d 'abus ^■«OMWMA.et de nouvelles «scroqncrics.

I .d 's ié ^ 'ih i minislère nnblic esl o rrupé p a r M. Coleltc- M*;Bôqré'pré.'<enlc la défense de l'accilsé.

- néctaré 'èonpnblc su r loiw les chefs, sans cirronst.mces altéiinanles.-D elaporte a été condamné A cinq ans de Ir.i-

•vaux'forcés.Aiutieuce du 5 Seplcinbi'e.

A f f a i r e « p o u v k C o n le K e e t l ^ i r o u t l e l l e .Banqucè'Oulc frauduteusc el complM lé.

Couletle If^déric-Automê^Joseph), âgé de 28 an.s, mcu* [h jèy .clJi^rçnaiid d'e farine A Verqeuil, .i élé mis en f.iiliiic

ithr 'du tribunal d e commerce de Sentis, en d.vteId 'i l^ c é m b r e ISRd. Aidé par sa femme el par Lirondello, ’

'l^'Au.-pêro, cuiliyaleur A N»geni-les ,Vierges,, il a sous- i r a i t l i v r e s du. eummerce el, détourné du plus grande p ^ m e de sou actif. Il jouissait d 'un crédit imporianl et TtlçâU beauconp.d'iiITiires, lorsque I» 20 oclubi'p dern ier il fhrèéndA m iié p ar le ti ibunul correctionnel de Glénnoul A ItoiA inoisd'eruprisonncmeiil cl 150 francs d 'am ende pour YCide et m ise en vente <le farines falsifiées et corrom pues.. Sa iVmu.vâlse foi lui Ht perdre toute éontlauce; il fut pour- ROiyl di pro|i.usa A ses créanciers un arrangcm.’nil amiable Adx tcr(iji:>>. duquel ilgHranlis-siiil. snits lecuiitionnem ent dè ë » i‘ b^aii-pcre, te paiement dd ôQq). tOO. Cette conven- t lo h tu t acceptée p ar tous e t elle devait être exéculéc quand

u m éprisd 'un engagement doiilil-

nvuir affirmé qu 'il les'AvailfemjQ(‘;qd.nsi conçue : • Res — .de sèninlno, • ne laisse aucun doute .Malgré l'jbsiMiru des livre.s, le luonlant de.s soiiinies^ üUsi- muléos’ a élë évalué p a r le syndic A 45,000 fr.

I.'infurnialion n étabtf qiio Couletle avait eu pour coin- plicc-ssa fémoio c t sou beau-père, chez Icquélclle.s'élnit ré- filgiée. Ils nVnicnl su cnoher, lofs d 'une première',perquisi­tion. tontes les pières qui ponvaieul ics eomprorh^ityc, niais oine secoudo visite inuitendUo n rait déennyrirdé.s' paprçrs imporiiinls, p lusieurs feuilles du papier pliées bit forino de calepin ou .agenda, portunt su r le prem ier feiiiilul : ■ 18J(>. jnun ia l au I " novem bre; ■ près des cliilTréS devant servir A une co>u|iiabilité'SeRrèle, deux lellre.s éi:rlte.-< a\\ ciMVon p a r GoitlclIu t ru u o A sa fenitne pour lui dem ander avec instance son n.-ilepin et tuut ce qui » dedans; l 'au tre A t.i* rondelle polir l'inviter A parliig<*i‘'ses biéns.et A vèndi'e sa récolte. D’.iutres p.)piers conslufenl des p.iicmonls opérés depuis le d épart ile ('nulclle, par sà-fuinine, pour mio somme de 8.50 fr. 60 c.; el p a r aOti beau-père.'pour celle de 3,028 fr. 37 e. Or. ni I un ni ra tilre ne peut proiiver com­ment il s'est [u'ocuré cet a rgent pour payer des dettes pcr* saiinolles an failli.

Il résulte m êm e de rcnq iiè leq ii'iisétaien t .-ilorssansres- snurco. Soixante vides, (Kirtuiil des noms de incmiicrs en relations d 'affaires .tvec Côulette^ ont encore été décoii- verts dans des bâlim eiils servant A re\p lo it.itian de ia ferme do hirondelle. Ce.s s.ics ne devaient A aunuii titre so Irouvcr en tre ses m ains. Il prétend qu’ils-ont été,' p ar m ê' garde, rhangé.s contre les siens; mais son gendre le dépijè, uLlui-méme Unit p a r ivro'tinailrequ'H a en tnri de'les con­server. S;( fille en a reçu un certain nom bre A la gare tju chemin de fer, et le.s a'porlé.s chez lui, on elle atlcn ijait, d it-elle, qu'ils lui fussent réclam és. :

Lu p laiirher du grenier avait ctdé depuis peu de lemns, r i il était facile de recunnaitre qu 'd av.iit été chargé d finpoids trop lourd ; il no resta it plus louiofols que deux sài-.s de blé. de qualité d iffiren lc. Un témoin a cru reconnaître l'un d ’eux pour l'avoir vendu A Couiüllc : il est convaincu que le heaii-pcru et le gendre s'euloudaie.-it pour friin Jer les ineunierA. Ainsi l.iru jdeile e l sa bile ont possédé divers registres, ils nul fait iivcc l'argent déloiirné, de.s p.iiemenl.s iiors du propiii-iion avi-c leur-s ressources et ils un't rerélé dos II) ireh:indisi>.s au préjudice de la m.issê.

La femme Con'ette s'oeeupait de i’iidminisliMiion dc.s affiircs de 8011 m ari, elle était Initiée A s-s opéraliou.s et conunissait sa siluaiiuti nonunoreiale. l.e tiquidiiieur am ia­ble s’en est convaincu en rcccvânt fréq-icniinent sus recoin' inaudaliôiis. 11 n'e.sl donc p.-is admissible qu'elle eû t, avant la faillite, économisé su r les dépenses du ménage uiitt somme de 1,0;>t) fr. qn 'elic aurait portée chr/. son père pour payer des créanciers; son m ari et Lirondelle.onl déclaré qu ’elle é ta it arrivée sans argenl. t.irimdcllu An peut non pins cx- ptiquer d 'une iiiiiuière satisfitisanlo roium eut i l n disniué en moins de q u atre mois d ’niie smiinic inipoilan te uans l'in térél exclusif du Liilii, il c ta llgé iié pour payer ünedello de ISO fr.incs, e t quelques mois .après, il .av.iil versé 3.G28 fr. 37 c . : e t. lors de la perquisition, il avait encaissé 700 fr. Cependant, Il ne peut réaliser dans sa ciilluro cpic mille fiMiiroi de bénéfice; il u encore produit A In f.iitiile, bien que ses com ptes avec son gendre parnis.sent avoir été

'glés et term inésLe siégo du m inistère public est occupé p a r M Parin-

gUMlt.M* Marcel l..eroox est ch irgé de la défense de Coulolle.M* Emile lArouX. du h irreau de PAris; est chargé de la

défense de la fetum e Couletle el de Liroudelle.CoultUie déclaré coupable, a été condam né A 12 .ins de

Irnvanx forcés.La femme Coulelle e t Ltrondclie on t clé acquittés.

Audience du Mercredi 4 Septembre.M. Nez. .s'ibstitut du procureu r iinpérhd, occupe le siège

du m inislère public.A f f a i r e (J is ille l.

Vo/< quali/ië i.

51' Renand-nose, arncal, c.sl assis an banc de la défense..DéjA condam né dix folsiiour voi, vagabondage et rnuiiiro

de ban, le nom m é Qdillcl (Jcan-t,onis-N)colas-Rem}),'.'âg6| de 20 ans, dom estique, dem eurant A R ibicaf, subissait sa' dernière peine dans le.s pvisotls de Laon, lorsque. Au mojs de m ars d ern ie r, il s'accusa spontanément d 'avoir conimls cinq.vois, dont on avait p.is même .soupçonné qu 'il p û t'ê tre .raultiur. Deux de ces vols étaiont amwupagné.s de cirm ns- lAiices aggravantes, el avaient en lieu A Rubicnf, en ISéÜel 1857. Qnillot fui mis en aronisalion, et cette .nifaif-R dltrail ê tre jugée aux assises du mois .de ju in ; mais, p ar suite 'do

ith 'dcjtf'dc VCAUrfê, \ibbiifltiU do divers fri _ _ ....................................... .

f^'CpiRçUe avail reçu dèpui» qiiRlqii^ rpojs des UThb'ii0 }

In Apihmc de 33,035 fr . 7b c « su r jaquçUo !c do divers frais cl avances lo ila it du A des ronsi?

LiTPjHletle v ip tliil niônie,'ai^ju tbujbtirà conii» la pariée. déposec au 'g î’elTd . le bilan d é lofi gèiiilrieVCc bilan ne représeiilail pus la' véritable si- luiilloh'd.d failli: il accusail un passif de 92,231 fr. ,25 c ..e l uh 'dctif'île 42,160fr . 50 c.. qu'il fallut réduire, d 'après l'in-

Ipti -.1- n —■ » — . . . .

rerliçti. .h i de m arcl]|àûdis^.revenditçs àilcom ptanl.

,j020 f fa i iù environ;:)!.avait..lo iic ité récemment traitcschéz tericÜi'n'emisson, escompteur A Creil; ce- )1]l iie yeiilait rieu 'dans la caisse, et remploi de col ar- 'À pùièti^/déeoüvrrt ; les livres .avaient aussi disparu, ‘ è 'A anitbriçé q ii ll les avait epinorlé!) A.lii'maisou

e Cferhionl', où ils lui dut été réclamés, mniSjii n'a du jl, q ti 'u n . regiidrc .carlonn,é appelé p ar lui son grand

•••ijH.'ét' frdjS çaiitôrs.intiiplé.s ; ■ Joiirniil,.grand {iyré cl 'liisforiqdR 'de ih'eA opérations.'* Ces cahiers s 'arrôtonl au 21 avril 18C0; ils çn i élé .lracés d 'u n se id .tra 'l, par Icsîcur l.efèvre.pomplable'à CourbevoicI sou's la dictée de Conlello, 00 bien en coiisuRant quatre .on clriq cAlojiins que ce der-

. n ier av.-ïll jBosa ..u .i ...?..'.i..:.

