LmitiBlanchota amizade, onde est no livro ? nos comentrio sobre as obras dos amigosAlbert Camus, Sartre(comonocap. xxiii emquefaladoensaioqueSartreescreveu sobre Gorz e lanc!ot tb. comenta o livro de Gorz,"e #r$itre%,&ierre'losso(s)i, *ic!el "eris, George ataille, +enri "efebvre, ",vi-Strauss, falasobre *arx, comunismo, .uda/smo.0screve sobre o produto escrito dessas rela12es,muitas vezes descrito por cartas que comentavam as obras, ou em ensaios como deSartre e Gorz, 3acques 4upin e Alberto Giacometti, 'af)a e *ax rod.567 Combat avec l8 Ange(...)Comment parlerdesoi avecvrit ?Lersultat compte, maisbienpluslintention, la rigueur avec laquelle elle est poursuivie, la lutte opinitre, ruse,mthodique, inspire, lutte sans !in et sans espoir, pour tablir entre soi et soi un rapportde vrit. Cest pourquoi "ousseau ne cesse ne nous toucher.(...)La preuve quun livre dautobiographie respecte le centre de vrit autour duquelil secompose, serait#cedoncquuntel centrelattireverslesilence ?Celui qui va$usquau bout de son livre est celui qui na pas t $usquau bot de lui#m%me.&eulement, le drame ' et le c(t !ort ' dans toutes les con!essions ) vraies *, cest quelon ne commence de parler quen vue de cet instant o+ lon ne pourra plus continuer , il- a quelque chose . dire quon ne peut pas dire / ce nest pas ncessairementscandaleu0 / cest peut#%treplusquebanal, unelacune, unvide, unergionqui nesupporte pas la lumi1re parce que sa nature est de ne pouvoir %tre claire , secret sanssecret dont le sceau rompu est le mutisme m%me. pp 232#4!alar a partir de um sentimento de isolamento p. 234, ao discorrer sobre 5Lage dhomme6 (7allimard, de 8ichel Leiris)(...) Comment parler de soi avec vrit, si cette vrit ne doit pas %tre seulement en arri1re, mais en avant, non plus celle dune histoire passe, mais dun avenir qui ne sannonce pas comme un simple !utur temporel, mais comme un idal et un idal inconnu, libre et tou$ours rvocable (...) 233(...) Le premier trait dune telle e0prience, cest que le plus grandsouci(preocupa9:o) de la vrit loblige . !aire bien plus grande la part de limaginaire , en!acedelui#m%me, pr%tant loreille.lchoquilsuscite, lauteurnesait plussilsesouvient ousil invente. 8aiscettecon!usionsurlaquelleil veilleavecrigueur,estncessaire . la dimension nouvelle de la vrit , cest ne plus sa ps-chanal-se,il estdepuis longtemps en possession des grands th1mes autour desquels ce quil sait de soi secompose, sa$uste et se ra$uste. p. 23;557 "e d,tour vers la simplicit,sobre uma carta que i pour lLloge, ni dans lLintr%t de quelquevrit. Les traits de son caract1re, les !ormes de son e0istence, les pisodes de sa vie,m%me en accord avec la recherche dont il sLest senti responsable $usquL.lLirresponsabilit, nLappartient . personne. Ml nL- a pas de tmoin. Les plus proches nedisent que ce qui leur !ut proche, non le lointain qui sLa!!irma entre cette pro0imit, et lelointain cesse ds que cesse la prsence. CLest vainement que nous prtendons maintenir,par nos paroles, par nos crits, ce qui sLabsente / vainement, que nous lui o!!rons lLattraitde nos souvenirs et une sorte de !igure encore, le bonheur de demeurer au $our, la vieprolonge dLune apparence vridique. >ous ne cherchons quL. combler un vide, nous nesupportons pas ladouleur , lLa!!irmationdecevide. Nui accepterait dLenaccueillirlLinsigni!iance, insigni!iance si dmesure que nous nLavons pas de mmoirecapable de la contenir et quLil nous !audrait nous#m%mes d$. glisser . lLoubli pour laporter, le temps de ce glissement, $usquL. lLnigme quLelle reprsente ?