2ued(i22'a*'mllidIÿ.AVé

■ f e

. . . . i e n s a noMc8s|éa. Qùant au rcgii^lri*, il. ré^<iillait

2UÇ d ù '^ aVril.A1b.da1c du jngenicnl déclara tif déraillilo, ^Ijdld.AVAR réçiL'qii o p è re s ou en valénrs 55,586 francs,

ll nvàil payé 2,100 fr. avait donc A JusiiO é^ d'après ses propres éériturca, féil frqnçs. Il a refusé au-syndic louto

l«.stroup(is françaises seiStnl tvlnvées licnnes', et Itf r o i ‘irilnfip^ 'iiniies'.'et lero iiriln fio^pbh)io ra-'|)irT ènk iA iéM f

[if lui aux pnlssffhccH cAlhnlIqiiés; aunsilc U q t^ e p iw g e i? ' indépendance du Soiiil'-Siège. -> '' ' '

— On écrit de La Kère an Journal do l'Aisno :• De.s oxpérienees cçnipara tifcs des fusées de guerre

entre un systèm e èom pusé.,par .un ^ ig la is avec re lu i en usage dtAis rannéeT rançaise,' ont c in ie u vendredi dans In u'airic do La Fèrc, devant une rominissinit roiuposée d 'o f- icièrs d 'nriilloriu du. no tre arm ée, e t dix Anslnis étaient trésççis- ^ c iç |^e ^ ):ir ces fusées a été d'environ)ré.simt

louieln

^ L 'a n tiiju e ab b ay e d e P rém oniré;qüV ^érC a11 'A U rre1hlA ' d e m a n u fa c tu re d e g la c e , e t q u i to u t ré c e m m e n t a b r i là i t u n e in s ti tu tio n l 'e lig ieuse , v ien t d 'ê t r e ra c h e té e p a r l e d é - p a r le m e n t d e l’A isne.

I > conse il g én é ra l de l'A isuo e n ’n'décic |«U r.-tcqüisitinç d a n s sa séau cu du j e u d i 29 a u ù l : '■ .. .

— l l y 3 qni‘lquc.s jo u rs ,, lisons-u.oiis d a n s i^A rg u fS n is^ sonitàis, u n e c o n p i iu n e d e l 'a rro n d is fu n io q t f é lé b ra i t .sa fdtp p a tr iu ia to . Selon l 'u sag e n n iiq iie e t tra d i t io n n e l de.s. isinip.-Ÿ g n c s , u n e m én a g è re d u pays ro n f rc tio n n a b o n n o m b re dp Q a n c s .e t 'le s m it s u r u n e ta b le d a iis so n fu ifr iiir iu iti khis re - i a f ü s iu d isc t'iits . IV n d an t iiu e .co u rtn -ah su n cn q u e (Il Kuittÿ içmpn^* iion Ane a lléch é p a r ro d o u i; d e l u patis.seHu-iihaujdO p a rv in t A puvrir-i.v p a r ie d u fo u rn il e t s ’e m itre s s n td è i .se fo ire les hu n n cu rs . d 'u n rep as q u i i |v n il p o u r lu i to u t In mé* r i te (Je la n o n v e .u ilé L orsque Iq pro[>riétairr> f i i l ld o re to u p q u e l s p e d a c lc iiie rs vint s 'o ffr ir A sc s -y iu iv L m a ître A llborop e lc n d n p h r te r r e , In tla u t co n tre le s d o n lu iir s il 'iiiie in d ig es- jio n im p o ssib le , c l e n to u ré dc.s d é b r is d e vhigt^eiaq.n.itis, iém o ig o ag as ir ré f r .ig a b ie .sd c s .i c u lp a b ili té .

B ien tô t to u t le v illage su t l 'h is li i ire e l cliifouh U’oli i 'irc . L’ap p é tit p a n ta g ru é liq u e d e ce b a u d e t , f e r a époque- d a n s lus a n n a le s d e la cn m tnuu» , c a r av a n t ce fà lt tiitcu ii h a b i’- (a n t n e c ro y a it q u 'u n Ane p u t c o n te n ir u n e s i g r a n d e q u an * l l i é d e fliins.

. — l,es travaux du canal de Suez sc poursuivent avec iiiiç a rd u r infatigable. Huit mille uuyr)vrs sont répartis: en ce mnmenl-Kur un pnrcoury de 75. kiloniélri!8,<iuste bu moitié de la ligne à freu sc r pour la, réqniou d«8 dmtx |ü)urA.-On calcule que, dans le courant de cet tiivep, Jea- eaux de- la Aléditerranée pénétre,roui nu cm ur de llsthmoi- c t 'l 'o u a la certHudc q u li fiu d ra beaiiepnp tn.ninsde leiup.s ;p(mr p er­cer {'autre moitié. Q ned iron t alors les Anglais, condam nés A u’é lre p lu s qu'ù 3.UOO lieues de ('Indu au llCU du 0,01)01 Vous verrez qu'ils eu pj-cadronl leu r parti ioiR em iim e ce vieux cap de Ronnc-Ëspét;iincc, qui sera relégué dan& un nbandoii A peu près com plet. •* ' ■ :

— ■ Si l’o.) v ien t p o u r m e d e in .in d c r d e l’a rg e n l , dit»‘.< q u e je n 'y s u is p a s ; m a is s i T on v ien t p o u r iit 'im p p p u l 'te i’, cuvoycz-m oi q u é r ir , p u r lu iile la m a iso n . • C e tte i-enim oi.in* d a tio n q u e .Molière m e t lian s lu bim eim do so n H arp ag o n n e s e m b le p as ê t r e c o n n u e d ’n ii p e rc e p te u r d ç l 'a n ’u iid is- sem ufit du t^iA ïu .m -'ï'liio rry , lém .iin .le I r a i t .s u iv a n t ;

•• i! y a 'ju .-lqiie.sjiiiirs, u n d isc ip le d e .SL-Huiiorl sc p ré - sim io un gui.cli.‘l d u i> u rrep tcu r en « |;ies|ioti p iiu i'i confor-' m é m e n t A la loi, ver.sor e u tru se s m a in s les 25 f ra iK se x ig é s p o u r le reuouvü llum un t d e so n p o rt d 'a rm e s . .

— J e n 'y su is pa.s, d it lu p c rc c p lu u r . en le re g n rd a u t .c n face . V . -■•

— C o m m en t! vous n 'y é lu s p.i.s? lit l 'a u t r e to u t ' ( 'b a h i; est-ra) q u o vous n 'ê te s p is m o n s ie u r u n lidT.Si r r u . rép iiq u e s to ïq u e m e n t r h o iu m - du n itH u cis , m n s j u vous ré |> è lu ( |ne t je*n 'y su is p a s .. . d u m u in s p o u r re c e v o ir a u jo u rd 'h u i . ;

-Devant u n e répousu au ss i e .;il(gonqu t)., n o tre . );h;is.<uQr s c r é t i r a , c iie rrlian 'l A s 'cxplic |iir-rA lu i-m érue- cum m eill ou p e u t être e l n'être pas !t la fois A la m a iso n u n .A so ji b u re a u .

N o u s n o u s l 'e x p liq u o n s t r à s I iien , n o u s , q iiam j II s 'a g it d e c o n tilb n iin iis , p a r r ê q u e to u jo u rs les feiiiliên d ’uvortts-. se iu e iil in d iq u e n t 1rs jo u r s c i jcs h i 'u ru s d u pc rra ip iiq u ; m ais ic i n o u s av o n s p a r ta g é la s u rp r is e .d u ch a itsv u r, ratr. la loi q u i ré g it la «;h-is.<e u assigue pas.^dfi Jp iir Use p tm c .lo versfc* in e tti d e s 23 fr . a u 'c llc ex ige p i i . r e |m i r d q - .p o r l d 'a rm e s i |ù ’n llc acco rd e . D 'a il le u rs , d a n s la c trc u u s ln iic e . l e p e r r e p - ie n r 'n 'a q ii 'u n s im p le réio ip tssé A tl(»iiqer <tl, ip u is . n e rom -; p re n d r io n s p as q u e . poin- u n e chose q u i d m i tu d c s i peu de; te m p s , il r isq u â t, s i p o u r te lle nu p ^ io rgisuii- U'n'!Y<AiAit A’ «c ra v i^ c r , d e p r iv e r l 'E ta l e t la co m m u n e , d 'u n u re c e tte to u te facu lta tiv e . > ; , ■ . ,

Sans'sc préoccuper ap ircm eut (lo.cp.petit incident,.cil»cop- tiiiua de vaquer A soii ménage,.inqi|^<iolendRinain, e llo fes- Sénlll de légères coliqucs,.qi|ii .nt)gmpnlèrcui au . pqiu:li-de lui. ciiliscr (Iau8 l'e.slomae d.'jiorr)h){u|( souffraiu;es, dleadaDt trois sem aines, lé.s douleurs étaient lelle.s qu 'elle nu pou­vait plus rien supporter, e l ((u'ulic. dê.suspérallîidô pnuAoir y siirvtvre. Enliq, lu i l nnùlr.après des clforts inouîlV elluj pat viiil A jVoiuir uup grande ap iau llté du mal ière.s non dl-| gérée^, dân.'i ie.squelk>s -o it..trouva.un léz ird-.v ivant, qui, après éfr() sorti du l’innW de celle femme, n encore vécu' diuix heures. Lo lézard , q u e nous avons.vu, a été déposé

De leu r boit Iclitps passé ne pictircnl pins la pnrlr,i Quê lu répares A g rand iro L .

Vcfratigo les produils, Iransporle la dimrée ,■JJwiplwAins cont nie ;'I ju ë p a r Iq lle progrès règne d e toutes p a ris ;Apporte raboiidance où la te rre esl stérile,\m travail au village el le Inxc A la ville.

Sers le com m erce e ' les beaux-arts.

i.’ignoral)cét.^Abbsfa^l^pM ^è^il‘iil'mlftrel, "^ J n pouss(« èii.Avaiil dcs.payseii arrjèjr^ef . ,■Üii (>enple qn l s'’éudn'rt s’étrille'à* l'a vaiieur,

' Mmurs. its^ge. Ûilléréls. jUBj* lo irlou ta ’ a i h b r e , ;Tu proelamM léÀiloiA'hqf.lQtif rhom rae blus^libre,-

L a ra u o n ,.q u i.la ,iM inMIIeur.

G rand co u rrie r é«)Vatois:el i l e la. Picandkiÿ i

Est p o u r eu s dq ParlR;le lii^,el.4eipui8ireuri.J 'cn ieuds le b ru il lotniain d e la m asse Im im sanle;Mais quels c h a ru a n ts aspects au voyageur présente

Le imys que loA ira in paircoarlf

fToiil plus rien de nos ro » u r u n lorobeau sans reliques/ Où tou r parle de m o riq t d 'hnm orla lilé ; i.ivry. d 'on Sëvlgné, a tm e-p ln m e facile,Adressait A Grignnn ces 'le ttres que leu r style . . . Adj;ejfseè Ja,i^léi;iljér , , . .

T rom blay, Sévrnn,.Afll'ry, dopt Jës ftlalncs ferlildi ’Dê W0fsVif,hP8'oi6ls.*{bil!i'alffnBhïéùl nos y(llea';'v Cbmpans, où so b tâ^ a |n '|tld ')d i^ d A gpe.< »ç^0((1 h ihn li^ 'eu éa yAReé.hn sild'pRIçm 'ùli.c,'', ' ..6 ii p o n r ii jù l dè'cé'ùfp1é^è.'Cb(^^VI'œljvr|i'6[i)ia1l|c^.qlfé•' l*6riÔ‘8UriindhlhiéhSB'é‘rceau'. .',.7,.',, j' Tliipuxÿ déjA.roiiomoiépuj^aou cau>minérale,- >.Otiid.Ni>s l(^beau>valloD;oùi8oudiftteau «’élèiei

• - • ** --ly. e)

Où l'ncurcux

.ngrénienis de. K ierrcfonds^iEpghioaj. . ler  l'enfant de.Sioii «d jln Dinde,

.■Aura les agi Jiiilly, c h e r .

SainltM nrd, où le w agon s 'a r rê te dahs sa garo,'Dont le châleau:n’esliphiA, don t le'cl'oahcr osi rarc,El dont la paroisse A sa in t M èdard pnur patron .- ’Ici, 6’est D itm m arlinpdu h au t de sa inôn i.ti^c , ' ■Ce beau chef-lieu: dom ine une vaste'èaiqpRguc

E l b rille en ro i.de sun canton.

Ou y voit en d éb ris ce châleatf-fiirt an tique ’ 'D'où l'oeil em brasse au loin un labléoU ùiagnillque.Où des conilés vivaient jmisAAùfs «im ùledâs'tm iH ; ‘ . Ses maisons, ses ja rd in s s'élèvent p a r élAgc,Et scs m oulins a tlfe louriienL dans le nuage

Où ses cio(;hçra pùj:l$t|1 lep*' Çrujx.. <S;ilul! ô mon pays; c 'est loi q u i in ’as vd. n a ître ;Ton Hcf et tes hérôs n’avalenb qu 'un 'rùi puu 'fn iaitre» Tes.lonibes ont un ill où dorm ent m es aïeux.Ton ciel (l'azur m 'inspire o l ton am oui m 'enflamme,.Tc.s enfants nm sont chers, In 'pa ix pluil A mon âme,

C(>mmc ion beau çilQ ^ tiies.yeugw

Voici RouVi^cs , pays d 'i lc r lu é r , cu liiiix ; i.agny, (le.s tem pliers m on tran t la .sépultiirc,El ile 'scs M m gpériers.toujoqps-lirnreiix et lier; N anlvuiL-par son cliâtoauv,célèbre dans rh istu lrc,El i|u i, su r sa N onctie, hunurc In n.iémuiio

De s(>.s GuUe. et de sps Schoinburg.

l'.â t'répÿ , du Valoi-s aiicienho capita le, . , 'I.CVU lc.s'iïiurs où , las d ’iiiie gneri-é' fùlpjè,.Un (im'perènr sigu|) la 'p a fi;q ù 'p 'n Voi Voulait (2); t.à.,V i!lérs-C iil|crels,'veuf de 'sa Aeigiiéufle,Pleùrç se.v d 'O N eans, s 'honore dû géiiië

D'un dèsiji(>dtiçr çTd'uh’t ^ p I é l / .

Quelle est ro lle cité rian te au b o rd de l ’Aisne! 'SitiHsnns, lu haute to u r s'y m o n tre on suu'vcrainn;Ir i, te train s 'a r rê te au pied d e les 'rem ipaiis;G rande cL forle déjà sogs 0)o'v{s«t Clotairç,Ton séjndr est cncor dans la paix dans là 'g u e rrc

. Chéri -de Minerve el d e Mars.

Parcours dune, d wAgon ! celle ligne nouvelle, O û'uu.dcstin. p /p t^ tç iiif t e guidé,'OÙ l’o n 't ’apped^f Abrègp la disiniiçèçfrapp^pefae Ia i coD'grç,. ll«'sS(!rre bi lièti qui doit u n ir tes nômfnés, 'Que le progrès qu!oii>ajine en.ce-iuoiideiQÙ nous sommes

P a r toi soit aussi d a u s nos m m uri:

Va d ’un ràp1d<é él^i(i:|par delA frontièresDire aux voisins,qgç ùOtis sohiinds to u s frèrc.s;Que désorm p^ la .^ in e .e s i MB'ur do la Néxya;Fais aim «r J ù 'f f de, la 'finance.Porte au m oRaeTainpûr des arls^ de là scm ncé,

El de cé Chri^i qg'i.là sàuv^.

de P aris 'la province proflle, pauvre soit mieux sofjs le toit qui l 'a b rile , ! ts l’insiruélion; ie b'iieii-êlrd eù 'lu iit llcuv

hôic A l'hum me sa~peine:eLl4 lemp.s.qui. l'em porte,El, s 'il bénit.le.bicg quo la .p résè iicc .appnrle i.

D is;lg |;quoitout bièn'.vieiili4e Dieu. . ; ■ ..,. â . t - i r .. v ioW laO FPnO Y rdé D a r t^

{Il u . liippnlyleiêjiiuiiê. .• ,[,• ' .(2) l/cropeçfiir jqfiarje^iilnlei F n^ .........

Jeuucssei prigUm po>de lAÎ|r)e,'ïige d ’dmeih'-;è1'.dilui|(|* cclice, dp plabiii^ JO: sa.gt.é.i te iCQUrùme ido

• — . . 1 - ------ I-------- .... --------------.- t (tj^piaclp

,çhn8ci> qù'Otfiitr qu i 1 I fllq d 'p

prison A I cpoqiie où ic pt einu-r dos doux vols q- lui étaiont rcfirochés avaient ôté cooiuii.s. La (biur convoya cette alTairu A la présente sos^mii. U.) supplômenl d'Infor matin.) s u r le second vol a é:é f lit, r t il en es! résu lté la preuve que Qniliet n 'é ta it pas plus l'au teu r de ce vol que du prem ier.

Accablé pur révidcncc, Onillct s'est déridé A confiwser son mensonge, qu’il n 'a f.iil, dit-il, que p iiv-e qu'il au Iron- VHÎt sons la snrvclllanre de la liaUlc puliceduiil il redoutait les effets, il a été ac q ù illé .__

. — Le nom m é i.enoêl, déclaré cniipabic d 'p tteu lal A la pud eu r, avec adm ission de circonstances atténuan tes 'a été condam né A un an d'empris(n)Uemen1.’' H* Blancliel était chargé dé la défunsc.

Cette alfairo n ét é jugée A huis clos.

F A IT S Ï ) 1 V £ H S .

— Il vient di> p ara iircrh ez Dimln, une brorhurciufilulée : 1 /Empereur. Home el h Ilot d'Italie Cet -opiiRniile. dirigé conire le pouvoir lemiioroL c-l conçu dans le .sens de l'iiniir iLilkuin«; voiri, d 'ap rès un-* dépêche publiée par le Times, quRiiu'ct) serait,la siibalan^-e :

• Il est iin|iôssiblc do voir en ce moment A Roint! an tro ' rhosc qu 'un Cobloiifi dirigé coni re le roi d'Italio , rom poreur des Français, la civilisulioa, le p ro g rès ,'la patrie et lo- liberlé.

* Une pareille conspiralio,i ne peul-ètre toléré A T.ibrl du drapeau français.

tNAUSURATlON DU CHEliN DE FEB DE PARIS A SSiSSDNS. 1" SECrSMBRB 1801.

Le voilà, ep w agon objet de notrô attente;It trace d an s nos cham ps sa cuiirite lRiumphante; — rl/ i vape.nr se com prim e e t boiiiilouine en son «uln.Il parV^liyole, il slfOo, il est beaq d'épiiiivaiile,Il d éV p ^ l'e sp acc , ét sa ^ é u l e éc(im:inte

« V''* 'VO»l"'S» MM WM-UM.-Ifflie r à ^ i t r d ’uù b.eug ciéj,P'Al^PiitWÀgfi: IFs d ^ i r s J e idontrent

lu};, 011

Imil (lu feu su r son chem in.il crache dans les nirs.ilès glolips de f u m V ., . Prom ène en,sonvoralh sa merveille anjn'i'-p,Le rail crie el.lc sol Irenibio au loin.sons son poids. L'oiseau Iroiiblé s'.-lfraye'ol fuit A son p,issage,Le cüloii, p-iiir le voir, .>.uspeiMl so.i labourag !,

El l éclii) mugil son.s sa voix.'

(àimme e • doux rayon doni la chaletn- f '-couili*,-Il porti* l'm lusIi-ie'iM les arU -I ok m-iiid.!-,VjTi- iin.age du te.o.*; pii luii n vieul tddj inr<,-li Viiil peuples el rois, ci la «rèrhe'et,L i to nfr*,El l-i tour qui s'élève cl le p.d.iis ipii tombe.

Sans que n cn n 'a rrê te sou rours.

Salut ! (ils d\i génie et roi de la \iiessc,Fais e.iir.uler chez nous la vie et la richésse,Donne nu soi qui n 'a pas Ce qu 'un sol a de trop. Que la voilure nntiqufl et lu roule déserte

! ondo pui'oqu'àucQh rçpl I n 'a Ironblée. è l à ù | r ’’ ({lie le.s flRu'rs d , 'I partout le bonhOüj;, é l.rééA é |^llte I in es cc frais bobl,on. Ùul

du priniom ps. cxém'lii m i^M èiqe ' ‘fleu r . ' ■' ..............1 .

Ton souvenir,-com m e cet nrèntR io'qiio Ie-royA géurènf -porte- d n i» iRA- iW lo,: rëpahdi-Hù-jttinUitf-d'iiiiiOisenécr- à d 'arlinur s u r loue lés jn ttin -de inotre vlu; n’êsIMé bercéAji de roses, c’est le rosier dè'pAix d ù 'h o trè Ame, lævelnùl (^ idée, su repose des fatigue* du -tttuntle el'sqgtlA pit' d ù .^ ptide des ikawiogS) Qyî d ê doUs-iFa regrçtbé' éèl Kbilrém^ tem ps de lo j^uiVeHSè : loitl éliAI‘ Ai bciatt^'jfAhd'oH‘aicwi|*; meiicé CR'vêj.tgede la v ie l■ ■ ’ '■■■•i.'•']■■ ■ - i ; (;ii

Ail! si A re-ROhVêfiii> sé hfêlëdansV oRie Ame celui d 'unk fenirnc i|ue' voùs' .aithileh-S? le c teu r 'do ‘èèhê fetiimi*,. en n.dssiiht dU'omonr.-U-pttlpilô-sdus 'vo lre' i)mid4"mé| comme La chrysalide qui^ briKlnil RÔn'envetëppéihtUildi'iA vie 80US lo caressant rayon d n iiialiti; si vos lèvre.s ont re- --------------- --- — . - jpcueilli une larm e lourluiiile de yeux,com m e unidè résék 'q tti,'dù sent (l'ùùô F ( ^ j IraüÜff dhnÂ''ié ca d 'u n Ijfë altéré , et. Ai vous Ç on tÙ ^Y W cbÛ b'i'fbù jn'éat |lU s des conflàenceaT^'.iLf^pfiiit^ IdùliS -ifoîlKîïisa jiénséc bri\l:m io dç g'éùib o i d 'Am bdr'.élérn.............iw iéùdrcit aétiii.ménls (jii’ellb‘É^I‘ ^ '‘‘ ^ *'^''plus qti'A m ourir, vdtre éoùpe do ,.........

Dans i‘M Age où râirtO CRl tonlR vérité, of^lott^;eA'f rfliHfbî pour elle, le jeu n e hoiûmc ()ùi enli-o d a n s 'm 'in k iid û co m m e rc l aveuglo qui, p o u r lA pheintèré fnht; nilyi4 îd yègx A In lum ièrp : il ciit éblotll dç ànirréclAi, l’IiiiittleiUqu

Page 3: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

. rleus. 1.1 ninglirncBiiri! ilo l.\ lulm-B. 1» ‘l“ "."î

ceileJAlt<«WI>i du p u r i iw a ^ t l«aH jro A». UOI* <», Il

iinfré i h

t f b B ’S W 'W v IellIU 'p rt.' ' ■■’-'H 'Viçw» pF^K py,.dc;D ai^m fl^lîii:

(.«! natidi'l «’i'oU qu 'il va tiio(irir: ‘ '|U iiK in 'ô> r|ii re p u sru ii inaîiro rai^iiUIpUjio.” ' ‘ L a n u U a rr iv e cniln;L'Ano vlopln ulopniil ko trah ie A auii utabio.

innlheiir Tiiil (i'iin koI inV'maliii :* A |i|w li(t0b d h 'il 40 Uieur, iiii.prtijcl enViiÿalilo : N o t r t f ^ n r c . A hun d ro i t . r.niigiiuiU du l'appiSH'Iu'r,

tu vuiidrc au hpiirhvr.' l*0ur £ ttro r lu OhirtV^o p^iiilioxlrëino, 'RelhnrHVh'ii lahouragu ci Holn'hi douci'iir même! ■ ■ l ie ’h^iiâdmahi, le llieu f fol plits dnii^i qii’iin. m»rtl<Mi.

^QAt*rilf11t)ru d 'c o ii tc n it ce t u t xon ronipagiioii NdK ‘h('Ü6ÏoiB oui rendu le IravuH n ë c m a ire :

' C« què tSih nù rùil pim, tiii Alliré doit le fiijfe.' ' ‘ r T o ï'd tinc , ROI diKcourcor,H)ui, p a r des arguiiiuiilH que le l)on tieàs nihilUmoc,

qllKp dëiA (iiüu coniiiiu.pQU^‘ le& 8 r lk |ç ) ) 4 e v o ^ B ftÇ tt M . Hrta»i RéXfiCWOiinaïulis Irfi» p o ù r lu fioii|ic f a p n c a i lç u q u o itr lu m o d ic ijë d u sck p r ix , nitisi q u p d^fiiu, icii;*.! .t ..'I.Jfiii l.!!.. #iiii> iii.1 nuilluuitiiild o n tdili* lll ill lU KI11’

• t a m u U ü u u lü il.C IR A U IiT .p lu co d o rjIOl.çlii M I k,S9Jir<2ji.pour ij. ________________ , ..............>.. . 1 1 . , -qô ’il y Îi']dhd, |rl4 que lc.4 pii;H»ssvJi», cii,jm |c,,n lu l «I. l'M '.

iftolOn» h*« nlüCi», cocos, Kparlej'lcs, süjes vèg>HaJus,,lapi)!‘ . prosKus,'nulles liiiilluiiiM.*i»i4'rrtiîdtiïO?’Bllllc'A iif:niger. *• ■

I l }' a aussi lin aruiid clioiv du toile» eirûps.pour iiieqiiles. jCiiRHlIci cl nj^'iariumciils, d»U» loules les dipieqÿhitw, ut foll s liiipHniiëabicrt poui’ Idu du iiialqdus pl.dciirald.ÿr'i ëlofTcs raoU ldiouç, iabliv.ra.'lultulu^ ut. Iqdt CU.qMi,àc fait un «.lodichouc.

’ Jteg» ipPTBm<p»ie Jf twWÿflg tfu ag iT H tüW ii; Brttrfiltfd* • de i»l«t«d»abpraleiir H: fielgnoi^^que • iioi^ '

p la > M V lf r i r d l t î» « J w S ^ ^ fr.,v

' s: <ï,.i-iiac,‘dii io itiy d il nu BiCüf/isA’ii tçm pi’&lW»N’‘03itAa Jti jnsiiû’oiïH qlr, prwsô,pjfr. '«Igudlo».faüi!i»sfi'i,KadsrfilâelMiun,pô|iiblo»illu|i.Ouatid d’uii travail trop dm- notre m aître i accable,Puisque lu le sens fori, q u e f lO in ^ m b u R iiit ^ '

lie lèp^em #v^dn> ji»c d W ,lefeïiniOl^ VéUl.niehei* soit Bœiif au labourage :

j ^ d M t d ^ d l é liNi]M»e d « » ^ t ^** ' ■ i|iW W ruj-eur.iip ‘

t r o u b les re»prll,diiJr«v.alU eur, * ' ' ''K lïn8»*g;irdc au so rt dé l'Aiic 1

iie.liit/Vn in; Irouvoni'* pas h eu reux p o u r so rltr dum li-irras.

> / Seigsoret.

Lu tabletterie birru iipe grai;de VâriélAcn pbj^ls utjleti ogrëabk's, ainsi q»é dans lus Juii x de jà|-^ii)Ot ue suèietp.

l,‘£/h^roM/n0 de C 'Ü iiliJtin t eau snuycraino avec l.i> qilfUft ont- péiil eiilevcr sokiiérue et iiisiant uir-inéiif loolc ÇSiiècir’dc tache su r les éiolTes, les gravures ut lus piipicr,) '^Mcieiix, n'étésiifuiH! ÂstHippparitiiui cqiiiine.iitio^es |dti«

.îrtr

Il iipparitiiHi cqiinne.iitio des plpu itiius décoTi'ieélus de répoquc p a r les persoiihcÿ soigueiMu-

•” i! p^r !t< W iidlls cl li}S cijÇipçtiîi^’et.t&vohoincs aussi tiiun qitu p^r

iiétil-K I d m l i i i bi d 'ao lo^raphcs. Elle a râ fé iitü g a Kur les co m p o sd lo jiS f'cK ^ fioor le 'ntënpt 'u ttgu de njr.>

laisser ntiruiic de Irace nwiwaisé ddçpr.** '

l.’illùsh-f Itevuc I

CJbiirricr 1................ — — .........}, — Saluii de ÿ ^ lÿ .« ~ ^ X h r u n i^ ‘ litté ra ire .

Ilistoire du C uiisujalet a e l ^ n t p i r u . f d ( r 8 d^ InRoL-liultc. ' * ’* ■ ' Tùiits. — N;>uveaiix

.UHirormes au l arriiue.sinssci — j;a tiaison A Bad»^ — Ca* z e lto d u palai». ^ E c o le t!c 'W |f tn ji i« d é îî^ f i .‘~ ^ lo i i8lguor

(le

irp-'A frivée dés caiix du Stiighoiicfi A yùii .ÙHiformes du rarriiée.siiissci — j;a S a jso i,. . , z e lto d u palai». ^ E c o l e ’t!c'Wiftnju«;du îîfcf4.‘—'Fraiiucscu i.ivoraiii. — (jduvehiüif'dé foriiiiiu.' G m m res / ’Séanco'du ConSrfci'îiltlstlqifcd’Âriiui^^iS’ ) gépéi'ale d d cudiji de idiAlAfut. i; 'fitnpuréu r'dé r.6 ra tir ca ïd au cam p. •^ 'Saloii do ISBI fqiïrtlfc g ra v u re» ).'~ T ô lcs du la Itbtiiellu : concert doiiti'ô dans ta sallu do spectacle.

Jailllssenieul des eaust du Zogliiuieii A 't'u n is . — Nou>. • - • ^o iis ig u o rveaux liiiirornies .sulsil'cs (chiq uravurc»), — Afonsignor

Fraiiceico-LlvuniAf.-^-^ OWvbriiil!! dé .funodè'. ^ Elchee». W n.'iHis. - • y •

nIxirrie».. ^ - V

llfsut po iirlan l, d ild f. quo'.tu travail su fasse; 'S îràltelâV ràoh Aiiél-I} est ■philiVJô V't^ücHr,'B wlh ÏHhVhiob ftue.h*?! I c tta rru e .......... j-i'tij, fitd'M diù il l-allfllu; au • .gji», dom pté p.ir W o u e l , i l lui ta n t «ibéir.

te prem ier siiluu la force J ’abaudom ie,

" " î A i m i j k C é s ' J ü d î d a i i ^ ^ ^ ^

B 'R .àÜ jyrf l .A E i '1 'A X 'f f 'l .E .-P A l.lH .i r . : - }1 A K B a V A B y g . * yA W <H -*—H''tEÏS

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(Validdu* dàii^ i q m ppw jq |^ iO e j.

.b ^ H H a V A ^ . Aâ ï U n i B S 1 9 2 S . B £ e A S T S .B s v â s a x>s% s A XL v a•nix UM tUACKX

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H.STATIONS 1 '*2.1 I. Si Station^.fit* Pa H«(«u5- cl. 3- clI (o ir

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tibl»K O'J lU2 25 1 »ÿ8 21 10 21

nitryDjmmarl l.e Plv.i»i»DvUevin( NüHtiHiii-le'llaiKluii Ormo)Ifëpy '

nrm»yNaiiteuii'Mi 7 57

2 05 2 15 Plruii-Bà**» 123 12S 12 '3 60 2 .63 ; 20 7 3fi7 538 08 10 03 8 23.10 2

8 25 10 au 12 20o , 111.1 7J. 11. ri.1noaiiiar liii8 41 10 36 12 36! 2 368 53 10 .33 i'2 53| 2 536 1311 08 1 01 3 030 30!|1 23- I 2 3 . -----

I2 '400 S' 4510 00 liuiirusl10 22

A r t : i^ i d i »

‘ ' î f t

P arisu tkdê.

11osg6yd*5Wîrircô1inr1à'>iic de aournay, d'un ' imut h.PeodiwiH Br unet«-iOt-d*4utfe bout le

e iemin cohamsatn-h Créii.Ar«iele ^ l a t i t u e . >

le i^ u r n eu f hectare» iiH i / ’uii côté h

Ü e iA l^ r .p b r jfuiclic h M. de là

IR P ^ D E I^ E R M EA p p e lé l ^ c p i n p d e G o n r n a y ^

|ïEc3[^.4ikwiiiSVâl|6kL'iff ofckâoVicÉs.

F k B 0 1 S , F I t i C H E A C i M I Ê S Î ,Iæ n jiu ^s itu é i JrttfNtX'fAiisE, canton de CruH

‘. r (ô isf), .) ‘ K n R iH ë it tr s s Bjo Iü

(ili» ‘nouPro>il fire r f i in i i p a riie llm én t''! ' ■ ■ où rh /o ld /ifé , .

En lin id lenee d e s criéi*8''du T ribunal civil SéblU Cl p arÿ ley an t M., l.\vnKRT:,

L ’a d |i id ic a lio n a u r a H ou l e M a rd i t i i i o t - u p À tre S e p te m o rk I B O j , h c i |f o • û ç

p ré c is .

On {fait sav'qli^à'loils, flû’il ap p a ille éd ra , qu’un d’un ju g em en t re n d u sn r re -quôtelpAr le T rihprtal.’d v l l é ty p r^ m è re in- siaticel séant h Séiiii» (O ise ', le treize août I8 d t j onregislMr; dénhuéé'td 'M % dih)h tfé au bureau de^.>yp.qtfi/lqi|ieS idef^9)>^^h

-^de la/transc rip tion d e là fu isieiopéfée-le pro- ^m isr’m a i-4 8 ü l, vol. 4 0 , i r 4 4 ,

lAfi'nlreiwiv 'In l iè r c , I » furgus du M m ialairc cl autres, d ’au tre côté à M. P a r g in t . p ar hache le deuxièm e lôl, dhin bout au jrld e au , c l d’antre bout Hanse cl a u iic i.

.1 ; c. : , .U ne pièce de terre du lu èoniciiance du six

hsc tarcs tr«n te-sep l arcs viiià i-tro is cunliaies. ipéroc terroir^ lieu-d il la Juæ ieu. tenant d un côté Mârliii!com'm‘eTérriiii-r ikî Hiei (Im -ouçoIs), d ’un bout lliu o l, et d’a^ trc |l)o u t le cUeiiiiu du Mclio ‘ /

A r t l e l e o ie .Une pièce du t i 'r rc ; bu' ime terro ir, lieu

d it la Kossèlju ou l'pssçliii.’ c luteu-.inl (|iialre- \ùngl-deus are», cinq .eeiilia es, tuiiaiit d ’un cô té à M. I.aiiruut; de Mosy e t p.nr hache à M. Parguéz, d ’on iioul. i r f i , C ro ii/c t, e t d’au - irè boül lechiMU'm «liç.Hokstfoy.

A tr« tc l« .â i:A |4 a* e .Ijuc pièce, slotéréuJoilaiCduîenanrci^^^ un

lieclare iionf ares so isonte-qualorzo centiurc», lièo dit lc8 TaO re8;'tèlifartnViin cô té h M. Ju l- Hyn. d’ijjU UqulileSrWyjiiÇf^b d ’au treüoiit | l . bâtisse,<d&>Wéc^'. , I

J Ü uc pièqe; d é :! té « a ' d o 'l a ^ devinci'iiu iiire ares env iron , licju dit la Justiée

• o d % w ^ h t fe 'P a V ÿ le z , ten u îi d ’un côté M. Ceouiei.-^ile Pottiit-'d’mUiw cô lé Si M. Isidore fk u r ié t ix , d ’uniliout le chciniR du rË g lise.

côté au ciiem in. d 'an tre cô té h.4|. Félix Cfi-ison e t U M. C unstanlin O risoii, d u ^ lo g e n i . .

1 1 ^ 3 3 3 AOiiiro les Qhargus^ daases. pVcojUilitiqns in ­

sérées au cahier des ç h îrg e s , ie s j in n ie iib le s ' sus-désignés seront criés su r Ics inises h p rix ' su ivantes ;P our l’article p rem ier, la isommc de dix mille

fn lncs .c i . • . • • lO.OÔOlr.Pour rilriicle 2*,'cfiUe d e . • . . 0',10i’our l’article 5f; celle do> . . . 2 1 , 0 0 0 ’INiur l’!irlii:h*|4*>,C®ii® dô • . 10,001);Pour l’articlu S*’;'éell& ,^e . . . l . lO t ;Pour l’a?iicJê 6*, coH* de . . .i*our l’iu l clu'7*, celle.<le . . . 55ÔPour l’article 8f,.cullu_dè . . . 0 00P o iirJ ’arlicle 0*, celle d e . . . 5 : 0Pour Particle 1(P, cello de . . . 160Pour rarliclu i f , cellc 'du . . . 2 .5 0 0Pour l’ariiulu 12*, cello-de . . . 5i)0P our l’a r tiile 15”, çidle tic . .• . 800Et pou;-i’ariiu}e14''etdcrnier,ceHcde OOP

au Palais de justice de ladite ville, rue IS'euve- de-P aris, ou le cahier des charijes esi i:/éj)p«i!.‘

A r t . s . .Èturto du M O ulks TIIEMUY, avoué à SuiiUs,

n ie d u Chôlcr, j i” 21.

V K i \ ’ ï K S U B I J O I T A T I O Î S. K StllF. .M.lJlEimS.

E n J'élude cl p a r le uiinislère de BuntN. ''fofüirr "/*rifry-s»r-OMe, commis à cet effet.

E n prcscriot: de M” H ^ÿikuk, «o faôc , ‘.d Creil-sur- Oi/iP,

-a i» raqnétê, poursn lte et diligcncè■ jlft U -X o ttU -L au M iiM u ean ie r, dem euran t h

Senlis lÔi?C)».., , \ ,• iIw n^iiilèM n’avaiil pour avohé M* l-rcmy,

" '"jil[e'niR'N ,>iivA.divPnrl». n*15:deinétSraniàSéiili8,'niePJeilve*dè;Pari8, h®15;En pré8j*ncc dû Charlds-^’bêl Aércl,

fils, cultivateur, dem ciir.inï'b’ MdmaiViic:'7 2* J tn d v n a Ad|l;iïdc: U dn é -Jffin < cfA d |l;iïd c '7 p râ t^

dÿneiiirajm \(|'|u ;M pl h Atéhlp':;

Ü nc pièce o c te rre du la contenance de quaranto-qûatre à rê s ' q u a ra iilé -q u a lie ce n - lisffift, lléndli45Avgl«ièiô4>t«AûiJrà deux Voiua, tenan t cl’uni c ô lc .a u x héritie rs de Hicnville,d ’a n tre côléiThéddpfe Goiiletlo el lliiyot. d ’nn bout U . /çan-K iauçoi» M eniiessier, et d ’au tre

* T n e pîfecB'do ^el-Æ 'de^ lu coiiténànce de Q vÏB ürû re iiqnaran to -dcux cc u lia rcs ,J ieu dit ■'i6à% aript'niies, tefianl d ’un cô'.é au riduau,

a ç .m w f( lp ;i’»o:4iOBl M 'garenne de Goiiruay, cl d au tre bout A ’>toatbtoxâ‘teiHr<£liubl‘i'i G odard.

-V i '■ • Ulfé'-Vièco do terrc ,'in ô m e terro ir, lien d it le GHi-min d e W dlo; dhiite contenance dè dix a r ^ i \ M r C M h léùjinl M’un côté àUaiise, ü fau trie .cû lé .an c h u m in ,îd iin bout a la veuvo’Thuillièr,- île N ogent, c i 'd ’ad lrc bout u M .jCreuzel, jlo Mduy;

.1 ’ '- U nopièco :ilt ;pnStilC'ila *oiiln ianoodi) un

hectare ire iile - lro is ares quaraiile-ncur, c e n .

- • ' A.Jil. Gage, d’unbout lus r e -

ja d jin ajr f lB j ij ta |f e , id t -,. . - .. . -i«ûre et acîuellbiucnt h F 3ri^i|uç ll^ 'iu trpdlis ,,i^ n* 0 . épouse séparée de-C0^p*^ é i O i^^hiphq^q'M. A nlo ine-Ju lM B ûrbier:4 ié«gcm ^^ r a a i ; i î l l « 0 1 S i t e a ï i S J l o ! » i S l ! ' i 'Î5 Î

5* El ledit-sieur Harbiei:! I i l té î : J W - ï i . .clvaN dité;

hi'cOéfandeuPSf^avnnigiMriavoné Ghonnin^] Procédé^ le a a r d i wHÿt-qimfr^

j i r é é k en l^m iienco des criées dit’T tihhnaj èiyil. dw ttro ^ il^^pidis, h j à Vonié'.i't: àjjudicàtio 'u dos iinv

. iRüuhlo» doift la désignâlioii su it ^

■ " " l i T . -

Un co rps 'do 'F c rine appelé Ferme de G our- naj/4 ave» «ç»’ d r e a t t s in c e s c l .dmwntaiKes., situé W îa ^ w m lh ù n tf i^ M o fita la îr tr ^ ^ d e bôtiii il droite

- ments d’tfBfdiiftliobMdltiht db gigorics, écuries, i ^ a to s ^ c l tfofl^;van l CR Çacq d f '% M n v c n t fh |b ila rp m qiL relou;- dA a p t4 w m p w le do m cD ucv■cofonibiér e t pu its dans lailile .-covrt grqmlo ■cour, e n tre ces bàtimcn^ù^ son cntréu

\ ÿ î r i i îr t f ''p o f lc '‘c1ïarre{ifcrc; ja rd in , p ÿ a ® ‘r et {. lEagréiiieiii derrière les b&timents d ’hah ita- 1 lio n ; verger Xlurrlôrc le i '^ M n g cs çt an tres M S « f c h t f 8 ‘& p l « i l b k , ' -r 1,0 ip u i contenant environ en superficie un

lieclàrè'éoixoftfeéintiflfe», cids dè’ m iir t, halos é l féSfldèi Iciiàilf d ’iib côté \i- M: lu bj^roti du (londé. îHliütrd Bôtô h la t é e , au carréfoiirjei 'tdi chcmh) qôdtWisaiil h Creii, d ’uA b o ù l'd o - «km l'h la-Vuéi’ot d ’au tre boiA ù H . le baron d è Cbiiilé. * '

-’Ü A rticlet l n o pièccT do pr5 , te rro ir de M onlataire,

lieu d h -w n n ra y . d ’tm é conicnancn tle tren tc - liuit dfus un ounliàrc , Sicnartl iPtin cô té âu

Total des m ises h prix , eiuquan'tu e t un mille six ceü'l francs, ci. Sl.COOfr.

fi'adrcsHr pour atxp'r.rfrs rçuseû/HeinenU ;P A M* E R É ilY , OBOtté, p o n ra im -a n t/û

v«i/e ; ' • \ ■2- À M*CI1ALMIN, aeoué A S e n lis , p ré-

senl a la ventes .S* E t au G reffe du Tribunal civil de Senlis.

où le cahier (fe charges est déjposé.

Fait et rédigé par l’qyoué soussigné.A Senlis, le sis septem bre 1861.

P our .M” F n ^ sy , oèsen/.- Sigité'^k'^RtRL-t.iON

Eiii-egistré à Senlis, le six sep tem bre 186I.V P f 0 5 , v», c ’ 2 ; reçu un fian c d ix centim es, déciuiu cumpi'iS(

S i^lié : .CuÉGOinE. , Pour iuscTiîqn ; . . . ;

. . - S igné : F uémV^

■ . U ttû idèûA ito to rred iv lù contenance d ’en-,

licmiUt t»kVf)iriu du Moulin, tenan t d 'un cô.éÜ aulsaux fiV W l r t» ,4 ’auU-c,,c«üé..au

fossétd 'égnûl, d ’un bout It M. le baron dC; .Çqndéi d^IUt^c bout h la riv ière. >

ArtIHO > lrc lsièm «.:Un -licciore environ de (riches cl carrière,!

Sflué 9U luôtne .lcrçoir, restan t do la partie ..v.qniUip'h M . Te d « Gondé, tenant d un •' cAlé 11 ce ilcn iicr, d ’aq trc côté è M .Juseph i l^ sq u c lle et au iré s^ d 'u ii bout à M. lu baron .“dp Condé, et d ’au tru Imiit a SI. T isserand .

AH>el« nt «Iprnirr.

Une pièce de te rré ,do la coniciiance de cinquante-quatre ares six ci-ntiaruH, mémo lcrrolT. au Hcn dit lWI-d^^sllS de la tiare ih ie

i'do M. PargucX bu l’Arjiecfi c u n é , ('enniii d 't

' Ar t . 2 .' ‘ "■• Elude de M’ Jwt'éaTHEMRY. avoiiè à «éiili»,

• r u e d i i ‘Gliiltol,‘n” 2 l .

SUR éAISIE .IliHOOILIEUR,A l’audiencu des criées du T ribunal civil de

Senlisj séan t au P ûluis-du 'Justicu de ladite \i11U,-fue Neuve-dc-Viirls,

...............................'•'AVEC ' ■ 'C0U fi,B A TI8EH Tfr& U B B lB CLOS^BEEDBS

R5«J)àPSRP,INT,Sise SI SAiKT*l.çu-iv’EssER.:rtT (Oise),

ch la ru e d.qs Foig'iS; .

D’DIIE 1P Ù £ i m wAnasl n y c c Çisuri lijAdnMOtp e t «JfffHlln

cl«i» dé|>eai^ial» .E galcm enlsiiuéeji SÀiNT-I.Eii-D’EssEREnT>

on la rtip des Forges;

- y iM |T “ W

Sises au terro ir dud it SAiNt-LEU i»’EssEiiF.îiT;r . n a i iM iirii.', ,

Q ui pourront ilre réiMis>pàrlicJlin^nt -• pu «» . r *\ '.

L 'a d ju d ic a t io n a u ra " l ie u Iç’ U i m l i d t* S b i iU m lh v <g t i l , SteBia»<dO’ln id i .

S ’a i im n r po u r a m r d a re n ^ ig u îJ ifU » : ■ /" .-1 M* Jul.ES TllEMItVx-'dooiia! ÎJeflicii-

ivml à A'en/wj, r m du G h it t i , n* ï / .p )o » iv •wicfliil* la B cn f ;

“S ‘ A M» IIIJDiN. notaire à Précy-sur-OUe; 5* A M *niV IÈ R E , notaire d Creil;4* A M 'IIblM ET. huissier'à Cbauiilly; ô* E t a n G reffe du rr i5 iin a / cinV de Seidis,

A L . O U Ë R

M M S O N a v e c J A R M N.%ppnrt0 m«n<s f ra irh e tn c n t d é c o r^ ,

A SENLIS, ru e du'Carrefoth* im h t- R ic id ( en fiicc les prom enadua c llea -h u illn du for.

S ’adresser à M. A i.LaIn, ri(é 'S ({ù il-Jean , 6 , à Sehlis '. . '

U K 4■Sisps a i f l ç r M r dé;i’ l î e d ï- i^ ^ -0 (« t : ,

’ B-;n 4 *Qui pburrnnl liire réuni* porlicUemoiii vu en

loUtWe..L’a t l ju d ic a lio n n m ‘ü l ie u l( î /) i« in H c //c i 't itÿ l

n e u f S e p te m b re 1 8 6 1 . h e u ro d e n ti il i .

.S’fld rm e r p o u r les renseignements :/ • vI M” TIIEM UY, fluoiié’, dem eiironl d

■Senlis, rue d u CluUel, n* 2 / , poursuipaul la vente;

2* AjM* FUÉMY, «comî aud it 'Sen lis, rue JVeuve-de-Patis,' prée?nt o lu ^ n l e ;

3* À .M* U lV iÉ R E .no/aireô Creil-sur-O ife; 4" E t à M* BÜDIN, no taire d P réc y-su t-

Oise. dépositaire de* litr.*s de p roprié té et du cahier de» charges.

J O £ , 1 E P É T I T Ë

W S 9!) B i t m i a n ESiuiéuh S enlis, rueauX 'B crgèrw ',lH *l|,

Pourentrercn joiitMancede !•''octobre prochain. ^ S’adresser;» M r l jç q ^ T , iprnt^iéiaDt.

A r t . 4 .Elude do M 'J . 0 0 1 )1 ^ evoué à Seuils.

îÙ'î5»AB.%TIOir IÜ3Î niKXç^.

Suivant j'ugcrpçnt rc n d h -p .ir’ lu Xribunql civil de, pçcinieru instance. yianl.à-Suiilis (Oise), lu vingl-sppl ao.ùi mil hiiii^çenl soixanlu ut un . ^>urcuistru'. . . i ■ ,

‘ La dàme Louise-Vic-loiru-Cai-oline M.\NÇtEii. cpopse ,<ln çleiir Louiit-Frédérîc Giie v a l ie r .. garçon, re ilau ra léu r , dom euranl ci^duy.int à P a n s , n ie du la C ité , n ” 5 6 . ensuite à \ ille rs ; Sain l-G enesl, n 'ayaul auiuullunienl aucun doa- micile ni rélidenco connus lad ite ; dam e rési­dant h Senlis.

A été déclaréo '^ép-àrée qu an t aux liions, d 'avec le sieu r CtiEVALiF.n. sn:i m ari.

l*oiir ex tra it à'iifséfci- :’ - S ig n é : Jî'G O D IN .

A r t - 5 . • • •Etude du M* J . b Opl.N, a triné ù SenlI.s.

8 Ûi*.%ll.tTkOtV DK BIKIVS.

Siiivanl jugem ent rendu p a r lu T ribunal civil de prem ière instance séant à $entiy(Oisc), le vingt-sep t août mil liiiil cen t soixante u n , eu rog istré .

La dam e Louise Ç aro lino-E sthcr G oupfë. épouse du sieu r Loiiis-Jule» D,itD0| 9 , uiar- chaud boncllcr-charcnticr, avec luqii.çl ello dem eure à Lainorlayu. canton d e Crcil,

A é té déelaréo ‘séparée quan t nux Idens d ’avec le sicqrT Ü B plé , éftn m an .

. P our ex tra it « Insérer : ■, . S igné rd iilu s GddIî î .

j ^ l M i a u c e s M i v c r s c s .

UNE F E C ü LEFUEAyant p o u r m o t^n ra « n r N n eh ln r n

vapm ir e t n n r R oue kjfitrUi^âqiie,Située il Senlis. faubourg d e là IMgiië.'

.S'adresser ù M • Cli. PcisatASt, eiKrèprcnctir à .S’flidû, \

A v je ;3 ! s > i

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.S’adroKsoi- à M. MXsson , réglssdlir au cjià- teaii de Ikiron'. ...

m m % mm% mj1' Sujdis. plÀco Notre-Damo,

A T J Ë Î V I ^ R K/rilÇr?l\i»diu#)ion ?.

I.c Diiûauclù; 1.5 Supiûm bru 4801 . il m idi.Par.lfjjiinislèiicdo. Uv U rnoistuI GuiTKitS.MXT-

On e n tre ra en jou issance devtiifc;^

(.è jiïéii^D ^ h tro n -v e p d T V :.;V a n g ie n n k

FABlIIQIiOE M Ë H V WÜ Tcn» d « !iix . P c è é c f e . ^•• ^hdru itc .ct.b,ga5ùch'« ifc •éoIf vrtlMd,'*-®' -

PLUS 4 PETITES MAIS OIISS litiéesh N oêl-Sain i-M artfn . ■’

S'adresser atixdils M” Bkxoist cl SaTnt-Rexé.

' A ' - t s g i M t f é f e ' ^ r i T E . ■

ÉH EA LA

d d 9 C h a m i p s .P rè i-lü chemvnTdè /er»lii'iaTJiilomèlrea

d e ^ T p p i i^ n c , ..Fucilité de s’agrandir.

On loneea o it v en d ra le» BAtlntenCs d ’ vplolÿi^tloii*

,, S'adrëssw A^MIvCowinÈub, iiolaire « Ver-q.YiV (Oise). ' ' ' ' '

m ndo dfe " i tqlah-o ft Ct-épy.

Par le m in isièrè 'dis'W Lu Dimÿiichc 15 Séptci

9 K le « tfà t* c V A v f e 9 < 9 9 C d iX .

S t S T B B B SAux terro irs de UuHy, c l ^oiùcpillqy,

IS irU Dimanche 4S S é p tm b r e 486 l i à une heure.

A Uiilly, en li .m a ison d ’ccojc,Prfi- h m M s th c de SI* Rexoisi-, notaire à Scnlh ,

'■ Kh présence de M' Granoxangs, nofah'c à Compiégnr: j

Il v a tonte siirulô pôtil' acqiiéi-M ’ ' . . S 'd i r e s s e r à u m fs W ’

Û M iM ipe ^ 9 A t* « s 9 R C o tiik

D E T E R R f eAu lcrrDti‘;dlJÔ.oÊcs), '

■■■. ' v î ^

A m r e s \ ftt.la 'inatson commune.Le ninImcHe 2 ï 'S a lw lii lJ rê , l« S f , ii'Vhe'iiïi-. Par la m inisférê d<r M'tfhwOiST, «Wairea Sunhs.

<'.;i ciiti-fh'tnm Jtp tt^ n u â de suite. , 't'adrM |^r jnolatré.

Pâr n

è b l j ^ ï l i c l i r e »

Page 4: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

M sli

IiSii

î -

A i i ia td i tr ÿ e â i t fa \* D lh h k i :i l

ü n ïÜ M A IS O NAvec JARDIN , sise li K liiirouri,

30 PIÈGES DE TERRE,y i O H E e t B O I S I

Sur !klôrieiival. Fresnoy-la-Rivièrc o| Ifillocourl.*

C«airM«n< S IleeiarM M Arra.Jouissance du su ite .

- GraMdcsfacilUés pour le paicmunl du prijt.& adresser pour loutréH teignenieHsà M 'T assart.

NâMajtuDR. •

A V E i l D n EPAR AtMUbicATION VOLÔ.NTAIRR,

• ' "’É'H jfosie i l en Détail.. V • Af :Gillaeo«fi. en la sqUa d ’école,

H w te r^tniateni de M* TASSA|T;'aô/oi; e à CrèpiJ,'- Le O im anrhe 6 O c lo h r \- l8 6 ! ; à une heure,

S ur l e s im iio i r c s (fëG illocoun et Orroiiy, de 8 H e e ta i ^ 7 9 A re» M Cent.

K n onze pièces. ■ l*o«r e n tre r en jouissance lotil de su ite ,

Facililj'.s pour lu luilftiieiil. Syd resser , pour tous renseigneincnft.audil

SI' T assa rt, notaire.

A VEiX’D R EPAR AOhiOlCATION VOLO.XTAIRE,

, K* *T FA BKT%II..An l elnde et par le ministère de M' T assa rt,

notaire à Vrèpy. t n présence de M* tin\xtniAACE. notaire

à Cotnpicgnc,]Le D im auflie 29 Septem hre 1861, à midi

DR fflÂRCHË DE TERRESitué sur le territo ire de Lçvigneu, canton

de Ueiz.d e 1 1 h e c ' t n r c f t Arc«« O*^ « e u t .

fit*, ving t-hu it piVm.• « Grande» facilités.pour payer.

■ S ’adresser au td itsM '' T a ssa rtc / Gramwako*.

E lude de M'BIGOT, notaire Hiil*ieAsis>fielle\l le

8 H e c t a r e » i l A r e » 3 8 C e n t .

U l i : T E U K ESis au lerro ir do Lagny-le-Sec ,

A V J D Ï A 'D R E p a r A i ^ u d i c a t i o n ,Kit Alassê 011 en D ciaii,

A f.agny-le-Sec , en la m aison d'école Le Dinianrlie 6 Ocioitre 1801 , li une heure,

Par le minislère de M* B ioot, noteifrc au ■ Plessis-Belleville,

Jouissance do su ite . Facilités poiirde paiem ent. A adresser audit M' Bicot, notaire.

E lude deM* MAITUE.DÉVALLü.^.iiolaire. . . V;. , à Oham bly (Oise).

G n.A W U R

H iaO K BODBSEOKEbiliiee a C haitibl;^;'rüc'dc Gisurs,- ■

■ • y 5 a S > y . a a a a â a '•. . f * ;,*■*» AjiJUDtCÀirU.'» VOLp.RmflS, .,. .

t n l i .u d e e t par te m i^ s tè ré N a itrk *■ wv notaire a Ckambhj,Le D im anche 15 îîepienihre 1801, à midi.

Jouii^ancc tout de suite .• ‘ FiiciJité.spnurle-paiem enl.

On tra ite ra avant l’adjudication s ’il e.st fait de.s on rcssunisanlcs.

S adresser audit il* .MAirRCdiEVALLO . «oteiVe.

A V E N D R El*«r adjudicalion volontaire.

K m S ir M e t r a K M a ll,4 ÉwtériVte, c a n tm d e C r ip g . en la sa lle d é c o te , .L ejD im an c lié ^J Sepleinlire lOOl, à midi P a rte wtn^^Cdc.M'.TASSART, «ote ireà Crcpi/,

tH p r è s e n e e d e W* Grardjiajigb, «otoire ■ d rompiêÿfic,

» 5 H E C T A n l é S S S A B E S

W , JU D U ET r a t. . Rh 99: :

Sduée» su r terriioirés d ’Eméville, Ve*. Iton- iienil et llara inon t. :

. • G randes .fm;ililéB.ponr le paiement.• s . a d r w c r o M jd i t e M“ G ra sd u a n g e et T a s s a r t .

Elude de M* U IV IE R E ^nolairc CrcU(Oisu).

» H e c ia n M 9 3 A r e s 3 1 C e n ( .

DE T E R R E ET P R ESitués terro ir de VerneuiUsiir*Oise,

A. fAR.AtUUUlCAmRVOLOjrrAIRE, •

L e f tm a n o h e l5 S pp lcm hre 1801. à2 h p u rc * , e « t’é lu d e e t p a r la r iim te te re du il* R iv iè re ,

nolair.e à C rc il,«. . de su ite ,« adresser audit M* RiVièré, notaire.

E tude de .M* E. L.ACUUR. notaire A Nanleuil* le<Hoiidoiiin (Oise).

Pour cause de cessation do Commerce,, ' A A ' * n t n i i l - t e > H A u 4 a u i t i ,

L u ratdtergc du C o q c i i a n t a m , a iw rue des A uvents, H* 21,

Le Diioant'lie 8 S e|iiem hie 1861, a midi, et jo u rs suivants.

PiU' le luinistère de il* I.acovr, nolaireà Nanteuil.

Les objets ’u vcm lre consistent en : garn i­tu res de foyer, batterie «le cu isine, vaisselle, verrerie , houieilles, m culties, literie, com ptoir, cuisinière, fourneau , poids, pendule, glace.s. liroiidiie i>| ou tils de jardinage^'' ei quaniité d a'uires objets dont le détail aura litfu au m o- n ie n i 'd e la venli*.

LËluilo doBKiNOlST, fïolaireà'SeiiUs, est transférée ru e R ougeinaille .

D E U A - M O I ÜP O B L ï ï E t t - P V S Ê M S ' r E .

A H K Ü liL III) r w e i i * i 9 ,y*-- Près la itnile,

A't iHMiiienrde vous donner avisji|u’ll a fut dé h S en lis,^ ^ Béat connudep iiislro isausco tum e bon.onvricr, un éialilisseinent ayant pour ob ­je t te.cun.striiction lies calorifères contenant des apparü ils .'irès-éconoin iques. de loiitês sortes de dim ensions, e t II consiriiii les fé iif - ' neanx en fmm genres.

'I l fait ^ a te iu e n i les lr.ivanx et les réparjw értipécher rintroiluction

deln.ftiinoe.dap^ lesa |iparteinen ls.veoio-<le. tonlcs' les fourn i-

i w t * â^iiffiùiircs pour les constriictiéns ne«.pour les réparaiioQs^ -.

châssis■ ridfSUv él-laïeoce p o u r devantures de che- tninéei^fle fautes d im ensions. •

> te id u l à (tel p ria; frte-niodérte.

A U N O U V E A U J U 1F - E R R À i ! V T i rutui

■t.

M . A Î i 3 H A . ï n 5 a - D B ; W 0 T 7 a i A . t f T a 3 B ' î ' ' a ÿ w * a 3 é i i s - , 1 1 . ” " f ‘I»* < ; * ' a e ir M J r m ," - .

. . î i . '••«•lanii'*qiiVlle» joiMl ii «on conimoiTO */*» ! ,» l o j s ^ h T i , . m . M u t h r ^ i alsérifii» , C oricis l) r a te » ré » - ! iT lo lo S S il uni! soliililé (!iir.inlie, îi p a r tir 4o 13 fr. i| 18 f r . ; C ursi'ls liriiii-Causn Én'iiiiA. .E ra fa n ii |i ic il B l'i S f r . iC n rM lf bonsns, d epu is S fr , liisBii’ii | â f r . ; ( iô iM Is^n n in if”* çpu lu res, depuis S f r . jilà ju ’irO f i- .S O c . ' . en riu l,^ .,

' ' , ' S x im u l mm i UUm JUM » :1

A laison JA D O U IIV Jeune. pro« prié(ai|.e A Candenac (Alédoc),

O é f t ô t à S E I V V I S ( O û m J ,Cimmlm fsMjÎMlpfore. » • a » .

S’adresser b SI VKRRIKn n t s . représen- taiil cliDrpc de lii peslinii du dé|i(ll.

E lude de M'HÉHOÜAH'i’. Iiuissiér à Sauleuil-

V K . V T EKS VrUTU U’eSE obdosnauce ,

t m i O B É S t VtPEEE(Système ('.alla, force de o chevaus,

systèm e V arlet. force de 6 elievauv)

& DE DEUX B A TTEU iSESLe le u d rrd i / 5 Septembre 1861. à 4 heures, >

S u r la place du Marché de .Nariciid (Oise), P arletn in isicrede M 'IIk rouart, hufdrjicr*pWrc(fr

ô iVanfem/./c//fludwuirt.Ces macliinvs son t en parfait étal et fonc-

iiünncrouLle jo u r de la \e n ic .Les loconiobiles pourront è;re vendues

avec ou sans les bailcuscs.

D E S C H I E H S .w ■ .-La r« » ( i4 r« d e V w ir in les guérit

e t p rcserve de m aladies. 1 fr. le paquet avec r in s ii ncllon .— r v u i t u a d e d e «’u i r i n gué­rissan t en Ajueiques jo in s boutons, gale cl tou­tes o spèc t»dc dartres. Le pbi : 1 fr. 2 5 t t . __F our i’i'Npédilion et fe d c ia d . h la p h u m ac ie

.n ie de Foiiôu-. l ^ îwl’à r is — Dépôt h Sentis chez .M.'- LA^Avire arquebusier

E T H E B Q T iR U m D E C H A e I ^^ I I I ( > , » ) Ë T A C H Ë I t .

uiéitppsteBmiteC ‘ lle nouvelle t«Fll«9 d« 3«Ib

J d T s is f a^ ***** ** * «w ip m » C aM rM W N # 3 9 M ^ 0 f Si» , - ,

f . r w t t DU f LACOït : I fRANC 50 OERTIMSI*. :rom;<o«t* O R A ^ m , d iim iste . — Fabrique à Rouen, rue dé VltAnilat. 38 e/ 4(1

P H tL IB S l^ co iire iir-p a rfm n eu l', p law d e la .l/à |le , 35;

O < ^ o « « 'cr (e l » M in p a r a M e poir*M Vtir<w*' ; > I5 À Ü T Ü X I ^ H J i

PÂRiCHDTE DES CHEVEDÎJbRfc.A’iB I A L V I lA , C h i m l M t e .

CrlieV»n.|><)ii(lon e«l in«iiillilile poitr-irr^is-r niomii-■ r ineiit.l»eK uied<«çS«veu\ s r lle e n em|.è-'ht. la

^tnrntion: n e n n ic ftO f iii tm A tl le cuii e litv e iu , i t é ln i lt*’ " i^ i i r e t g tm u eà :* * « p i t l i t a ' r t lita iic liù iret ; apj f>rvprirtct .régeneiialiiret Jm -o n iin l t<t iv p ro it'id io n •le 'lou veitiir^ ie.^ uT , I i i ia il rjiai.Mr e l l e pcnil «im- |»lc> e i. i i r i lb n u , t l <.in|>ci'lie le tilaudlnm cnt; u,«à!i..■ " , — «tu Flacon, J fr.

<ifcrr^«en,n„m .ni rue de l'Hô(iili«1, <0 D tp U• Uiuir» I r , v ille , il.* Frtm-e ; — a Hrauvatv, • Itt'i

B . I.ar.f’t e i , rue.Saint-SiuvH ir i — *t a Sr-nl>«, rlii-i **-^^Klll*»*îrl,eo«^«i'-jirti^i.rMeur, Place de ta ll ille ,

P O M IIA D E T D E S € H A f K l l I N j g0 0 L’H IO liN É im AOTEN-AèË

•<r uonnc un D n iiaa i, de la «onnlette.•e par^GHAMIlM, cliinliile.|tarrMnieur. a Rouen, rue <]cT(jd|'>ru” 's V f

P M X D U P O T , p . t t 3 J r . S o c . .Dépôt h S e n lù , chez M; P à tu B E R t, co iireu r-pa rfiim riir , place de la Halte 35

■ a^gMMPtia, chez M. l:AifGLP.T, n ie S a in t-S a u v eu r. ’

E lududcM 'IlËM ET.huissjür-priscurâG hiinliliy

^ 3ïI t ï3

V- , Mêm e é lu de.

À ^ O y E f t i & m i u l i c a l i q M ,

u m u B i i m s s i s ES iie com m une d ’A prem out, prè.Â'Croil,

a v e c l e s T E R R E SJS«

d’une ccHiienanrc de *® 3 0 A res 7 9 C«m<,^ D im aneh(i22 Septem bre 1861. h 2 heures r w l e mÙNffère de M* Rivière , Notaire à Creil

et en son étudc, 'JcèiiKssiiice de suite.

& adresser audit M* Rivière, wo/a/r«.

A V E A D R El ’o n r en tre r en jouissance de siiitei

U i \ B o m F O ü V D S

SE R R U filD R iÉ G A mB x p lo il i A Creil. rue dit Fanb m n de N egent.

Ce fonds com prrad rA chabnd .ioe , I ,., O io lils cl U slrn si|es . une Sbcliiuc b «iincur cl tou t!» les M archandises. '

P " " ' " s ’assu rer d 'u n Bail do 1 8 a^s desdiis lieux.

^ u n d e s fsc ilifis pniir le psicmcnr du p ris

Ans Enclières publliju.!s cl après décès,A t P r é e j - H u r 0 1 « e .

E n la maisoit de feu M. TAiinu père,.Les Dimanche 8 et Lundi 9 Septem bre 186J,

h midi précis,• P ar le m inistère dudit M* IIènkt.

C elte venfe consisteia j>rincipalemenl eu : b a iten e de cu is in e . garuiiur«-s de foyer, ser­vie»*» de tab les, am eulilcineuis de sallô à m an­g er . salon et cham bres à coucher, literie, pen­dules. glaces, b illa rd , p ressoir, cuves, lo r - ucaux , arlm stès. 2 hihliothèqiirs, un.* giam e quan iilé de livres, iiisils, pisiol. I s ferrailb- bo is, ustensiles de pèche, cabrioh t. lache, gen isse. Vin?, b ière , cidre, foin, luzerne. E nfin un très-grande quantité d ’autres objets

AmC^mptmmt. rr* !» «nUMBlFFo. '

f IB E C T A B E 9 S 8 A REH

lE T E U E S lT l tÉ lAoi Jsrniru de HoutsUirc #« Siini-Vssst.

li^Mello, pr^ Creil,A V S N D B C

▼«*4)RTAnii,■ » ! . 7 * J* <1® M oniaiaifc.

Æ " î i , ^ Ï Ï r . „ E . ^

v il le de 8enli».

A .D J7D I9A T Z 01T. ________ l>F.»

T R A V A U X* n t tm tm r r» n r l ’ l«bll>e.nuM de.

A e e n n e . . h l ' . i e . d ’. c e è . d e I . C i . e e i r l i c M l n J e F e r , m B e n l i N .

I.C Diwaache quinze Septembre 1801, b une uctirc d e rc le icc , il sera |iroccdé p a r 11 le Maire de Sculis. en la uraiidc salle de l’Ildiel- Ut^S lIle, a I adjudicalion au rabais, su r sou­m issions cachclccs des Iravaiix de lerrassc- m rn l. caillouiis, pavage cl nivelicmoni b r \ d - Ciiler dans 1r s Irois aie iiiies ou voies d 'accès de la G are du ('.licmin du P er j S ru iis ; loiis li'M iiels iravaus son t évalués b la souiine lo- tale de «2 .942 fr. 7 0 c.

Lee m treprenetés p m irn n i prendre cennaie- eanee du deiu» rf du ciftier dee chargée, an Se- ere lana tâ itaK tlhH e . Iota lee jô n r , de lOhcare, d v n M m a i heures t/e relenie.

P I L U L E S C A U V tNfB .iu ia t:( - iM iiï Ht l 'ic o u s; fÉiiiEnit be puis.

. »'li»i^^«:d«.r*rc-(Ic-Trjoinp1ic. îû , a l'an».: . i . - . i W««>.»x».- 534 )

,1V» i'|I.U|.i:s Minl Dir.KSTIVFS TONtQPKs r» OKI'ÜRATIVKS} par tcui- if&oariic r l par lviir*iii. pto» fatnie auijtirl rllr* »c prc- Irnl, rllr» sont ir nicillriir l’tlR CaTIF pinip i-omltatltr h CONS- TII*ATIU,\,<klrni>rJ.->ni,MIKL'RK

l'.\CltKTK nu S \\G et IH.III . I harocnerl'liarminiifitan» li'» fnnr.

^ - vicatfl». roiT,po»fc».«|-i! VKüÊ-T-VI.I’.S, r le« AnI la ppApriètc <Ic dunnrr du t«>.-i mtx intM iin», de-piirgcrion» fa lisu éf IVvtoiiiac ni alTai- blir aii. un orgnur.

0 -» Hi.til.f':» nrtigpnt ni régime ni i>oiv»oii spip-a le; Mma.ee rapport, Hli-* «'oii>iiiut-ni tr p in , cniii-

miide rt le pin» nRiace de» PURGlTIVI-a connu ,; aiMM Minf.«llc« npdn'iinéni avec am cé. itan, lr< m.xti-’i'.'l.®'*''*'*'*• g a s t r it (;s . k n g o k g k -«fcNTs. astbm i-:» <:.at.3RRiii':.s, nouLtiuhs. m i- GltVINUS. SGItOPIIl>f,KS,«tc.

'L cm érile.dece« PII.U(.F:-ipeiil ir rémmrr en ce» 01. s ilB T A bU aou KNTRt-reMR la aanlé PRIX

IIP- I.A CUI^F.'. 1 2 FAlNCS. avro notice eu' cinq

villé^*^* ***"* I** Pharmacie» I*ienatiorlie» de chaque

* 8EWUft,.cbe» M. C hBM lalB g , pharmacien.

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rhutncs les plus violents, e t est cinnloyé avec avantage dans toules les alfectlons de poitrine

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Calais (.Uarie>M.irguei i|p}, 73 ans.Ranciirel (Je;ju-.Bdptisle AiiKU.sif), 7 mois.I elil .Geneviève), 2 ans 1/2. iMnte.iu (Joséph*Arnoiilii, 82 ans Boisficiu (Ale-vandie), 31 ans.

PiiblicMiMB It« llfArlaBra.

Entre M Cnnipiègnc (l)cuis.M srir). rrreveiir urlrul à itoul s. Cl MIS Toulefer (Louiscllél

ln ir.H „ ,e o li„ „ ) ' , j ,„ , lUoTcMiOu a Seuils. S em i^ê l um éh a n ilr r a

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oe fabriquer du Bon Choeulol c i d>n pro- ru»i*e. U Compagnie ne fait pa» du

bon oiatcbé ta question principale; rllo veut avant tout livrer des produiuirréprodtables.

Tous Ici C flocou n de la C- Colohialb .■ont composés, «oti c « cp /io 3 ,.4 o malièreapremihreadecboisiilsfODiracmptsde loutc addition de suUtance^élranei-ies.et prépa­rés avec des soibi inusités Jusqu’A eo Jour.

Contrairement A an a ^ s qui « t s ie dans la camraeroo.'ià Ç oisricau CotoiiiAu ne rrodlgM pas à.oea cboçoiais Im qualiflca- Woos de sao/huet i ' e ^ n j h u : eUe ne dniiiM A ses prodnltt qub drâ d^ubnioatioas sincè­rement eo rapport avec lenrsquaUiés, •

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Le aincola», par ctrmple. qu'rile mraina siniplciurm Don OrdinairÉ, mr de braucoup supérieur A la niaj.-iim |«ar(ie de eeU* qao I on vend Joiimrrcriicnt'sous les dénopiiaa- iWHtIet plus rra g è tits . Kt quant à'éfeu»’do M (»oc«lat» qu’elle nomine-CÀeèoltB A’ia»,' Ils sont léelleineiit d'une n a ft ié lotit à fatl txcepiionnelle.- . •T '

La G** CoLoiiuij ne suit pm qon .plai I usaps blimable qui cooilste A compnuidra daw te poids annonoA r ilà lii e t le MjOér qui servent d’cnvelopp., auA lAocolais. Le« piM uitsde laCoara«:iii(CoLi>niitu.auee»-. traire, ont toujuun le' pioids «r<d qdo l'éliF ' quctic indique, et ce, en dekon du poids eneelopp a , de quelque ndiuro qu'elieà»<iiâ^,

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l u i iN ia in Tllla 4e »w« e , d e i les frisclH ii (M aei,siii• t a a o c ^ .lr s , u €oO «uu pomat n , rrâTri»,». t a .

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